A l’annonce d’un décès, les gens ont souvent tendance à parer le défunt de toutes les vertus. C’est encore plus vrai dans le cas d’une mort violente. Le phénomène est donc connu. Mais il prend une proportion quasiment socialement forcée après l’attentat commis contre la rédaction de Charlie Hebdo. Quiconque ne participe pas au concert louangeur est immédiatement perçu comme un monstre sans cœur par une société formatée par le matraquage médiatique univoque.
Source : MPI