Cela a été peu raconté, mais des parties civiles de l’actuel procès de l’attentat de Nice (un Tunisien, au volant d’un camion, tuait 86 personnes en 2016) restent hantées par ces gamins qui, le soir même, se réjouissaient du spectacle.
« Ils étaient morts de rire. “Alors, ça y est, tu vois de quoi on est capables ?” ».
C’est ça, le « vivre-ensemble »…