Quand les pro « mariage » gay tombent les masques

Après les explosions terroristes qui ont eu lieu hier à Boston, les partisans de la dénaturation du mariage montrent leur vrais visages. Comme quoi, derrière les belles vertus de tolérance et autres niaiseries dont ils se parent, les défenseurs du « mariage » homo sont particulièrement violents, à l’image de la violence qu’ils veulent faire à la cellule familiale.

Voici leurs messages de haine et d’appel au meurtre. Cliquez sur les tweets pour les agrandir :

tweets bost

Des préfets obligés par l’Europe de reloger les Roms qu’ils venaient d’expulser !

Après Lyon, début avril, Ris-Orangis, en banlieue parisienne : les préfets se trouvent assignés par les familles de ressortissants roumains qu’ils venaient de faire expulser. Car les préfets n’appliqueraient pas le droit européen, ni la circulaire Valls du 26 août 2012 qui impose, en cas de démantèlement de camp, de trouver des alternatives d’hébergements pour les populations concernées.

Quant à l’obligation faite aux communes d’aménager des terrains pour accueillir la communauté roumaine nomade, elle suscite d’importantes difficultés. Joël Wilmotte, maire UMP d’Hautmont dans le Nord, menace ainsi de présenter la démission de son conseil municipal si l’État lui impose l’accueil d’un camp de Roms qui serait aménagé dans sa ville, sur un terrain propriété du conseil général.

Le préfet de Lyon constatait lui-même, au lendemain de la décision qui le frappait: «Il n’est pas raisonnable de penser qu’à Lyon, on peut loger tout le monde.»

Il semble que, face aux difficultés que provoque l’immigration de masse, les maires et les préfets commencent à réagir, comprenant en particulier que la crise du logement qui affecte les Français n’est pas compatible avec les exigences de l’intégration de nouveaux arrivants. Mais ces maires et ces préfets, aujourd’hui commandés par la loi européenne qui prime la loi française, se sont-ils tous opposés à la construction d’une union européenne qui confisquait aux nations l’exercice de leur souveraineté, celui de leurs prérogatives régaliennes et de la maîtrise de leur territoire ? Se sont-ils opposés aux accords de Schengen qui permettent la libre circulation des personnes présentes sur le territoire de l’Union, libres de passer ainsi d’un pays à l’autre ?

« Dieu rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes » s’amusait Bossuet…

 

Le dogmatisme de Karl Zéro

L’animateur de télévision Karl Zéro, beau-frère de Frigide Barjot, a taclé hier sa belle sœur dans les médias. Publiant une lettre ouverte  adressée à la porte parole de la Manif pour tous, invité sur Europe 1,  estime que Frigide Barjot «est manipulée par en-dessous, par tous ceux qui veulent en finir une bonne fois pour toutes avec la République».

Bien que rien ne laisse paraître dans le discours de Frigide Barjot, obsédée par le cadre légal, une volonté d’en finir avec la République -défendre un modèle familial ne signifie pas remettre en cause un régime politique-, il est toujours de  bon ton, pour disqualifier un opposant, d’expliquer qu’il est vilain et qu’il n’aime pas la République. Banalité très commune, à la limite de la tarte à la crème.

Et d’abord, qu’est-ce que la République ? La res publica, c’est-à-dire la chose publique ? A cette école, sauf les anarchistes, personne ne s’oppose aux institutions publiques : car l’homme est un animal politique. A cette école, la monarchie elle-même peut être une république.

Ou bien, au delà de l’institution, au delà même du régime politique, faut-il voir dans la République de Karl Zéro une idéologie ? Dans ce cas, sauf à sombrer dans le dogme, peut-être a-t-on le droit de ne pas souscrire au logiciel idéologique de la république de 1789. Peut-être a-t-on le droit d’estimer que la loi n’est pas l’expression de la volonté générale, dans la mesure où l’on n’enracine pas dans la volonté humaine la mesure du bien et du mal. Dans la mesure où l’on croit à la transcendance de certains principes.

Évidemment, on touche là à la distinction entre légalité et légitimité. Et on comprend que le système panique et que ses sbires rappellent le dogme, sans l’étayer par définition…

Harlem Désir et Caroline Fourest, même combat !

Harlem Désir, premier secrétaire du Parti Socialiste, a pris hier la défense de Caroline Fourest. La journaliste d’extrême gauche a en effet été poursuivie samedi par des opposants au « mariage » gay, lesquels ont perturbé à Nantes un débat auquel elle participait, bloquant son TGV et l’attendant à son retour gare Montparnasse à Paris. Et Harlem Désir de dénoncer la « traque » ainsi menée par les opposants au « mariage » homosexuel, y décelant des « actes de terreur idéologique » encouragés par « les silences de la droite« .

« La traque organisée d’une journaliste est totalement inacceptable dans une démocratie« , écrit le premier secrétaire du PS. « Ces actes de terreur idéologique, accompagnés de violence contre les forces de l’ordre, montrent que toutes les limites de la loi et de la raison ont été dépassées par certains opposants au mariage pour tous« , poursuit le socialiste, soulignant que « les ambiguïtés et les silences de la droite ont encouragé ces débordements, M. Jacob annonçant une confrontation violente et M. Copé imputant un coup de force à la majorité : cette rhétorique radicalise la situation au lieu de préserver la sérénité du débat républicain« .

La réaction de Monsieur Désir appelle quelques commentaires. D’une part, Caroline Fourest, contrairement à ce qui est écrit dans les journaux, n’est pas une journaliste indépendante : c’est une militante politique dont les choix  et les engagements idéologiques sont très marqués, et les modes d’expression parfois violents. Étant une personnalité publique, il n’est pas anormal qu’elle fasse l’objet de regards critiques et qu’elle assume les diverses expressions de mécontentement que sa parole publique peut susciter dans l’opinion.
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« Mariage » gay : Mariton dénonce un coup d’Etat…et alors ?

Hervé Mariton, député UMP à l’assemblée nationale, a dénoncé hier un « coup d’Etat législatif » autour du vote du projet de loi autorisant le « mariage » homosexuel. Devant une foule de plusieurs milliers de personnes rassemblées à Lyon, il participait à une manifestation contre cette réforme.

Dénonçant le changement de calendrier pour l’examen du projet de loi en seconde lecture à l’Assemblée nationale, à partir de mercredi au lieu de fin mai, Hervé Mariton a crié : « Ils ont la trouille parce que personne ne veut de ce texte » !

Nous comprenons bien qu’il faille faire feu de tout bois pour éviter le passage de  la loi. Et il est évident que la confiscation des institutions ou des processus légaux afin de faire passer la loi en force doit être clairement dénoncé. C’est chose faite, et monsieur Mariton y aura contribué. Il reste que cet argument ne se suffit pas à lui-même.

Car si le calendrier avait été respecté dans le processus du vote, monsieur Mariton aurait-il accepté le résultat des urnes ? A vouloir se placer exclusivement sur le terrain de la légalité, on court le risque de devoir s’incliner si le rapport de force devient défavorable dans l’enceinte de l’hémicycle. Sachant que la gauche a la majorité au parlement, le risque est important. A vouloir dénoncer les entorses au délai légal, sans évoquer les limites du cadre légal, on s’interdit également de sortir de ce cadre : on s’interdit donc de suggérer qu’il puisse exister un ordre plus haut et plus ultime que le l’ordre légal : celui de la légitimité. Alors qu’à cette aune, ce qui est légal et en bonne et due forme, peut s’avérer absolument dépourvu de valeur.

Ne pas dénoncer l’illégitimité, plus encore que l’illégalité, du processus en cours, c’est ne pas prendre la mesure de l’enjeu en présence : celui qui engage l’avenir d’une civilisation dans laquelle demain, peut être, l’enfant sera chosifié par la loi pour satisfaire les exigences idéologiques d’une minorité.

Sénat : projet de loi cour de récré, option bac à sable

Une sénatrice s’est fait prendre en flagrant délit de jeu par les caméras du «Petit journal». Laurence Rossignol, sénatrice socialiste de l’Oise, a été filmée en train de jouer sur sa tablette au jeu en ligne Ruzzle, pendant le débat sur le « mariage » homo. Quand les politiques eux-mêmes ne croient plus aux institutions, ou bien les considèrent avec tant de légèreté qu’il se discréditent eux-même dans l’exercice de leur mandat…

La gauche la plus bête du monde !

Prenant la parole pour répondre à une collègue écologiste, le sénateur UMP Bruno Retailleau a déclaré hier, dans l’hémicycle : « Nous n’avons pas la même couleur politique. D’autres couleurs non plus d’ailleurs, mais on peut s’entendre ». Qu’est-ce qu’il n’avait pas dit !

Depuis, la gauche dénonce un « dérapage ». Encore que pour déraper, il faut sortir d’un sentier balisé…reste à savoir qui met les balises. Mais la gauche moralisatrice à l’habitude de se prendre elle-même pour la mesure du bien et du mal, et c’est toujours à l’aune de son nombril qu’elle juge ce qu’il est autorisé de dire et ce qui ne l’est pas.

En l’état, le sénateur UMP est accusé du crime inexpiable de « racisme » ! Évoquer « d’autres couleurs » que la couleur politique, vous pensez… C’est très suggestif, hein ? Sauf que la sénatrice écologiste est blanche, comme monsieur Retailleau. Et que la seule couleur qui jure un peu chez cette dame, c’est la couleur de ses cheveux, teints en rouge ! Auxquels il faisait manifestement allusion…

Comme quoi, la gauche est très sensible au réflexe pavlovien. Quand elle entend le mot « couleur« , elle salive et elle sort du bois. Ne cherchez pas, c’est un comportement totalement irrationnel. Enfin, il faut bien faire feu de tout bois pour disqualifier son adversaire politique…

Des apostats encouragent une démarche de « débaptisation » !

A la faveur du débat sociétal concernant les « mariage » des homosexuels, les catholiques font entendre leurs voix pour rappeler les exigences de l’ordre naturel que l’homme ne peut pas enfreindre sans mettre en grand péril l’équilibre humain. Ce faisant, ils souhaitent rappeler les principes sur lesquels notre civilisation s’est bâtie, pénétrée des principes chrétiens. De quoi susciter évidemment l’indignation des révolutionnaires laïcards, pour qui la France est née en 1789 sur les cendres de la civilisation chrétienne.

Pour manifester leur indignation, ces chantres de la « table rase », qui ont déjà renié depuis longtemps les racines chrétiennes de leur pays, sont passés à l’étape suivante : ils renient désormais leurs propres racines spirituelles, en apostasiant. Ils ont entrepris pour cela une démarche de débaptisation !

Une démarche qui n’est pas nouvelle, mais qui refait surface ces derniers jours. « En 1996, de nombreux « catholiques-malgré-eux » ont décidé de se faire débaptiser, en réaction aux propos du pape Jean-Paul II : « France, qu’as-tu fait de ton baptême? » et pour montrer ainsi que les formules « identité chrétienne de la France » ou formules « France, fille aînée de l’église » sont sans fondement », expliquent les apostats sur leur site. L’objectif de cette démarche ?  « Rétablir la vérité en ne vous faisant plus recenser parmi les fidèles de l’Eglise et, accessoirement, de lui rappeler qu’elle n’est pas au-dessus des lois, notamment en matière de tenue de fichiers, même manuels, sur les individus. L’institution religieuse doit se plier aux lois humaines et faire comme toute entreprise, commerce, association« .

Il reste que le baptême marque l’âme de manière indélébile : nul ne peut donc effacer la grâce qu’il communique. L’homme étant libre, il peut cependant ne pas y être fidèle…

Quand la République pactise avec l’islam radical

Le journal Sud-Ouest nous informe que Vincent Feltesse, le chef du PS girondin, va financer une partie de la mosquée islamiste de l’imâm Oubrou (UOIF) : « le député, président de la CUB et archi-probable candidat du PS aux futures municipales, va en effet verser une partie de sa réserve parlementaire à l’association qui porte le projet, la Fédération des musulmans de Gironde. Cette réserve, une somme que chaque député est libre d’attribuer à des associations de sa circonscription, s’élève, pour l’année, à 130 000 euros : 50 000 euros issus de cette enveloppe iront au projet de centre cultuel et culturel musulman. »

Vincent Feltesse explique en effet qu’ « il y a un gros travail, autour de l’imam Oubrou, sur l’articulation de l’islam et des valeurs républicaines, c’est une démarche à laquelle je suis sensible« .

Or, une enquête intitulée Ces maires qui courtisent l’islamisme, aux éditions Tatamis,  a révélée en 2010 que l’imam Oubrou enseigne à ses fidèles de lire le coran « comme des salafistes« , de rétablir le Califat transfrontalier et de faire de l’islam un parti politique car « L’islam comme le veut le Coran touche à tous les domaines de la vie. C’est un État, c’est un pays (…) La politique est une donnée, est une partie, est un élément de l’islam. Le Prophète était un chef d’Etat.(…) La politique des musulmans ce n’est pas la politique des autres, la politique des autres est construite sur le mensonge« . Des citations immédiatement issues de ses conférences, en ligne sur internet !

Il n’y a cependant pas à s’étonner. Car l’imam ne fait qu’enseigner à ses fidèles la foi musulmane qui ne reconnaît en effet aucune frontières entre le public et le privé, entre le temporel et le spirituel. C’est l’oumma. Le double discours de l’imam n’est pas davantage surprenant, car le coran enseigne lui-même la duplicité : ‘ »Baise la main que tu ne peux pas couper« …

Quand l’Etat assume son caractère totalitaire

Dans la vidéo ci-dessous, un campeur est expulsé manu militari du jardin du Luxembourg, porté par 5 gendarmes et surveillants, et interdit de remettre les pieds dans le parc pendant 6 mois. Pourquoi ? Parce qu’il portait un sweat de La Manif Pour Tous ! Vous avez dit…totalitarisme ?

L’oecuménisme de Monseigneur Castet, à la frontière de l’hérésie ?

Chaque année, Monseigneur Castet, évêque de Luçon, assure la promotion d’un « voyage œcuménique » qui mène ses ouailles à Lyon, ou à Taizé. Le point d’orgue : la très calviniste Genève.

Les deux organisateurs, le Père André Bremand pour le le diocèse de Luçon et le pasteur Marc Coumont pour le Consistoire de la Vendée de « l’Église protestante unie de France« , sont donc respectivement prêtre et pasteurs, catholique et protestant.

Le programme, quant à lui, était principalement axé sur la découverte du protestantisme et sur les valeurs de l’œcuménisme : plusieurs célébrations du « Culte Réformé » étaient comprises dans l’agenda…

Faut-il rappeler à ces oecuménistes de tout poils que l’unité qu’ils recherchent en dehors de l’Église catholique est pourtant une marque de l’Église catholique, ainsi que nous le professons tous les dimanches dans le Credo : « Je crois en l’Église, UNE, sainte , catholique et apostolique… » Que cette unité a été voulue par Notre-Seigneur afin de rassembler ses brebis : « Un seul pasteur, un seul troupeau » ? Que l’Église est le Corps du Christ, que seule elle possède la plénitude de la Foi, dont elle est gardienne et dépositaire, et des moyens de salut ?

Faut-il rappeler également que les protestants ne possèdent ni le sacerdoce catholique, ni donc le sacrement de l’Eucharistie, et que l’assistance au culte protestant ne remplit évidemment pas l’obligation dominicale ? Que les pasteurs protestant ayant quittés l’Église et abandonné la Foi catholique, ne peuvent évidemment pas prêcher aux catholiques, car d’une part ils ne sont pas mandatés par l’Église, d’autre part un hérétique ne saurait conforter un catholique dans la Foi de l’Église ?

Ce relativisme ainsi assumé manifeste que certains princes de l’Église sont plus animés par le respect humain que par le salut des âmes. Car, ainsi que Pie XI l’enseigné dans l’encyclique Mortalium animos, : “Il n’est pas permis de procurer l’union des chrétiens autrement qu’en favorisant le retour des dissidents à la seule et véritable Église du Christ, dont ils se sont jadis malheureusement éloignés… »