Nantes : une manifestation nocturne de gauchistes attaquée par des dealers

Entre les crasseux délogés de Notre Dame des Landes, les clandestins africains qui pullulent dans le centre-ville et des racailles, Nantes se transforme en cloaque chaque nuit. Les vendeurs ne drogue allogènes ne supportant pas d’être empêchée dans leur commerce aux heures les plus lucratives, s’en sont violemment pris aux gauchistes alors en manifestation/cassage nocturne. Un régal.

Trouvé sur Breizh Info : « Une manifestation nocturne a été improvisée ce samedi soir par quelques dizaines d’activistes d’extrême-gauche à partir de 20h30 à la croisée des tramways. Elle a cependant très vite tourné au vinaigre, avec d’abord une vitrine cassée rue d’Orléans, des barrières de chantier jetées en travers des voies à Commerce vers 21h30 puis ensuite une tentative d’attaque par un groupe du bar le Chat Noir – un des repaires de l’extrême-gauche nantaise – dans des conditions floues.

La bagarre qui s’est ensuivie a ensuite fait plusieurs blessés, tandis que des armes diverses – barres de fer, gazeuse – étaient utilisées. Des manifestants ont été rossés par un groupe de personnes déterminées… qui s’avère être, selon plusieurs témoins, des dealers de Commerce. Quand la réalité de l’insécurité nantaise se rappelle à l’extrême-gauche nantaise : celle justement qui milite pour qu’il n’y ait plus de frontière et toujours plus de migrants, mais feint d’en ignorer les conséquences : augmentation de l’insécurité, multiplication de viols de rue, délinquance liée aux squats de migrants, cas de galerougeole et tuberculose etc.

Après qu’une gazeuse ait été utilisée par un des protagonistes, une bagarre générale éclate. Les forces de l’ordre observent, de loin, puis arrivent quand c’est fini. Situé en face du point de deal de la place du Commerce, le café a déjà été la cible à plusieurs reprises d’attaques et de menaces de la part de dealers, empêchés d’œuvrer sur la terrasse – notamment en février 2017 après une conférence dans les locaux du Chat Noir.

Comme le résume un autre nantais sur Twitter, en réalité, « les luttes ont effectivement convergé vers un bar, où tout le monde s’est bastonné ». Ce que précise un témoin : « Tout à fait. Les dealers de commerce, dérangés par les manifestants, les ont agressés en groupe très violemment, pendant plusieurs dizaines de minutes. Mr Glanz ment ». Et insiste : « Non monsieur. Vous mentez. Il y’a que les dealers qui contrôlent commerce ont violemment agressé les manifestants qui dérangeaient leur trafic. A coup de poing, barre, pieds, barre de fer. Pris la main dans le sac idéologique mr Glanz »

Noyés sous les lacrymos toute une partie de l’après-midi – les heures habituellement les plus juteuses, lorsque la place du Commerce n’est pas encore un coupe-gorge noyé d’ombre – les dealers clandestins n’ont guère pu travailler ce samedi. Ce qui explique peut-être que lorsqu’ils ont vu un faible groupe de manifestants et pas un seul policier à l’horizon – le repli des forces de l’ordre déployées dans l’après-midi était largement achevé – ils n’ont pas hésité à faire le coup de poing.

Sous le regard impassible de quelques policiers, auxquels nombre d’activistes d’extrême-gauche ont crié toute l’après-midi « suicidez-vous » avant donc, d’en avoir besoin une fois le soir venu…

Louis Moulin

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