Ah, les socialistes…
Cet homme qui a ravagé la France pendant plusieurs années n’a aucune attache, ni familiale, ni nationale. Les deux piliers de sa vie semblent être la quête du pouvoir et l’amour de l’argent.
« Selon le quotidien catalan « Ara », l’ancien Premier ministre Manuel Valls aurait réclamé et obtenu des donateurs de sa campagne infructueuse pour conquérir la mairie de Barcelone un salaire mensuel net de 20.000 euros. De quoi se consoler de sa défaite.
C’est beau, l’engagement désintéressé. Pour tenter de conquérir la mairie de Barcelone, Manuel Valls aurait touché un salaire mensuel net de 20.000 euros par mois, rapporte le quotidien catalan Ara. D’après l’enquête du journal espagnol, parue ce jeudi 13 juin, l’ancien Premier ministre français, battu le 26 mai avec 13,20% des voix, aurait réclamé à ses contributeurs de lui verser ces émoluments en plus de la participation à ses frais de campagne.
Pour réclamer cette indemnisation, Manuel Valls aurait fait valoir auprès de ses donateurs la perte de revenu engendrée par la démission de son mandat de député français, le 2 octobre 2018. « Les gens étaient effarés quand Manuel Valls a demandé une telle somme pour lui. Ce n’est pas très élégant« , témoigne auprès d’Ara l’un des convives d’une levée de fonds. La demande aurait pourtant été acceptée.
Une belle opération, puisque la somme représente près du triple de la rémunération perçue par un député à l’Assemblée nationale (7.239 euros bruts par mois). En tant que simple candidat à la mairie de Barcelone, celui que Bernard-Henri Lévy estime être l’incarnation du « panache français » et du « chevaleresque catalan » aurait même été mieux rémunéré que lorsqu’il était à Matignon, entre 2014 et 2016 (14.910 euros brut).
D’où Manuel Valls, candidat à la tête d’une structure politique embryonnaire (Barcelona pel Canvi) et seulement allié au parti Ciudadanos, a-t-il tiré l’argent nécessaire pour sa campagne ? Avec l’appui de sa compagne Susana Gallardo, héritière des laboratoires Almirall, l’ancien socialiste s’est tissé un réseau de soutiens fortunés de l’autre côté des Pyrénées, qu’il n’a pas hésité à solliciter pour batailler, sans succès, contre les indépendantistes catalans emmenés par Ernest Maragall et la liste Barcelone en commun, de gauche, conduite par Ada Colau. […] »
Source Marianne