Nous n’avons pas le temps suffisant pour relayer les attaques horribles et meurtrières dont sont victimes chaque semaine les Français de la part de la « diversité » qu’on leur impose.
Mais portons tout de même à la connaissance de nos lecteurs celle-ci, emblématique.
Un humble travailleur de la « France d’en bas », contraint à travailler à 70 ans, massacré avec sauvagerie et acharnement par un certain Dhoul Kamal Bacar, jeune immigré, qui bien sûr a choisi un Gaulois pour se défouler…
Mais les tribunaux ne soulèvent guère cet aspect dans l’étude des motivations des meurtriers et l’aggravation des peines qui devraient s’en suivre (d’après la loi).
Le procès vient de s’ouvrir à Besançon.
Ce genre de crimes antifrançais ignobles ne bénéficient jamais d’une grande médiatisation. Contrairement au croche-pied fait par un CRS à un clandestin qui prend la fuite : 10-15 jours de frénésie médiatique.
Il faut regarder dans la presse locale.
Ici, l’Est républicain en parle davantage, car ce malheureux travaillait pour lui :
« La victime a été abordée puis agressée en pleine tournée de livraison, vers 4h place Marulaz, le 23 janvier 2018, à Besançon. Alcoolisé et sous l’emprise de cannabis, l’auteur présumé des coups a ensuite tenté de voler la voiture du porteur, qu’il a abandonnée accidentée à deux pas de là, avant d’être rattrapé par la police.
Les détails sont éprouvants à entendre, tant l’attaque fut brutale. Et gratuite. « C’était un massacre », résume un témoin direct, devenu depuis gendarme, « des violences j’en ai vues, mais là, c’était autre chose… C’était barbare. J’en ai cauchemardé pendant des semaines ».
Ses souvenirs sont difficiles à verbaliser. À la barre ce lundi matin, il détaille « le bruit du visage qui craque, le bruit des ossements » et « ce sentiment d’impuissance » qui le hante, à l’idée de ne pas avoir pu intervenir à temps. Assis à cinq mètres, les proches de la victime pleurent en silence, blottis derrière leur avocate, Me Laux.
« Prenant de l’élan », le mis en cause a frappé, frappé, frappé encore, notamment du pied, « alors que la victime était allongée au sol et déjà inerte », complète une seconde témoin, elle aussi postée à sa fenêtre. Une horreur qui dure « de longues minutes », revit-elle, alors que la tête du sexagénaire heurte avec fracas le trottoir, sous les assauts répétés de son bourreau.
Tous deux décrivent un détachement, une obstination glaçante chez l’agresseur, qui ira jusqu’à relever la victime inconsciente par le col pour mieux ajuster ces coups de pied. « Dans ces gestes, j’ai clairement ressenti une volonté de tuer, pas de voler une voiture », insiste la témoin, qui avait aussitôt composé le 17.
Plongé en coma artificiel, Michel Montrichard déjoue d’abord les pronostics médicaux, qui craignaient une issue rapidement fatale. Mais ses séquelles sont terribles : « fracas facial » avec la quasi totalité des os du visage fracturés, lourdes atteintes cérébrales, alimentation par sonde, incontinence totale, rétractation de ses membres, et échange relationnel réduit à de simples regards…
Grabataire, il décédera deux ans plus tard d’une énième infection pulmonaire, attribuée à son état très précaire. […] »