Le cinéaste tunisien Abellatif Kechiche avait remporté la palme d’or du festival dégénéré de Cannes en 2013, avec un film sur une paire de lesbiennes comportant des scènes pornographiques. Ce film avait déjà été financé à hauteur de 138 000 euros par la région « Occitanie », donc les contribuables.
Rebelotte avec le film de Kechiche présenté à Cannes cette année, encore plus grassement financé et encore plus pornographique, au point de choquer des spectateurs qui doivent pourtant être habitués…
« Le film du cinéaste tunisien Abellatif Kechiche, tourné sur le littoral héraultais et en particulier à Sète, d’où le soutien sonnant et trébuchant de la Région, une aide de 210 000 euros (après celle de 138 000 euros au premier opus tourné en 2016), a choqué bon nombre de festivaliers.
Les premiers spectateurs de La Croisette ont été au choix, bousculés, outrés, scandalisés, d’y découvrir une (très) longue scène de sexe explicite : 13 minutes d’un gros plan… cru. » (source L’Indépendant )