Il y a quelques jours, les médias ont été agités par un fait divers assez anecdotique, mais filmé : une Africaine était injuriée avec mention de sa race.
C’est probablement plus grave que les Français qui sont tous les jours agressés sur leur sol par des immigrés, qui les ciblent parce qu’ils sont Français. Mais passons.
Sur Twitter, la politicienne gaucho-féministe Clémentine Autain fait part de son indignation et cite les injures :
Tiens, que peuvent cacher ces trois petits points entre parenthèses ? Probablement des mots superflus qui alourdiraient inutilement la citation ?
Ah, non, en fait ils remplacent ces mots :
« nous, les Algériens ».
Clémentine Autain, dans un geste révélateur de la malhonnêteté de gauche, manipule ses lecteurs et veut leur cacher la réalité.