Le député LREM des Côtes-d’Armor, Éric Bothorel, a déposé un amendement pour renforcer la prétendue lutte contre la « haine » (c’est-à-dire notamment les opinions dissidentes et trop politiquement incorrectes) sur internet.
L’idée est d’« assécher le financement », par la publicité, des sites en question.
« L’avantage de ce dispositif est qu’il est transverse. Il concernera en effet les sites qui diffusent des contenus racistes ou discriminatoires, ceux qui propagent des fake news ou encore ceux qui proposent le téléchargement illicite d’œuvres protégées par le droit d’auteur (films, musiques, livres…). » affirme Bothorel au Télégramme.
Lors du débat parlementaire du 22 février, le même individu déclarait : « il est nécessaire de frapper au portefeuille les gens qui distillent des informations haineuses ».
Bothorel renchérissait à la déclaration, juste avant, du « secrétaire d’Etat au numérique » Cédric O, métis socialo-macronien, qui était lui aussi assez franc : « Il faut donc les attaquer au portefeuille ; il faut que si une publicité de telle grande entreprise se retrouve sur un site qui promeut des idées extrêmes ou de prétendues solutions médicales dangereuses pour la santé des Français par exemple, cette entreprise en porte la responsabilité. »
L’amendement déposé – tel une crotte de chien – par Bothorel entend contraindre « le vendeur d’espace publicitaire [à fournir] à l’annonceur la liste des noms de domaine et de sous-domaine sur lesquels l’annonce a été diffusée. »
Qui va décider ce qui est haineux ou pas ?! Toujours le même problème, ce mot-valise sert à resserrer l’étau idéologique sur le peuple récalcitrant. Car que ne refuserait-on pas au nom de « l’amour » ?
Par exemple, pour le préfet dirigeant la DILCRAH, être contre le « remplacement », c’est déjà de la « haine ».
Ces gens-là vont finir par la susciter, la haine…