Voici une bonne nouvelle, dans l’océan d’abêtissement gauchiste qui tente actuellement de submerger l’Occident.
« Les éditeurs britanniques et français des aventures d’Enid Blyton ont cru relancer les ventes en sacrifiant le texte original sur l’autel de la «cancel culture» dans les années 2000 avant d’abandonner faute de résultats. […]
Ce marketing 2.0, estampillé cancel culture bio, devait relancer les ventes des livres de la romancière anglaise. La réussite de ce toilettage éditoriale était garantie sur facture… Mais malheureusement (ou heureusement) moins d’une dizaine d’années après ces décisions «vulgarisatrices», Hachette en France, qui aura suivi à la lettre cette politique de réécriture trop policée mais sans en retirer le moindre fruit, a décidé d’arrêter les versions abrégées et vidées de toute substance de Club des Cinq revu et mal corrigé. […] » (source Le Figaro)