Qui aurait cru cela possible, il y a une cinquantaine d’années ?
C’est la « France d’après », concoctée par les politiciens de gauche et de la « droite parlementaire ».
« Une soixantaine de locataires d’une résidence privée du 15e arrondissement de Marseille ont décidé de quitter leur appartement, excédés par la violence de squatteurs, rapporte RTL. Selon nos confrères, ces squatteurs sont principalement des Nigérians anglophones sans papier qui ont progressivement pris possession d’immeubles vétustes. Dans la barre G de la cité Kalliste, qui compte 129 logements, plus de la moitié serait ainsi squattée.
Une jeune femme, Melina, explique que sa porte a été éclatée pendant qu’elle était partie en week-end. Alertée par une voisine, elle est revenue chez elle en urgence. «Ils ne voulaient pas sortir, j’ai dû me cacher à 22h dans le hall», raconte-t-elle. Une autre jeune femme de 24 ans, Zineb, explique qu’elle ne peut pas «rester dans un endroit où il n’y a pas de sécurité». Elle a décidé de quitter son appartement avec sa famille.
Les squatteurs sont ultra-violents entre eux, sur fond de prostitution et de trafic de drogue. Des bandes se battent régulièrement à coups de machette dans les parties communes et cherchent à se réfugier chez les habitants. «Quand ils se battent entre eux (…) Ils tapent aux appartements pour qu’on leur ouvre et qu’ils se réfugient. Un autre clan veut les tuer donc ils veulent se réfugier chez nous», explique Nella, dont «les petites se sont réveillées en panique, tétanisées». La mère de famille ne leur a pas ouvert la porte. En représailles, son appartement a été incendié. Elle aussi a décidé de fuir. » (Source Figaro)