Lors de la réunion annuelle d’une grande partie de l’oligarchie mondiale à Davos (Suisse), Albert Bourla, le pdg de l’entreprise Pfizer (l’une des plus condamnées au monde) est tourmenté par des journalistes indépendants et impertinents.
Il ne répondra rien à leurs questions qui paraissent pourtant légitimes.
Il fait son business avec les grands de ce monde et n’estime apparemment n’avoir aucun compte à rendre aux 99,9% de la population, notamment ceux qui se sont fait injecter du « jus de Bourla » en croyant que cela évitait la transmission du Covid. Sans parler des effets secondaires…