Une fois de plus, le fruit du travail des Français est gaspillé dans l’assistanat aux populations allogènes. Incapables de gérer correctement toutes les allocations perçues, certaines familles immigrées n’auront même plus à se soucier de remplir le devoir élémentaire de nourrir correctement leurs enfants avant l’école… Avec tout cet argent jeté par les fenêtres, la République expliquera ensuite aux Français qu’il n’y a plus d’argent dans les caisses, qu’il faut par conséquent supprimer un jour férié, travailler plus et gagner moins ou même augmenter les impôts indirects.
Trouvé sur 20 Minutes : « Des petits-déjeuners gratuits servis à l’école. Pour financer cette mesure, le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer, et la secrétaire d’État auprès de la ministre de la Santé, Christelle Dubos ont annoncé ce mardi le déblocage d’une enveloppe de six millions d’euros en 2019.
Cette mesure fait partie des promesses du plan pauvreté, annoncé en septembre dernier par le président de la République, et concernera à terme « 100.000 enfants » dans les « territoires prioritaires », précisent les deux ministres dans un communiqué. L’initiative, déjà déployée dans huit académies tests que sont Amiens, La Réunion, Lille, Montpellier, Nantes, Reims, Toulouse, Versailles, sera « généralisée au mois de septembre à l’ensemble du territoire français ».
Des repas « équilibrés et de qualité »
« L’objectif est de permettre aux enfants de ne pas commencer la journée le ventre vide, de rester concentrés pendant toute la matinée et ainsi d’apprendre dans les meilleures conditions », expliquent les deux ministres qui ont prévu de se rendre dans une école de l’Oise ce mardi pour partager un petit-déjeuner avec les élèves.
« Cette mesure participe à la réduction des inégalités, dès le plus jeune âge », ajoutent-ils. Les écoles doivent être volontaires et appartenir à une zone REP (réseau d’éducation prioritaire), REP + ou quartiers politiques de la ville ou encore certaines zones rurales où « le besoin social est identifié ». Le ministère de l’Education nationale pilotera ce dispositif qui sera budgété à hauteur de « 12 millions d’euros en année pleine, dès 2020 ».
Ces petits-déjeuners devront être « équilibrés et de qualité », « servis dans le respect des règles de sécurité et d’hygiène alimentaire », « ouverts à tous les enfants » et « accompagnés d’une action d’éducation à l’alimentation ». Le plan pauvreté – doté de 8,5 milliards d’euros – comprend également la cantine à un euro mais aussi le revenu universel d’activité (RUA) qui fusionnera « le plus grand nombre possible de prestations », du RSA aux aides au logement, et dont « l’État sera entièrement responsable », avait annoncé Emmanuel Macron en septembre. »