Des images atterrantes mais qui deviendront banales dans les prochaines années.
Toutes les prévisions des nationalistes depuis 50 ans se réalisent une à une, puisqu’ils n’ont pas été écoutés.
A Dijon, capitale de la Bourgogne et il y a peu l’une des villes les plus agréables de France, dans le quartier colonisé des Grésilles, on a vu ces derniers jours des affrontements violents entre populations immigrées, mais « Français comme-vouzémoi » bien sûr, selon la République en tout cas.
Tout a démarré après qu’un adolescent tchétchène a été frappé par des Arabes sur fond de trafic de drogue.
Les Tchétchènes, de plus en plus nombreux en France – ce qui est normal, puisqu’elle est ouverte à tous désormais –, sont plus discrets que les Arabes par exemple ; mais, pour rester dans le cadre de la loi, disons que souvent ils ne s’embarrassent pas de celui-ci justement. Réputés pour leur violence, ils ont voulu venger leur jeune congénère.
Sur ces images de Dijon, des armes à feu – dont des armes automatiques – sont brandies et filmées en toute quiétude par ces immigrés. On tire en l’air, en ville, sans souci.
L’Etat, il est vrai pitoyable et si complaisant, est méprisé. Il n’y a plus que les Gaulois pour le respecter tout en étant brimés et tondus par lui… Et castrés par les médias et cinéastes gauchistes et leur haine du mâle blanc.
Ici on se promène avec ses armes automatiques et à côté de cela, les Français n’ont jamais été aussi désarmés, la législation été aussi liberticide envers les honnêtes gens, et a fortiori envers les patriotes…
De son côté, le maire socialiste de Dijon François Rebsamen déclarait :
« Je n’ai pas vu d’armes… On me dit qu’il y a eu des tirs, mais vous savez, on entend beaucoup de choses, il ne faut pas toujours croire ce que racontent les réseaux sociaux. »