Le Régime continue à s’enfoncer dans le totalitarisme le plus crasse, dans l’indifférence générale.
Depuis quelques années (il y avait déjà eu une vague sous De Gaulle), il dissout de façon particulièrement arbitraire les associations et groupements qu’il juge politiquement incorrects.
Sous les prétextes d’« incitation à la haine » ou « à la discrimination », on peut dissoudre n’importe quelle structure, condamner n’importe quel citoyen agaçant.
C’est ce qui s’est fait à l’encontre de l’Alvarium, association gérant un bar à Angers et organisant des distributions de repas aux pauvres, des conférences et quelques activités militantes classiques (affiches, etc.) : rien d’extrême, d’outrageant ou d’inconvenant dans l’attitude ou les discours.
Cette répression grossière semble une passion pour le traître Darmanin.
Notez le « conformément aux instructions du Président » ! En pleine période de crise, ce lamentable individu est obnubilé par le moindre îlot de dissidence.
Les agressions ou tentatives d’intimidation d’antifas angevins– ne supportant pas qu’un lieu de droite existe –, qui se sont soldées par des débandades pour ces idiots haineux, ont par ailleurs fourni un (piètre) prétexte au gouvernement pour accuser l’Alvarium de violence.
Les antifas, bénéficiant d’une impunité ou d’une large complaisance de la part des ministères de l’Intérieur et de la Justice, se dévoilent encore comme des alliés, des serviteurs du Système.
Pour lire la pseudo-argumentation du décret, on peut cliquer ici et là.
Entre autres perles, on y lit qu’« assimiler » l’immigration à « une menace » est un motif de dissolution.
Remettre en cause la disparition du peuple français est presque interdit…
Le Régime, dont les écoles osent parler des méchantes « lettres de cachet » des rois de France, ne s’embarrasse plus de rien pour bafouer les libertés de ceux qui ne sont pas d’accord avec lui.
Mais cette frénésie, cette fébrilité sont bons signes : il a peur, il arrive à bout de souffle.