Pour justifier de produire de la viande en labo de manière totalement artificielle, les promoteurs de cette folie ne font que reprendre les arguments utilisés pour vendre les OGM.
Les arguments en faveur de ce savoir-faire ne manquent pas. On parle de réduction de la consommation d’eau et d’énergie dans le monde, de réduction des émissions de méthane et d’autres gaz à effet de serre, sans parler de l’arrêt de l’abattage des bovins.
La technique de production est la suivante : le bifteck est assemblé à partir de morceaux de tissu musculaire cultivés en laboratoire…
Konstantine Lyssenko, rédacteur en chef du magazine Agrarnoe obozrenie (Revue agraire) ose ajouter :
« La situation est telle que les gens seront bientôt obligés de s’habituer au fait qu’ils recevront des protéines d’origine artificielle »
La voix de la Russie rappelle que :
De nombreux chercheurs tirent la sonnette d’alarme en disant que la société connaît d’énormes changements au niveau génétique qui risquent de provoquer des changements génétiques chez l’homme et de contribuer à la disparition de l’humanité. […] Il devient plus pertinent que jamais de penser que le passage à la nourriture artificielle peut provoquer des dégâts dans la race humaine. Des tests ont montré que les hamsters nourris avec du soja transgénique ont cessé de se reproduire au bout de deux générations. Il est certes encore tôt pour faire des conclusions sur la mutation de la race humaine à cause des produits artificiels consommés.