La cérémonie « française » annuelle des « Césars » regroupe l’entre-soi du monde du cinéma, pour s’entre-féliciter et se décerner des prix.
Autour de films généralement « engagés » (dans le monde médiatique, « engagé » signifie uniquement « militant gauchiste », car les militants de droite n’y ont tout simplement pas droit de cité), et parfois de productions franchement immondes, ce sont finalement divers lobbys qui s’épaulent ou se querellent, comme l’a bien illustré ce cru 2020 : lobby féministe, lobby juif, lobby immigré. Les deux premiers se sont écharpés sur le cas du réalisateur pédocriminel juif Roman Polanski, objet d’un remarquable soutien tribal :
Que les #Cesars aient attendu que #Polanski, absent, ne puisse répondre pour le moquer, l’humilier, surjouer le dégoût et aller jusqu’à refuser de prononcer son nom, voilà qui dit bien où étaient, hier soir, les vrais « misérables».
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) February 29, 2020
Mais la cérémonie a aussi été marquée par l’ahurissante charge d’une actrice africaine, une certaine Aïssa Maïga, venue cracher grossièrement dans la soupe et réclamer plus d’étrangers dans les films, poursuivant les Blancs de sa vindicte avec une formidable ingratitude et un aveuglement sidérant :
« […] l’actrice de 44 ans a choisi de faire son discours sur le thème de la diversité dans le cinéma français. «A chaque fois que je me retrouve comme ça, dans une grande réunion du métier, je ne peux pas m’empêcher de compter le nombre de Noirs dans la salle», a d’abord lancé l’actrice […]. « On a survécu au whitewashing, au blackface, aux tonnes de rôles de dealers, de femmes de ménages à l’accent bwana, on a survécu aux rôles de terroristes, à tous les rôles de filles hypersexualisées… Et en fait, on voudrait vous dire, on ne va pas laisser le cinéma français tranquille», a ensuite déclaré Aïssa Maïga. «On est une famille, on se dit tout, non ? Vous tous qui n’êtes pas impactés par les questions liées à l’invisibilité, aux stéréotypes ou à la question de la couleur de la peau… la bonne nouvelle, c’est que ça ne va pas se faire sans vous. Pensez inclusion. Ce qui se joue dans le cinéma français ne concerne pas que notre milieu hyper privilégié, cela concerne toute la société, n’est-ce pas monsieur qui est sur votre téléphone portable là ? », a-t-elle ajouté. (source RT)
Cette énergumène semble vivre dans une dimension parallèle. Le cinéma et les films dits français font depuis des décennies systématiquement l’apologie de la « diversité », du métissage, les salauds y sont quasi toujours des Blancs – quitte à ce que ça en soit grossièrement irréaliste (voir par exemple dans Plus belle la vie un gentil Arabe se faire tabasser par des jeunes Français pour une cigarette) –, et quand on veut, pour donner un peu de réalisme, montrer des dealers africains, ils sont en fin de compte gentils.
Bref, plus les Blancs (comprendre « les Français ») se couchent, plus la haine envers eux augmente.
Bonus :