La « culture de mort » progresse à grands pas en France, et c’est logique.
Les députés sont en train de faire passer le délai légal de l’infanticide in utero – sans motif – de 12 à 14 semaines. Et il y a quelques semaines la députaille autorisait l’avortement jusqu’au terme de la grossesse en cas de « détresse psycho-sociale », prétexte flou et bidon.
Mais pour le Planning familial, ce n’est qu’une étape avant la libéralisation totale de l’avortement volontaire, sans motif, jusqu’au terme (et pourquoi pas après d’ailleurs ? Le bébé ne change pas substantiellement entre la veille de l’accouchement et le lendemain…).
Il faut préciser que cette organisation extrémiste n’a pas qu’une action de militantisme et de lobbying.
Elle est officiellement partenaire de l’Etat, on trouve ses affiches un peu partout dans des établissements publics ou privés, et elle est mandatée par le régime pour aller faire de la propagande dans les écoles et pervertir les enfants innocents avec ses idées scientifiquement mensongères (le bébé ne serait qu’un morceau du corps de la mère, et celle-ci fait ce qu’elle veut de « son corps ») et criminelles.
Le Planning familial annonce la couleur dans son communiqué, en langue gauchiste prétendument inclusive, saluant le nouveau vote des députés :
« Cette initiative parlementaire s’inscrit dans une succession d’actions portées par des élu.e.s nationaux.ales, notamment le rapport de la Délégation parlementaire aux droits des femmes de l’Assemblée Nationale adopté le 15 septembre 2020. […]
Le Planning Familial salue ce vote en première lecture. C’est un premier pas. Néanmoins, nous continuerons de revendiquer dans un premier temps un alignement avec les pays européens les plus progressistes et la suppression des délais d’accès à l’IVG.
Aujourd’hui, si les femmes [sic] n’ont pas gagné la guerre, elles ont déjà remporté une bataille ! Le combat continue ! »
Voici un émouvant témoignage d’une rescapée de l’avortement, à voir pour tous ceux qui ne sont pas convaincus de l’horreur totale de cette action :