Le South Powerty Law Center (SPLC) est une association traquant les résistances identitaires aux Etats-Unis et harcelant les mouvements de droite, un peu comme la LICRA ou SOS-Racisme ici, avec en plus une activité directement malveillante (dénonciation des personnes sur internet, pression sur les employeurs).
« Après les évènements de Charlottesville, les diverses associations anti-blanches récoltant de l’argent pour lutter contre « la haine » reçoivent des sommes tout particulièrement élevées, à la fois de particuliers gauchistes – notamment des célébrités d’Hollywood – et d’entreprises – la banque J.P Morgan Chase a par exemple fait un don d’un demi-million de dollars au SPLC. »
Mais Apple a battu le record.
[La semaine suivant les évènements de Charlottesville], le PDG d’Apple Tim Cook a envoyé un courriel aux employés de l’entreprise, affirmant sont désaccord avec les commentaires du président Donald Trump concernant la violence à Charlottesville. Il a indiqué qu’APple fera un don de 2 millions de dollars au Southern Poverty Law Center et à la Ligue Anti-Diffamation, et a dit que les utilisateurs seront bientôt capables de donner directement au SPLC via iTunes. Cette fonctionnalité vient d’être lancée.
Une nouvelle page apparaît sur les magasins bureau et mobile d’iTunes, et peut être trouvée sous les sections « Nouvelle Musique », « Titres populaires » et « Sortie récentes ». Les utilisateurs peuvent donner par paliers de 5$, 10$, 25$, 50$, 100$ et 200$. (source)
Le SPLC, entre gras salaires et millions dans des paradis fiscaux
Le SPLC travaille à éliminer les adversaires du gauchisme en essayant de les tuer socialement, souvent aidé en cela par les médias contrôlés qui le citent comme une référence ultime. Les coups de fil pour essayer de priver de services élémentaires ses adversaires sont aussi fréquents […].
Mais il ne fait pas cela bénévolement, bien au contraire !
Le Washington Free Beacon révèle :
Le Southern Poverty Law Center (SPLC), une organisation charitable exempte de taxes 501(c)(3), de gauche, basée en Alabama, qui a gagné en importance à gauche pour ses désignations de « groupes de haine », envoie des millions de dolars à des entités à l’étranger dans le cadre de ses affaires, comme le montrent les données disponibles.
De plus, l’association à but non-lucratif paye des salaires lucratifs à six chiffres à ses principaux directeurs et à ses employés clés tout en dépensant peu dans les coûts judiciaires en dépit de son intention affirmée de « combattre la haine et le sectarisme » en utilisant les poursuites judiciaires, l’éducation, et d’autres formes de militantisme.
C’est souvent l’arnaque des associations « à but non-lucratif » : elles ne font pas de bénéfice et n’ont pas d’actionnaires à qui redistribuer d’éventuels excédents ; mais elles payent souvent très grassement leurs dirigeants.
Le Southern Poverty Law Center est peut-être connu surtout pour sa « carte de la haine », un ensemble d’organisation que l’association […] juge être des « groupes de haine intérieurs » qui liste des organisations conservatrices ordinaires aux côtés de groupes racistes comme le Ku Klux Klan et est souvent mentionnée dans les médias. Un tireur avait ouvert le feu en 2012 contre les bureaux de Washington D.C. du Family Research Council, conservateur, après l’avoir vu listé comme groupe « anti-gay » sur le site internet du SPLC.
Le SPLC est devenu une machine à lever des fonds, enregistrant plus de 50 millions de dollars de contributions et 328 mllions de dollars d’actifs nets sur son formulaire 990 de 2015, le formulaire d’imposition le plus récent disponible de l’association. Le formulaire 990-T du SPLC, sa déclarations de revenus d’affaires, de la même année, montre qu’ils ont des « intérêts financiers » dans les Îles Cayman, les Îles Vierges Britanniques, et Bermuda. Aucune information n’est disponible en dehors de la reconnaissance de ces intérêts au bas du formulaire.
Les pays cités sont tous des paradis fiscaux bien connus. Il n’y a absolument rien d’autre justifiant la moindre implication dans ces micro-territoires.
Cependant, le Washington Free Beacon a découvert des formulaires de 2014 qui jettent la lumière sur certains des transferts du Southern Poverty Law Center à des entités étrangères.
Le Free Beacon recense pour plus d’un million de dollars de tranferts en liquide lors des deux derniers mois de 2014.
Le 1er mars 2015, l’organisation a envoyé pour près de 4.400.000$ aux Îles Cayman.
[…] Des experts en imposition ont exprimé leur confusion après avoir été informés des transferts.
« Je n’ai jamais connu une association à but non-lucratif basée aux États-Unis et traitant de droits de l’Homme ou de services sociaux ayant le moindre compte bancaire à l’étranger », a déclaré Amy Sterling Casil, PDG de Pacific Human Capital, une firme de conseil pour les associations non-lucratives basée en Californie. « Mon impression sur la base d’intéractions antérieurs est qu’ils ont une petite équipe, modestement payée, et étaient considérés par la plupart dans le milieu comme économes et fiables. Je suis stupéfaite d’apprendre le transfert de millions sur des comptes bancaires à l’étranger. C’est un énorme signal d’alerte. »
[…] « C’est contraire à l’éthique pour n’importe quelle association caritative basée aux États-Unis d’investir de larges sommes d’argent à l’étranger », a déclaré Casil.« Cela paraît extrêmement inhabituel pour une ‘501(c)(3)’ […] d’avoir de multiples comptes bancaires dans des paradis fiscaux », a déclaré au Free Beacon Charles Ortel, un ancien analyste et conseiller financier de Wall Street ayant aidé à découvrir un scandale financier à General Electric en 2009.
L’association à but non-lucratif paye aussi des salaires lucratifs à sa direction.
Richard Cohen, président et PDG du SPLC, a reçu 346.218$ de salaire de base en 2015, indique le formulaire d’impôts. Cohen a reçu 20.000$ supplémentaires en autres compensations déclarables et avantages non-imposables. Morris Dees, conseiller juridique en chef du SPLC, a reçu un salaire de 329.560$ avec 42.000$ supplémentaires en compensations déclarables et avantages non-imposables.
Le minimum payé à un directeur, administrateur, ou employé clé en 2015 était de 140.000$ en salaire de base, sans inclure les autres compensations. Le groupe a dépensé 20 millions de dollars en salaires au cours de l’année.
Des salaires mirobolants, tout bonnement.
Le SPLC, qui affirme disposer d’une équipe de 75 avocats travaillant dans les domaines des droits de l’enfant, de la justice économique, de la justice d’immigration, des droits LGBT, et de la réforme de la justice criminelle, n’a rapporté avoir dépensé que 61.000$ en frais légaux en 2015. »
Source : Blancheurope
Voilà le vrai visage de « l’antiracisme » et de « l’antiracisme », et ce pourquoi milite la multinationale Apple.