« Avec ses quatre femmes et ses 46 enfants, Adama était un homme heureux. Ce quinquagénaire, capable de réciter dans l’ordre les prénoms de sa descendance, régnait sur son pavillon de banlieue. Entre les cinq chambres de la maison, « la vie s’organisait comme elle pouvait« , confie-t-il au téléphone. D’abord agent d’entretien, il a cessé de travailler quand le montant des allocations familiales est devenu suffisant pour nourrir son monde. Dans le village du nord du Mali où il a grandi, on parle de sa réussite avec admiration. Il voudrait que ça continue. »
Extrait d’un article du JDD à propos d’une association.
Il remonte à 2010 mais la situation n’a pas changé.