Le CNRS propose ce reportage video intéressant.
« A quelque chose malheur est bon ». Ainsi, le terrible incendie de la cathédrale de Paris a poussé les chercheurs à étudier les matériaux savamment mis au point par nos ancêtres, dont la civilisation était très (très) en avance sur le reste du monde.
On retrouve par exemple la recette des mortiers, on examine les ferrures de la cathédrale, comme on le ferait pour examiner l’état d’un disque compresseur ou de turbine après un essai d’endurance, pour être sûr qu’il n’éclatera pas au cours de sa durée de vie.