Étaient évoqués hier sur ce site les propos tout simplement délirants que tenait cette militante d’extrême-gauche antiblanche dans la rue.
Mais il y a mieux. Elle tient probablement les mêmes dans les lycées de la République.
Gabrielle Cluzel nous relate :
« Dans un article récent du Monde, Emmanuel Macron a pointé du doigt « le monde universitaire [qui] a été coupable. Il a encouragé l’ethnicisation de la question sociale en pensant que c’était un bon filon. Or, le débouché ne peut être que sécessionniste. »
Certes. Mais que dire de l’enseignement secondaire, sous le contrôle du ministère de l’Éducation nationale garant de son contenu, et qui ne peut se réfugier, comme l’université, derrière une tradition (qui parfois a du bon) de liberté intellectuelle (univoque… ) de ses mandarins ?
Ce n’est pas officiel, mais tout parent le sait : l’antiracisme, au lycée, est devenu, sinon un cours à part entière, du moins un enseignement savamment distillé dans toutes les matières littéraires, y compris les langues étrangères ; or, aucun enfant ne peut couper à la leçon d’antiracisme.
On sait déjà depuis longtemps que Lilian Thuram – selon lequel « il y a du racisme dans la culture blanche » – fait le tour des écoles dans le cadre de sa fondation (lycée Thierry-Maulnier de Nice, lycée La tourelle de Sarcelles, collège Olivier-de-Serres à Viry-Châtillon, lycée Ampère de Morsang-sur-Orge, lycées de l’académie de Limoges, lycée Marie-Curie à Strasbourg, école Saint-Joseph à Sion-les-Mines…) et que sa très mesurée comparse, Rokhaya Diallo, intervient aussi régulièrement (devant les jeunes du lycée Blaise-Pascal de Charbonnières-les-Bains, par exemple, ou encore à Lorient, au lycée… Colbert).
Proclamés éducateurs – dans la présentation qui est faite par la presse de leur conférence, on accole parfois pudiquement le qualificatif « engagé » -, ils vont donc assener leur doxa explosive dans une société prodigieusement inflammable et communautarisée comme s’il s’agissait d’un cours magistral, avec l’ascendant conféré à un intervenant agréé, introduit par le corps professoral. Les parents n’en savent la plupart du temps rien, et s’ils sont au courant, ne sont pas intellectuellement armés pour riposter à un tel matraquage : un regard étonné du prof principal assorti d’un « vous ne souhaitez pas que votre enfant soit sensibilisé à la question du racisme ? » suffit à les liquéfier sur place. Au moins, au temps des frères des écoles chrétiennes, les gamins qui n’avaient pas la foi n’étaient-ils pas forcés de recevoir les sacrements. Ici, non seulement on doit assister au catéchisme, mais en sus, obligation de communier ! À deux genoux et tête baissée.
Mais avec le comité de soutien à Adama Traoré, on franchit encore une (immense) marche.
Le site Fdesouche vient d’exhumer un post paru il y a tout juste un an sur la page Facebook « La vérité pour Adama ». Entre une rencontre de quartier et une inauguration de match de foot, on lit qu’Assa Traoré « poursuit sa tournée dans les lycées de banlieue, cette fois au lycée Voillaume à Aulnay-sous-Bois. Merci à toute l’équipe pédagogique et aux lycéens, encore un moment d’échange sur le livre lettre à Adama. À Aulnay-sous-Bois, on n’oublie pas #JusticePourThéo. »
Et en continuant d’explorer la page, sous une belle photo de la famille Traoré flanquée de Monsieur et Madame Sy et un post enthousiaste de soutien à Antonin Bernanos « incarcéré depuis 6 mois suite à une plainte de militants fascistes » (sic), on découvre en effet un joli inventaire d’établissements publics dans lesquels Assa Traoré est venue prêcher la bonne parole avec l’onction de la direction : lycée Angela-Davis (Saint-Denis), lycée Romain-Rolland (Ivry), lycée Jean-Jacques Rousseau (Sarcelles).
Et de quoi vient donc les entretenir la pasionaria du comité Traoré ? Sûrement de maths, de français, de latin ! Et qu’en retiendront-ils ? Sans doute qu’il faut accueillir les forces de l’ordre avec l’aménité et le respect qu’elles méritent. Et dire que lorsque, dans le même temps, une petite dame intervient pour le compte d’Alliance VITA dans une école catholique, on assiste à un tsunami d’indignation dans les médias… »
(source BVoltaire)
Je me permettrais d’ajouter que le problème n’est plus les forces de l’ordre – qui sont là pour défendre un régime, et sans états d’âme comme on l’a vu avec les Gilets jaunes qui avaient le malheur d’être trop français – et le respect qu’elles méritent ou pas ; le problème est que la France compte une part grandissante d’étrangers animés de haine et de jalousie envers les Français, et imprégnés d’extrême-gauchisme, qui ne s’arrêteront pas avant d’avoir détruit tout ce qui reste de français et de normal dans ce pays et, qui sait, avant d’avoir réduit les derniers Blancs de France en esclavage.
Henri Ménestrel