Depuis la mort de Louis XVI, France, la petite orpheline, erre sans repère, au gré des revendications matérialistes et consuméristes de ses bourreaux. Le régicide sacrilège du roi-martyr, oint de Dieu et lieutenant du Christ, suscite cependant chaque année un bien triste souvenir que les vrais français, parce qu’ils se savent profondément débiteurs des rois qui ont fait la France, ne laissent pas s’estomper. A eux, la mémoire n’a pas été confisquée : la famille, dernier berceau de chrétienté, reste un fidèle canal du souvenir où toute chose amère se conserve dans l’intimité des cœurs et des chaumières. La section nantaise du Renouveau français nous le rappelle cette année encore :