Un chrétien massacré toutes les cinq minutes en 2012 !

Le sociologue Massimo Introvigne a été, durant l’année 2011, consultant près l’Organisation pour la Sécurité et Coopération en Europe, pour laquelle il était chargé de la surveillance des persécutions religieuses. Aujourd’hui président de L’Observatoire de la liberté religieuse, un organisme créé en juin 2012 par le ministère italien des Affaires étrangères, il estime que 105 000 chrétiens au minimun ont été assassinés pour leur foi en 2012. Cela fait un chrétien massacré toutes les cinq minutes !

Le chercheur avait déjà avancé ce chiffre lors d’une conférence qui s’était tenue les 2 et 3 juin 2011 en Hongrie, à l’initiative du ministère hongrois de la Justice et du Conseil de l’Union européenne. Il juge par ailleurs qu’au moins 200 millions de chrétiens sont plus généralement persécutés pour leur foi dans le monde. « La persécution des chrétiens est devenue aujourd’hui la première urgence mondiale en matière de violence et de discrimination religieuse. Il n’existe aucune autre foi qui soit autant combattue », conclut-il.

Comme il est curieux que les médias français ne relaient pas cette information, eux qui sont si sensibles aux discriminations… Il y a manifestement une indulgence coupable -au mieux une indifférence coupable- à l’égard de la persécution dont est victime la religion de nos pères. Y aurait-il une volonté inavouée  d’émanciper notre société de tout ce qui a façonné notre civilisation, et plus généralement l’ère chrétienne ? Afin d’y substituer peut être une autre religion qui ferait oublier nos racines. Car la nature, de toute façon, a horreur du vide…

Une problématique qui n’est pas nouvelle :

Quand les Français apprennent la langue de leurs colonisateurs…

Voici ce que l’on peut lire sur la porte de l’école élémentaire Jules Ferry du Perreux sur Marne (94) :

Ou comment pratiquer l’assimilation à l’envers. On peut regretter l’immigration de masse, et nous la regrettons car elle a une incidence évidente sur l’équilibre démographique, culture, et économique de nos sociétés occidentales. Mais pour le moins aurait-on pu exiger des nouveaux venus qu’ils adoptent nos codes, afin de faciliter leur assimilation à la société française. Eh bien c’est le contraire qui a lieu de nos jours : plutôt que d’apprendre aux immigrés la langue française, l’école de la république propose aux français d’apprendre la langue des immigrés. Dans le dictionnaire, on appelle ça une colonisation. Mais cette colonisation dont est victime notre pays est beaucoup plus subversive : puisqu’elle ne se fait pas par les armes, mais par les leviers conjugués de l’immigration de masse et de la démographie.

Pour souvenir, la droite y est favorable :


Jean François Copé et l'apprentissage de la… par zaxx

Le ménage à trois reconnu par la loi : l’exemple du Brésil montre qu’il ne s’agit pas de science fiction

Ainsi qu’il a déjà été analysé : si l’amour consenti entre « partenaires » est le critère exclusif auquel doit se référer un maire pour procéder à un mariage, si le mariage n’est plus dès lors défini que comme la reconnaissance d’un amour partagé, alors comment s’opposer demain à la polygamie, pourvue qu’elle soit librement consentie ? Puisqu’on vous dit qu’ils s’aiment ! Nous entendrons alors les même arguments que scandent aujourd’hui les promoteurs du « mariage » homosexuel : ce qui compte, c’est leur amour, donnons leur les mêmes droits !

Ce n’est pas de la science fiction, c’est juste un raisonnement par l’absurde qui manifeste les implications ridicules des principes sur lesquels se fondent les partisans du « mariage » homosexuel…

Et surtout, n’est pas de la science fiction, puisque cela a déjà eu cours… Au Brésil. Un an après le premier mariage civil entre deux homosexuels, le Brésil a célébré en mai dernier la première union entre trois personnes. Claudia do Nascimento Domingues, notaire de Tupa, à 430 km de São Paulo, a uni en effet un homme et deux femmes : »Ma fonction n’est pas de juger si cette situation est correcte ou pas« , a-t-elle déclaré à l’AFP, précisant que rien dans la loi brésilienne n’interdisait une telle union. « C’est quelque chose de nouveau, mais je ne l’aurais pas fait si la loi l’interdisait explicitement. »

Regina Beatriz Tavares da Silva, une avocate contactée par la BBC, juge cependant que c’est « quelque chose de complètement inacceptable qui va à l’encontre des valeurs brésiliennes et de la morale« .

Puisque ça se fait dans les autres pays, et que la France n’a pas le droit d’être en retard, il faudra bien que le débat arrive un jour jusqu’à nous…

Goldman-Sachs : ou la finance qui devient folle dirige le monde…

Alors que la civilisation est menacée de toute part par des revendications consuméristes, il n’est pas inutile de rappeler les facteurs de déliquescence du tissu social, ceux qui sont responsables de l’effacement des frontières, des repères, des codes. Parmi eux, la finance : et la subordination du politique au marché et à une économie devenue folle, aux exigences de la rentabilité à tout prix. Nous vous proposons d’illustrer notre propos :

Plus qu’une banque, Goldman Sachs est un empire invisible riche de 700 milliards d’euros d’actifs, soit deux fois le budget de la France. On l’appelle « la Firme », comme dans les romans d’espionnage des années 1980. Après s’être enrichie pendant la crise des subprimes, en pariant sur la faillite des ménages américains, elle a été l’un des instigateurs de la crise de l’euro en maquillant les comptes de la Grèce puis en misant contre la monnaie unique. Un empire de l’argent sur lequel le soleil ne se couche jamais, qui a transformé la planète en un vaste casino. Grâce à son réseau d’influence unique au monde, et son armée de 30 000 moines-banquiers, Goldman Sachs a su profiter de la crise pour accroître sa puissance financière, augmenter son emprise sur les gouvernements et bénéficier de l’impunité des justices américaine et européennes.

Dans la vidéo qui suit, on entend un protagoniste s’exprimer ainsi : « Si vous deviez choisir une banque qui, sur une longue période, a vraiment façonné la pensée unique, ce serait certainement Goldman Sachs »

La cathédrale de Rouen : joyau de notre patrimoine architectural et spirituel

Ce dimanche, nous vous proposons un reportage sur l’une des plus belle cathédrale de France : Rouen. Dans laquelle Rollon, chef des vikings, sera baptisé en 912 ainsi qu’en avait convenu le traité de Saint-Clair sur Epte qui le faisait premier duc de Normandie en 911.

Sa magnifique flèche est toujours la plus haute de France. Joyau de notre architecture, la construction de la cathédrale de Rouen a duré 3 siècles. A plusieurs reprises dans son histoire, elle aurait pu disparaître, notamment pendant la seconde guerre mondiale. A chaque fois, des hommes se sont mobilisés pour la reconstruire.

Professeur Joyeux : « On peut greffer un utérus à un homme »

Mardi, la Chaîne Parlementaire diffusait l’émission Ca vous regarde consacrée au « mariage » homosexuel. Le Professeur Henri Joyeux, président de « Familles de France », était notamment l’invité du débat. Pour manifester les implications absurdes des thèses progressistes, selon lesquelles l’homme doit pouvoir s’émanciper de la nature et de ses lois, il déclare : « Je suis chirurgien ! Sachez que l’on peut vous greffer un utérus, sachez que vous pourrez avoir des bébés, déclare le chirurgien cancérologue au député Yann Galut. Donc, on pourra greffer un utérus à un homme dans la mesure où on sait le faire à une femme« . Avant d’expliquer : « Avec des hormones, Monsieur pourra avoir un bébé mais, la seule chose, ça sera une grossesse où l’accouchement se fera par césarienne obligatoire« .

Est-ce là que les apprentis sorciers de tous bords veulent en venir ? Puisqu’ils ne reconnaissent aucune mesure du bien et du mal, ni aucune norme naturelle à la conduite humaine. Puisqu’ils voient la nature comme une contrainte de laquelle il faut s’émanciper. Le transsexualisme, la procréation médicalement assistée et le « mariage » homosexuel ne s’inscrivent-ils pas dans cette démarche de « libération » de l’homme ? A voir :

L’école maternelle, trop sexiste ? Ou les élucubrations d’un député socialiste

Sandrine Mazetier, député PS de Paris, a expliqué sur RTL qu’elle souhaitait débaptiser l’école maternelle. Une terminologie « trop sexiste » selon elle, car elle évoque exclusivement l’image de la mère : «La maternelle, c’est une école. Ce n’est pas un lieu de soin ou un lieu de maternage. C’est aussi un lieu d’apprentissage», explique-t-elle en soulignant que l’épithète maternelle est basé sur la racine mater, c’est-à-dire mère, en latin.

Le député juge donc opportun de saisir le gouvernement sur cette question : «Changer le nom de « maternelle » en « petite école » ou en « première école », c’est neutraliser d’une certaine manière la charge affective et maternante du mot « maternelle »», a précisé le député, suggérant que l’école n’avait pas vocation à materner les enfants.

Décidément, quand il s’agit de nier la différenciation sexuelle, la gauche progressiste fait feu de tout bois et s’empare de tous les sujets ! Mais reconnaissons que ce député a bien raison de souligner que le rôle de l’école n’est pas de se substituer à la mère en particulier, ni aux parents en général : vive l’école libre !

Hollande veut supprimer le mot « race » de la Constitution avant l’été

Parmi les promesses de campagne du candidat François Hollande figurait la suppression du mot « race » de la Constitution : aujourd’hui, le président François Hollande souhaite mettre en œuvre sa promesse de campagne. La réforme constitutionnelle envisagée par l’Élysée devrait ainsi avoir lieu avant l’été : la suppression du mot « race » deviendrait alors effective. Ce serait ainsi l’article 1er de la Constitution qui serait modifié, lequel stipule pour l’instant que « la France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée« .

Candidat, François Hollande avait en effet déclaré en mars 2012 : « Il n’y a pas de place dans la République pour la race. Et c’est pourquoi je demanderai au lendemain de la présidentielle au Parlement de supprimer le mot « race »de notre Constitution« .

Sous couvert des meilleurs sentiments, l’idéologie s’affronte au réel et et veut lui imposer ses vues. Car la question n’est pas de savoir si la république admet les races : mais d’interroger d’abord leur existence. Bref, voir la réalité telle qu’elle est et non telle que l’on voudrait qu’elle soit. François Hollande croit pouvoir supprimer une réalité en supprimant le mot qui la désigne. Enfantillage.

En tout, cas, il est étonnant que les chantres de la diversité veuillent à ce point chercher l’uniformisation et la standardisation du modèle humain.  « Il n’y a point d’homme dans le monde. J’ai vu, dans ma vie, des Français, des Italiens, des Russes, etc. ; je sais même, grâce à Montesquieu, qu’on peut être Persan : mais quant à l’homme, je déclare ne l’avoir rencontré de ma vie ; s’il existe, c’est bien à mon insu« , déclarait pourtant Joseph de Maistre. Car l’humanité n’est pas un concept, et pas davantage une abstraction, mais une réalité qui s’incarne.

L’Allemagne fait un pas de plus vers l’islamisation…

Brême, Hambourg, Hesse sont les trois États allemands qui ont décidé de reconnaître des associations musulmanes comme des institutions religieuses officielles.La reconnaissance officielle de ces institutions et associations musulmanes leur ouvre ainsi des portes aux lieux publics : les prisons, les hôpitaux, ou encore les institutions. Cette reconnaissance permettra aussi à ces organismes musulmans de proposer des cours d’enseignement religieux dans les écoles. Bref, de quoi élargir leur champ d’action.

Une reconnaissance qui fait suite à une évolution déjà entamée : la ville de Hambourg, suivie par la ville de Brême, avait en effet la première accordé trois jours fériés pour les fêtes musulmanes : Aïd el Fitr, Aïd el Adha, Achoura.

La communautarisation des pays occidentaux s’accélère : faudra-t-il rappeler que les patries ne sont pas une addition de communautés vivant sur une ère géographique vierge de tous repères et de tous codes ? Coexister n’est pas vivre ensemble. Comment organiser par exemple le temps social si chaque catégorie revendique ses propres jours fériés ? Ne faut-il pas qu’elles soient toutes perméables à une même culture pour que l’unité supérieure du pays soit assurée et que le ciment social soit suffisamment solide pour garantir le bien commun ?

L’Allemagne est le deuxième pays européen détenant la plus forte communauté musulmane, la France étant la première…

L’UE veut contrôler davantage les médias : quand l’européisme révèle son caractère totalitaire

The Telegraph, un site d’information britannique, se fait l’écho d’un rapport d’experts de « haut niveau », lequel établit notamment que « tous les pays de l’UE devraient disposer d’un conseil indépendant des médias« , lequel doit « disposer de réels pouvoirs de sanction comme le fait d’imposer des amendes, d’ordonner la diffusion d’excuses publiques ou le retrait du statut de journaliste » . En bref, le rapport préconise d’instaurer un contrôle accru des médias, par instances de supervision nationales, lesquelles rendraient compte à la Commission.

Réagissant à cette annonce, le député conservateur britannique Douglas Carswell a déclaré que ce rapport illustre « le genre d’état d’esprit que je m’attendrais à rencontrer en Iran pas en Occident. Cette idée loufoque nous en dit un peu plus quant au futur de la réglementation de la presse. Elle laisse entendre que le projet européen est finalement incompatible avec la notion d’une société libre » .

En réalité, nous pouvons nous indigner, mais non pas être surpris. Rien d’étonnant que l’Union Européenne prenne les moyens de contrôler de plus près la presse et les journalistes : son caractère totalitaire est inscrit dans son ADN. Conçue à rebours des exigences du principe de subsidiarité, lequel n’admet pas qu’une société d’ordre supérieur confisque les prérogatives d’une société d’ordre inférieur, chaque fois que celle-ci peut les assumer par elle-même, elle apparaît comme un pouvoir lointain qui s’impose directement et indistinctement à chaque individu, au mépris de la responsabilité des corps intermédiaires. Or une telle structure doit disposer d’un appareil aux ordres, qui puisse notamment centraliser l’information.

Ce à quoi nous assistons était déjà écrit : encore fallait-il discerner les implications du projet européen, dès qu’il a été mis en place. Big brother is watching you !

Etats-Unis : le marché des « mères porteuses »…

Pour quelques dizaines de milliers de dollars aux États-Unis, les agences qui évoluent dans la filière des mères porteuses proposent des jeunes femmes triées sur le volet.

Le Figaro propose ici un témoignage singulier. Jennifer, 29 ans, pionnière en matière de «création de familles», figure dans le catalogue de «plus de mille donneuses aux profils des plus exceptionnels et divers» proposé par l’agence américaine Egg Donation (Don d’ovule), «leader du marché». Elle ne veut pas d’enfant mais elle estime que ce serait «un gâchis» de ne pas «utiliser de si bons ovules»…

Voilà ce qui attend la France, après le « mariage » homosexuel. Car ne nous y trompons pas, détourner la loi de l’intérêt général pour l’ordonner à l’individu et à ses intérêts égoïstes, c’est s’exposer aux plus graves dérives consuméristes. Puisque l’enfant n’est plus sujet, mais objet de la loi, puisque le droit à l’enfant s’est substitué au droit de l’enfant, c’est désormais un véritable marché qui va se mettre en place, si la loi passe. Des « couples » homosexuel qui, par nature, ne sont pas ouverts à la transmission de la vie, auront recours à tous les artifices que la technologie mettra à leur disposition, pour « fabriquer » les enfants que les lois de la nature leur refusent…

Nous sommes entrés dans l’ère des apprentis sorciers où des lois immuables et séculaires sont bousculées pour satisfaire une idéologie destructrice, au risque de briser le fragile équilibre que l’homme a su construire avec l’apparition de la civilisation.

Le garde des sceaux dérape dans son bac à sable

Mardi, alors qu’elle présentait son projet de loi sur le « mariage » homosexuel, le garde des sceaux, Christine Taubira, a déclaré entre autres inepties :

« Vous pouvez continuer à refuser de voir, à refuser de regarder autour de vous, à refuser de tolérer la présence, y compris près de vous, y compris, peut-être, dans vos familles, de couples homosexuels. […] Vous pouvez conserver le regard obstinément rivé sur le passé […] et encore, en regardant bien le passé, y trouverez-vous des traces durables de la reconnaissance officielle, y compris par l’Église, de couples homosexuels. »

Passons sur le passage où elle tente de faire dire au Magistère de l’Église ce qu’il n’a jamais enseigné. Il est vrai qu’il n’est nul besoin d’avoir été au catéchisme pour être garde de sceaux.

Plus grave cependant est le rôle qu’elle confère tacitement à la loi, lorsqu’elle suggère que celle-ci doit entériner toutes les situations de fait et sanctionner aveuglément l’évolution d’une société. La loi n’a pas vocation, par exemple, à reconnaître toutes les formes de « couples » afin de leur associer des droits : car le législateur n’est pas un prestataire de service, et la loi est ordonnée au bien commun, non à la satisfaction des intérêts égoïstes. Si le mariage fait l’objet d’une législation, c’est précisément parce qu’il a une fonction sociale ; c’est parce que, construit autour de la complémentarité sexuelle, il fonde la famille, cellule de base de la société et condition d’une société pérenne.

Quand on en vient à devoir théoriser le bon sens et justifier l’évidence, pourtant actée par la sagesse des siècles, c’est qu’on est tombé bien bas et que la société marche définitivement sur la tête…

Anniversaire du régicide : le RF Nantes commémore la mémoire du roi martyr

Depuis la mort de Louis XVI, France, la petite orpheline, erre sans repère, au gré des revendications matérialistes et consuméristes de ses bourreaux. Le régicide sacrilège du roi-martyr, oint de Dieu et lieutenant du Christ, suscite cependant chaque année un bien triste souvenir que les vrais français, parce qu’ils se savent profondément débiteurs des rois qui ont fait la France,  ne laissent pas s’estomper. A eux, la mémoire n’a pas été confisquée : la famille, dernier berceau de chrétienté, reste un fidèle canal du souvenir où toute chose amère se conserve dans l’intimité des cœurs et des chaumières. La section nantaise du Renouveau français nous le rappelle cette année encore :

Avenir de l’église Saint-Eloi de Vierzon : entre centre d’avortements et siège du parti communiste…

A Vierzon, l’église Saint-Eloi continue à faire parler d’elle : le député-maire Front de gauche, Nicolas Sansu, s’oppose au rachat de l’église Saint-Éloi par la confrérie Saint-Eloi, qu’il juge en effet tenir un discours discriminatoire envers les musulmans dans son appel aux dons. « Je dis à tous ceux qui leur donnent de l’argent qu’ils vont le perdre ! Car je ne laisserai pas la confrérie racheter l’église« , s’exclame-t-il avant de poursuivre : « Je n’accepte pas que l’on mette en péril le vivre-ensemble dans la ville (…).Nous ferons jouer notre droit de préemption urbain« .

Mais monsieur le maire est généreux et pense à l’avenir de l’église : tout en affirmant vouloir aider les musulmans à trouver un autre local, il envisage de racheter l’église…pour y installer la section locale du parti communiste, ou bien pour en faire un centre IVG !

Manifestement, le maire n’a pas la même bienveillance envers les musulmans et envers les catholiques : il s’inquiète de reloger les premiers afin de mettre à leur disposition un nouveau lieu de prière, et s’empresse de vouloir faire du lieu de culte des autres une antichambre de l’enfer !