Renonciation du pape : l’ultime provocation des Femen à Notre-Dame de Paris

Mardi matin, afin de «fêter le départ du pape», huit féministes du mouvement Femen ont manifesté seins nus dans la nef de Notre-Dame de Paris. Elles ont fait tinter trois des neuf nouvelles cloches provisoirement déposées dans la nef, avec des morceaux de bois, criant en anglais «Pope no more», c’est-à-dire «Plus de pape». Des slogans écrits au feutre parcouraient leurs corps dénudés : «No homophobe», «Crise de la foi», «Bye bye Benoît

Cette scandaleuse provocation a suscité l’indignation des visiteurs de la cathédrale, lesquels ont réagit : «Ici c’est sacré, vous n’avez pas à vous dénuder», leur a ainsi lancé  une dame. Les intruses ont néanmoins été rapidement évacuées de l’édifice par le service d’ordre de Notre-Dame. Demeurant encore une dizaine de minutes devant la cathédrale, elles ont scandé des slogans comme «In gay we trust», ou «Dégage homophobe !», avant d’être embarquées par la police et conduites au commissariat du IVe arrondissement.

Les féministes des Femen se sont donc enfermées dans leur rôle de provocatrices violentes, au point de ne pas savoir respecter ce qu’il peut y avoir de plus sacré en l’homme : sa dimension spirituelle. A vrai dire, on s’interroge encore sur la dignité de la femme que ces féministes sont sensées promouvoir : dénudées en permanence, obsédées du sexe, elles renvoient à une image très dégradée de la femme, difficilement compatible avec la mise en valeur de la féminité.

Lorsqu’on met en regard l’humilité du pape et sa hauteur de vue avec la caricature dont les Femen sont les actrices, et la l’abîme intellectuel des slogans qu’elles scandent, on a vite fait de se faire un avis. C’est d’ailleurs à se demander si ces féministes n’ont pas à cœur de discréditer le combat idéologique qu’elles mènent et de rendre le pape sympathique aux yeux de l’opinion. Elles le voudraient, elles ne s’y prendraient pas autrement…

Benoît XVI, le Ciel et Malachie : une alchimie dangereuse…

Le soir même où Benoît XVI annonçait qu’il déposait sa charge, la foudre s’est abattue sur le dôme de la basilique Saint-Pierre, au Vatican… Cette journée fut un coup de tonnerre, au propre comme au figuré :

Un signe qui, selon certain, se ferait l’écho de la prophétie de Saint Malachie laquelle, datant du XIIe siècle, annonce que le 112e pape serait le dernier pape… et que lui succèderait la fin du monde. Le texte a été publié pour la première fois en 1595, mais pourrait dater d’une époque encore plus lointaine : ce sont cinq pages écrites en latin et attribuées à un moine irlandais du XIIe siècle, Malachie d’Armagh. Celui-ci évoque 112 pontificats et formule pour chacun d’eux un résumé succinct. Voici la traduction du texte concernant le 112e pape, à savoir le successeur de Benoît XVI :  « Dans la dernière persécution de la sainte Eglise romaine siégera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis à travers de nombreuses tribulations. Celles-ci terminées, la cité aux sept collines sera détruite, et le Juge redoutable jugera son peuple »…

 

« Mariage » homo : le projet de loi passe l’étape de l’Assemblée nationale…

L’Assemblée nationale vient donc d’adopter, hier, le projet de loi sur le « mariage » homosexuel, par 329 voix contre 229. Cette réforme sociétale contenue dans le programme du candidat François Hollande, et soutenue par la majorité socialiste, a donc franchi une première étape vers sa réalisation. Le vote est intervenu vers 17h, après dix jours de débat parlementaire : à son issue, Christiane Taubira a remercié les députés et le gouvernement.

Le projet de loi ouvrant le droit au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels va désormais être examiné par le Sénat. Cette deuxième étape législative se déroulera à partir du 2 avril : calendrier annoncé mardi par le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies. La France s’enfonce encore un peu dans le gouffre d’une décadence qui ignore toutes les normes naturelles, toutes les frontières éthiques, et préfère s’adonner aux revendications consuméristes au mépris des intérêts supérieurs.

Cependant,  lundi 11 février à 21h, soit quinze jours après les premières pétitions contre le « mariage » homosexuel adressées au Conseil Économique, Social et Environnemental, lequel a autorité pour intervenir dans le processus en cours, on comptait 552.000 signatures. Philippe Brillault, maire du Chesnay et conseiller général des Yvelines, fait le point :

Quand l’Union européenne condamne la France et protège les sectes…

La Cour européenne des droits de l’Homme a donné raison à la secte du Mandarom , et condamné la France pour des redressements fiscaux portant, selon elle, atteinte à la liberté de pensée, de conscience et de religion. Déjà en 2011, la branche française des Témoins de Jéhovah avaient bénéficié d’un arrêt de la Cour européenne.

Les procédures fiscales intentées contre ces sectes déguisées en association ont donc été invalidées, Paris étant condamnée par la Cour à payer, pour « préjudice matériel », 3.599.551 euros à l’Association cultuelle du temple pyramide, et 36.886 euros à l’Association des chevaliers du lotus d’or, toutes deux liées au « Mandarom ».
Une troisième requérante, l’Église évangélique missionnaire, présidée par Eric Salaûn, s’est vu allouer 387.722 euros.

Un constat s’impose : la France n’est plus souveraine, les français ne sont plus maîtres chez eux ! Le droit européen prime en effet le droit français et lui interdit par conséquent, par délit d’ingérence, de régir le territoire national et de gouverner les siens sans son accord. Un pays qui a abdiqué ses prérogatives régaliennes, qui n’a plus la maîtrise de sa monnaie ni de son budget, dont le droit ne prime pas chez lui et dont 80% des lois sont imposées par des technocrates extérieurs, qui ne possède pas davantage la maîtrise de son territoire, mais que lui reste-t-il donc ? Il n’existe déjà quasiment plus de fait !

La logique européiste est celle de l’uniformisation, et donc de l’abdication des responsabilités particulières, liées à la dignité humaine sur laquelle se fonde précisément le principe de subsidiarité. Il n’y a en effet aucune responsabilité, qui est pourtant une expression de la dignité, sans libre-arbitre : à l’échelle humaine comme à celle des nations. Car la liberté est à l’individu ce que la souveraineté est à la nation.

Aujourd’hui, l’Union européenne condamne la France et protège les sectes qui peuvent donc impunément y proliférer. Si jurisprudence il y a, à quel nouveau caprice la France sera-t-elle exposée demain ?

Vous avez dit « société marchande » ?

La vidéo qui suit a été filmée en Chine. Mais les images que vous allez voir pourront bientôt être filmées en Europe. Car la logique du marché domine aujourd’hui la politique européenne qui, en abaissant les frontières, a érigé le dogme de la libre circulation des capitaux et des marchandises, soumettant à la concurrence déloyale des pays à bas taux de production l’ensemble des nations européennes. L’économie commande donc le politique : dans une Europe-supermarché où tout se vend et tout s’achète, où la concurrence est rude, les dynamiques d’intérêts, qui sont naturellement sécrétées, déshumanisent profondément l’homme, réduit à n’être qu’un producteur ou un consommateur :

Egypte : des femmes violées avec la bénédiction d’un prêcheur salafiste !

Au Caire, à l’occasion du deuxième anniversaire du soulèvement qui a chassé Housni Moubarak, une petite trentaine de femmes ont manifesté place Tahrir contre le régime de Morsi : elles ont alors été pourchassées puis violées par des musulmans, hostiles à leur démarche politique et proches des Frères musulmans et des salafistes.

Et voilà qu’un responsable musulman est venu encouragé cette barbarie ! Ahmad Mahmoud Abdullah, un égyptien, propriétaire de la télévision islamiste Al-Ummah, et prêcheur salafiste de son état, vient de déclarer dans son programme télévisé de mercredi dernier qu’il n’était pas interdit de violer ces femmes car elles ne sont que des « croisées », chrétiennes à 90 %, des femmes « éhontées, effrontées et sans féminité », des « monstres » et que leur provocation exprime leur désir d’être violées !!

Rappelons que ce prêcheur salafiste s’était déjà distingué l’année dernière en brûlant une Bible devant l’ambassade des États-Unis, au Caire.

Pour mémoire, toutes choses égales par ailleurs, y a-t-il un responsable catholique qui ait jamais tenu de tels propos à l’encontre des musulmans ? Puisqu’on nous explique à longueur de temps que « les intégristes, il y en a dans toutes les religions », quelle est la correspondance catholique de l’intégrisme musulman ? Les fidèles lefèbvristes qui fréquentent Saint Nicolas du Chardonnay violent-ils les femmes musulmanes qui leurs sont hostiles, posent-ils des bombes dans l’espoir de monter au Ciel en exterminant les musulmans ? Alors « intégristes », qu’est-ce à dire ? Encore un vieux poncif bien qui masque l’indigence de la pensée moderne…

Dans deux semaines, tous les catholiques seront sédévacantistes !

[Tribune libre, n’engageant donc pas le site]

« « Le Roi est mort, vive le Roi ! » Ce noble cri exprime qu’en France, le Roi, incarnation charnelle de l’État, ne meurt pas. Désigné par les lois de succession de la couronne, il n’est pas propriétaire de son trône, ne dispose pas de sa couronne, et ne peut donc pas l’abdiquer, ni pour lui, ni pour sa descendance. Il n’en est rien pour l’Église : lorsque le pape rend son âme à Dieu -ou  bien qu’il renonce à son ministère-, il laisse un siège apostolique vacant, en attendant l’élection du nouveau pape par les cardinaux. Le Christ demeure en permanence la tête de l’Église, mais il n’a plus de vicaire à la tête de l’Église militante, jusqu’à la décision du conclave.

Ainsi en sera-t-il le 28 février à 20H00. Les catholiques du monde entier pleureront Benoît XVI, retiré dans un monastère, et acclameront quelques jours plus tard le nouveau Vicaire du Christ .

On peut détester un président de la République parce qu’il n’est finalement issu que d’une faction du peuple, parce qu’il usurpe la place du Roi -qui rappelons le, en France, ne meurt pas, et qui est imposé par les siècles. Mais la déférence dévolue au Vicaire du Christ sur terre est d’un autre ordre. Le pape, qui occupe le siège suprême de l’Église, a toute juridiction sur les âmes et n’est placé sous la juridiction de personne : il n’a donc de compte à rendre qu’à Dieu. Aucune juridiction humaine ne peut le juger, ni le désaisir de son ministère. Ce qui ne fait pas de lui un despote : gardien du dogme, dépositaire d’un enseignement qui ne lui appartient pas, il obéit à une loi plus haute que sa charge, mais à laquelle celle-ci est relative : le salut des âmes.
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La PMA fabrique des orphelins !

En plein débat sur la procréation médicalement assistée, la première génération d’enfants issus d’un don de gamète anonyme tente de s’exprimer et de faire entendre sa plainte : «Nous sommes une génération d’abandonnés, orphelins de nos origines», fait-elle savoir. L’association Procréation médicalement anonyme (PMA), qui militent pour l’accès de l’enfant à ses origines, apporte en effet des témoignages éclairants et bouleversants sur la détresse des jeunes issus de la technologie : «Nous avons à présent un recul de plus de 40 ans sur ces techniques. L’ouverture de l’assistance médicale à la procréation implique au préalable le devoir impérieux de prendre en compte notre expérience, celle des parents et des donneurs», expliquent les membres de l’association.

Ce que le monde moderne refuse de comprendre, c’est que la technologie ne se substituera jamais à la morale. L’homme a peut-être su développer un pouvoir incroyable sur la matière, au point de savoir fabriquer un être humain, il reste que ces avancées scientifiques, si elles ne sont pas subordonnées à un progrès éthique, peuvent aussi bien devenir un facteur de destruction pour une humanité en perte de sens et de repère.

Ce que soulignent notamment ces appels de détresses des enfants issus de la PMA, c’est que la recherche du sens, inhérente à la conscience humaine, commence par la recherche de ses origines. D’où vient-on ? Car l’homme ne vient pas de nulle part, et il ne saurait savoir où il va sans savoir déjà d’où il vient.  Une recherche qui suppose déjà celle de ses parents…

Libye : les chrétiens persécutés par les musulmans

Depuis l’ingérence de la France en Libye, tout va de mal en pis pour les chrétiens qui tentent d’y survivre. A l’aune d’une grille de lecture exclusivement idéologique, et au mépris des règles de la prudence élémentaire qui commandent d’envisager les alternatives possibles à la situation que l’on veut remplacer, ainsi que les conséquences possibles d’un tel bouleversement, la France a bousculé le fragile équilibre géopolitique de la région qui maintenait tout de même le pays en paix. C’est ainsi que la Libye a été abandonnée à des musulmans radicaux qui ont imposé la charia, en échange des ressources naturelles du pays…

« Pas un jour ne passe sans que les tombes ne soient vandalisées », explique Dalmasso Bruno, gardien du cimetière italien à Tripoli. L’inquiétude est en effet grandissante dans la communauté chrétienne en Libye. Elle se sent dépourvue face au fondamentalisme musulman. « Des restes d’ossements humains ont été sortis de leur tombe et éparpillés dans le cimetière », déplore le gardien.

Les chrétiens sont peu nombreux en Lybie, et ne représentent évidemment aucun danger pour le régime en place : ils représentent moins de 3% des 6,3 millions d’habitants de ce pays musulman. Mais depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, les chrétiens sont victimes d’une véritable répression dans le pays. Peu après Noël, un attentat avait effectivement été perpétré contre une église près de Misrata, à 200 km à l’est de Tripoli, tuant deux coptes égyptiens. Un attentat qui n’a été qu’un point de départ. A lire ici.

A paraître : le destin rocambolesque de la tête du bon Roi Henri …

Le destin de la tête de notre bon roi Henri IV a suscité beaucoup de curiosité, notamment dans les milieux scientifiques. Le journaliste Stéphane Gabet et le médecin légiste Philippe Charlier racontent ainsi leurs recherches, riches en rebondissements, dans un livre à paraître vendredi 15 février : Henri IV, l’énigme du roi sans tête. Des recherches qui auront finalement duré quatre ans, denses en émotion, jalonnées d’échecs mais aussi de succès.

Après son assassinat par Ravaillac, le 14 mai 1610, Henri IV fut enterré à la basilique de Saint-Denis, comme la plupart des rois. Mais son repos éternel fut brisé lors des profanations révolutionnaires de tombes royales, qui se déroulèrent du 12 au 25 octobre 1793. «D’après de nombreux témoignages, la nécropole des rois se serait alors transformée en véritable marché aux reliques (…) qui avaient une valeur symbolique et, donc, marchande forte», expliquent les auteurs. Est-ce à ce moment-là que la tête d’Henri IV fut détachée de son corps? Aucun témoignage ne le signale. En tout cas, Henri IV fut rejeté dans les fosses communes. Vingt-quatre ans plus tard, le 18 janvier 1817, quand le roi Louis XVIII fit ouvrir les fosses communes de Saint-Denis, la dépouille d’Henri IV fut découverte décapitée. Le mystère commence ici :

La Jeunesse ouvrière chrétienne veut dénaturer le mariage !

La Jeunesse ouvrières chrétienne (JOC) de Nantes a annoncé, à l’antenne de RCF Anjou, son intention d’adresser un courrier aux évêques de France : cette section de la JOC veut en effet communiquer, concernant le projet de loi Taubira dénaturant le mariage, son désaccord de fond sur le positionnement de l’épiscopat français.

Décidément, Marcel Callot, qui fut par ailleurs le premier scout béatifié, doit se retourner dans sa tombe en observant ce que devient le mouvement dans lequel il a exercé d’importantes responsabilités.

Si la JOC se réclame du catholicisme, elle doit savoir qu’il existe, en matière morale comme en matière doctrinale, un Magistère dans l’Église catholique romaine. Et la position de l’Église sur le mariage, qui fait d’ailleurs l’objet d’un sacrement, est constante au cours de son histoire. Le libre examen quant à lui, selon lequel chacun interprète librement l’Écriture pour modeler une Foi à sa mesure, en niant par conséquent l’existence de tout magistère et de toute autorité au dessus du sujet lui-même, est une démarche proprement protestante. « L’homme est la mesure de toute chose« , affirmait déjà l’antique Protagoras, pour définir le relativisme qu’il prônait…

En l’état, « l’Église est experte en humanité » parce que son Fondateur est en même temps l’auteur de la nature humaine : ce qui légitime son discours éthique. Ou bien l’on nie l’origine divine de l’Église, mais dans ce cas l’on ne se revendique pas du catholicisme…

En tout état de cause, si vous voulez avoir plus d’explications, il est possible de contacter Albert Cau, responsable de la JOC Nantes, 5 rue Lorette-de-la-Refoulais 44000 Nantes. Tél. : 02 40 74 50 97

Démocratie : cette semaine, c’était la récré à l’Assemblée !

Le vice inhérent de la démocratie, c’est de sécréter des dynamiques d’intérêts partisans et d’ignorer bien souvent les intérêts supérieurs de la nation. En image, la récréation au parlement : la maîtresse a bien du mal a en siffler la fin…


Mariage gay: quand les députés craquent par LeHuffPost

Substitution de population : l’aveu du Système !

Manuel Valls avoue a demi mot, face à Michèle Tribalat, directrice des recherche à l’INESD, la substitution démographique qui se déroule actuellement en France. C’était il y a un an. Un processus qui progresse chaque année. Il y aura un point de non-retour, il faut le savoir.