Depuis le début de l’année, Cottbus est le théâtre de violences entre réfugiés et extrémistes de droite. Récemment, deux adolescents syriens ont été arrêtés dans la région car ils avaient blessé un jeune allemand au visage avec un couteau.
Depuis 2015, Cottbus, une petite ville universitaire d’un peu plus de 100.000 habitants, a accueilli environ 3.000 demandeurs d’asile. Cette ville est située dans l’ancienne Allemagne de l’Est, non loin de la frontière avec la Pologne. La population locale vit dans des conditions économiques difficiles. Dernièrement, l’afflux considérable de réfugiés a provoqué une hausse du sentiment anti-immigrés parmi les habitants.
Le ministre de l’Intérieur a fait savoir que l’interdiction de nouveaux réfugiés serait effective dans les prochains mois. La ville prendra également d’autres mesures de sécurité. La vidéo-surveillance sera renforcée dans le centre-ville. Les autorités déploieront davantage de policiers en uniforme et en civil et 10 nouveaux postes de travailleurs sociaux seront créés dans les écoles locales.
Cottbus n’est pas la première ville allemande qui refuse d’accepter les demandeurs d’asile. L’année dernière, Salzgitter, Delmenhorst et Wilhelmshaven – trois villes de l’État de Basse-Saxe – ont également décidé de bloquer l’accès aux réfugiés.
Express / The Telegraph via FDS
Il est temps que les Européens comprennent que les gouvernements de droite ou de gauche qu’ils élisent régulièrement sont composés de traîtrres qui leur organisent un avenir horrible .
Il ne faut pas seulement s’en prendre aux hordes de crasseux ( les pousser au départ en supprimant tout secours à ces parasites ) ; il faut restaurer la démocratie , la vraie , celle dont Aristote montra jadis qu’elle implique l’homogénéité ethnique et culturelle .
Ce que nos charlatans du peuple souverain exaltent , c’est le pouvoir des financiers apatrides .