Des Français vont carrément en prison pour des propos critiques – sans appel objectif à la haine ou à la violence – quant à l’action de certaines populations étrangères. Des Français sont harcelés policièrement, perquisitionnés, vilipendés par les médias pour avoir exprimé leurs doutes sur les bienfaits de l’invasion étrangère, chez eux.
En revanche, quand cet intrus appelle carrément à tuer les Blancs, sans aucune nuance (« Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs / Attrapez-les vite et pendez leurs parents »)., dans deux chansons, il s’en sort. Et peut continuer à parader en France, probablement aux frais des Français.
Quand les Français cesseront-ils de supporter ce régime de fous ?
« Condamné en première instance à une amende de 5 000 euros pour son clip «Pendez les blancs», le rappeur Nick Conrad vient d’être relaxé par la cour d’appel de Paris en raison d’un vice de procédure. […] LCI précise que l’erreur remonte au tout début de l’affaire. Après avoir été entendu par la police, Nick Conrad est convoqué par le procureur devant le tribunal correctionnel à une date ultérieure à trois mois, alors qu’il aurait dû l’être à une date à moins de trois mois.
La cour d’appel a ainsi conclu qu’elle était dans l’impossibilité de juger cette affaire. «C’est une victoire pour nous», ont déclaré les avocats du rappeur, Chloé Arnoux et David Apelbaum, cités par Le Parisien, «même si un débat sur le fond aurait été intéressant».
Maîtres Arnoux et Apelbaum auraient semble-t-il préféré gagner sur le fond, en arguant qu’il doit être loisible, ou même qu’il est légitime, de pouvoir appeler à tuer les Blancs, mais sans pour autant pouvoir simplement critiquer les autres.
«Estimant qu’il avait «outrepassé les limites autorisées de la liberté d’expression dans ce genre singulier qu’est le rap», le tribunal correctionnel avait condamné le rappeur en 2019 à 5 000 euros pour «provocation au crime». […]
Après «Pendez les blancs», dans son clip «Doux pays», le rappeur Nick Conrad faisait mine d’étrangler une jeune femme blanche et disait notamment : «J’ai baisé la France jusqu’à l’agonie», s’en prenant à ceux qui avaient fustigé sa chanson précédente. Le ministre de l’Intérieur de l’époque Christophe Castaner avait saisi la justice et le parquet de Paris avait ouvert une enquête sur ce second clip, finalement classée sans suite. »