Netflix est une plate-forme de diffusion de films et séries à la demande, que ce soit ses productions ou d’autres. Cette multinationale est devenue un géant dans son domaine. Moyennant un abonnement mensuel, on peut accéder à des milliers de films et séries, avec sans cesse des nouveautés, souvent bien faites sur le plan technique.
En France, un quart du trafic internet est dû à Netflix (un tiers aux Etats-Unis).
Netflix est un piège à éviter, ainsi que son concurrent Amazon Prime, car ils diffusent énormément de productions perverses, normalisant grossièrement ou sournoisement l’homosexualité, la débauche ou encore la sorcellerie (ou présentant les démons sous des traits sympathiques).
De plus, ils font perdre un temps fou avec leurs séries réalisées habilement pour susciter la dépendance : on passe facilement des heures par semaine à gaspiller son temps au détriment parfois des devoirs de son état et pour regarder des choses non seulement guère enrichissantes, mais aussi nuisibles à soi.
Si’il fallait encore une raison pour ne pas s’abonner, ou pour se désabonner le cas échéant, Netflix vient de la donner à toute âme droite, en proposant une comédie « humoristique » de Noël : « The first temptation of Christ » (« la première tentation du Christ »).
Dans ce programme brésilien, Jésus-Christ est présenté comme homosexuel et les scènes les plus révoltantes sont présentées au spectateur… Inutile d’en dire plus.
Au Brésil une pétition hostile à ce programme blasphématoire a déjà récolté 1,5 millions de signatures et les désabonnements se multiplient à travers le monde.
Bref, revenons aux (bons) livres.