Lu dans la Dépêche :
« Dans la nuit du 26 au 27 juillet dernier, alors qu’ils avaient été déjà incendiés ou dégradés lors du mouvement des Gilets jaunes qui pointait du doigt les taxes imposées par l’État, on se souvient que le radar de la route de Montréal, à la sortie de Carcassonne, ainsi que celui de Preixan, sur la RD 118 menant à Limoux, avaient été la cible de nouvelles dégradations les réduisant à néant… Celui de la route de Montréal avait ainsi été totalement détruit par incendie, alors que celui de la route de Preixan, un radar ‘‘nouvelle génération » récemment installé, avait eu son mât ‘‘fondu » avec ce qui s’apparente à un chalumeau.
En l’espace d’une semaine, force est de constater que le radar incendié de la route de la Montréal n’a pas changé de visage, alors que celui de Preixan a vite retrouvé sa position le long de la RD 118, après avoir été réinstallé il y a quelques jours à peine.
Une renaissance de courte durée si l’on peut dire, puisque le radar en question a de nouveau été vandalisé dans la nuit de samedi à dimanche. Cette fois-ci, c’est la base du mât qui a été scié, couchant ainsi le pilier portant le radar proprement dit. Sur ces faits, aucune revendication n’a été faite, si ce n’est qu’ils ont été largement diffusés sur les réseaux sociaux et notamment Facebook. Une enquête de gendarmerie est actuellement en cours. »