« Le 20 janvier, la chaîne publique France 2 a diffusé dans son journal de 20h, un reportage sur le sort d’un djihadiste français [sic] détenu en Syrie par les unités de protection du peuple kurde (YPG). Le djihadiste présumé, renommé Yacine pour l’occasion, a accepté de répondre aux questions d’un journaliste. Interrogé sur les raisons de son voyage en Syrie, l’homme originaire de la ville de Lunel, a répondu qu’il était venu chercher son petit frère parti rejoindre les rangs de l’Etat islamique. »
« Une affirmation contrariée par l’existence de nombreuses photos qui montrent les deux frères armés lourdement et semble-t-il heureux de poser devant l’objectif. «La plupart des gens sont venus avec une croyance, avec un idéal, moi je suis venu sans idéal […], je ne connaissais aucune sourate, je ne connaissais rien du tout», affirme-t-il, cigarette à la main. A la question du journaliste qui lui demande s’il souhaite être rapatrié en France, Yacine répond après avoir esquissé un bref sourire : «Je veux rentrer chez moi.»
Alors qu’il affirme que les combattants kurdes lui ont assuré qu’il regagnerait la France après «les interrogatoires», un garde français qui a volontairement intégré les unités YPG lui lance sèchement sous la forme de questions rhétoriques : «Tu penses que ça va être aussi facile […] de rentrer chez toi après avoir été avec l’Etat islamique ? Avoir vu des gens se faire décapiter, ne pas avoir réagi ?» Le djihadiste présumé rétorque : «Mais il y a mon histoire, comment voulez-vous réagir ? Je me fais couper la tête avec eux ? Moi, je veux rentrer chez moi et oublier.» Une réponse qui ne convainc pas le garde qui enchaîne : «Tu crois que nous on va oublier ? On va oublier tous les gens qui sont morts dans cette guerre ? On va oublier tous nos camarades qui sont tombés à cause de gens comme toi ?» «Je n’ai rien à voir avec eux», lui assure Yacine, arrêté par les forces kurdes qui le considèrent comme un terroriste de Daesh.
Le 8 décembre dernier, le ministre français des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian avait estimé qu’environ 500 djihadistes français se trouvaient encore sur le théâtre syro-irakien, d’où ils auront, selon lui, du mal à revenir vers la France. » Source RT
Tout comme leurs congénères vivant en France, ces types ne sont pas français et ne le seront jamais. Il faut remigrer tous ces « Français de papiers » vers leurs pays d’origine (concernant les djihadistes, après que la justice kurde se soit occupée de leur cas bien sûr) .
Les abattre sur place .
Nous ne sommes même plus capables de les foutre au mur et de les cribler de plomb .
Notre peuple croit respecter la vie humaine alors que de fait il se suicide .