Des Roms investissent un hôpital !

Depuis lundi soir, à Corbeil-Essonnes, ce sont 160 Roms qui occupaient les locaux d’un ancien hôpital. Mardi soir, peu avant 19h00, ils ont finalement quitté le bâtiment qui appartient au Centre hospitalier Sud Francilien, lequel a déposé plainte. Les occupants étaient essentiellement des femmes, des enfants et des personnes âgées : pendant ce temps là, les hommes sont restés au campement du Moulin-Galant, objet d’un arrêté d’expulsion.

Les familles s’étaient réfugiées dans le bâtiment vide pour « protéger les enfants » et « éviter qu’ils ne vivent le traumatisme d’une nouvelle expulsion au bulldozer », a expliqué Nicole Brulais, de l’Association de solidarité en Essonne aux familles roumaines et roms.

Depuis, les familles sont rentrées sur le campement. Une partie de ce camp, installé illégalement en 2008 et où vivent entre 300 et 400 personnes, avait été démantelée en 2010.

Deux réflexions s’ensuivent. D’une part, le démantèlement d’un camp ne donne manifestement aucun coup d’arrêt définitif à son occupation. Et pour cause, en vertu des accords de Schengen, tout étrangers admis sur le territoire européen peut circuler librement dans tous les pays de l’Union européenne. La France n’a plus ainsi la maîtrise de son territoire, pas davantage qu’elle n’a d’ailleurs celle de sa monnaie, de son budget ou encore de ses lois -le droit européen primant le droit national. Autant de prérogatives, qui participent pourtant de sa souveraineté, et qui ont été abandonnées à Bruxelles.

D’autre part, tant que le territoire français restera attractif à causes des trop généreuses prestations sociales accordées aux étrangers, lesquelles créent mécaniquement une immigration économique ou encore sanitaire, la France devra supporter, malgré la crise, une bonne partie de la misère du monde.

Le Tournant du « 24 mars »

[Tribune libre – les commentaires sont ouverts]

Beaucoup a déjà été dit sur le « 24 mars », journée historique par l’ampleur du nombre des manifestants. Tout le monde s’accorde à dire qu’il y a eu un tournant, qui était attendu et espéré : durcissement du mouvement d’opposition au mariage homo, augmentation de la mobilisation, agrandissement du fossé entre la base et la direction de la Manif pour Tous, passage réussi sur les Champs-Elysée. Pourtant, si nous ne voulons pas que ce tournant du « 24 mars » soit qualifié, ultérieurement, de rendez-vous raté, il faudra rapidement être conscient des réalités suivantes et réagir en conséquence :

Mme Barjot a torpillé le « 24 mars »

Comme cela était prévisible (à condition d’avoir un peu de discernement), la leader de la Manif pour Tous a été complice de l’Etat dans l’opération de parcage des manifestants et surtout dans leur acceptation moutonnière –sauf une minorité- des limites tyranniques imposées par le Système. Il faudra se demander pourquoi.

Après avoir, avant le « 24 mars », dénoncé le Printemps Français et les appels déterminés à occuper le terrain et s’imposer sur les Champs-Elysées (objectifs que Mme Barjot affichait pourtant peu avant), le jour même de la manifestation Mme Barjot a fait ‘patienter’ l’immense foule en colère, qui ne demandait qu’à marcher sur les Champs Elysées, par des appels au calme et des interventions faisant appel à la France « black-blanc-beur » et à la promotion de l’homosexualité.

Comme si cela ne suffisait pas, pendant qu’une minorité toutefois importante parvenait sur la Place de l’Etoile et enfin sur les Champs-Elysées, essuyant des gaz sans distinction d’âge ou de sexe, Mme Barjot -honte à elle !- dénonçait ces manifestants à la vindicte en les stigmatisant sous l’appellation de « fachos ». Continuer la lecture de « Le Tournant du « 24 mars » »

La criminalité s’étend désormais à la campagne…

Il existe un point commun entre les deux villes du Rhône, Saint-Laurent-de-Mure et Ecully, Veauche, dans la Loire, et Trévoux, dans l’Ain. Depuis la nuit de vendredi à samedi, les quatre distributeurs d’argent de leurs banques respectives ont été attaqués au gaz explosif. Des attaques qui ont entraînés des dégâts matériels importants, témoignant ainsi d’une hausse perceptible de la criminalité.

Mais l’enseignement de ces incidents groupés est davantage inquiétant : car ils révèlent que la criminalité et l’insécurité s’installent désormais à la campagne !

Le groupe Front National au Conseil régional de Villeurbanne déplore avec raison cet état de fait et analyse les causes profondes de la prolifération du crime dont il constate qu’il demeure trop souvent impuni : « Que ce soit la non-application des condamnations, l’impunité croissante, la tolérance des multirécidivismes, le manque de places dans les prisons, la diminution du nombre de policiers, le refus d’expulser les délinquants étrangers ou la complaisance de certaines institutions (Sénat) vis-à-vis de certains actes violents (commis par des syndicalistes), l’UMP, le PS et leurs alliés portent l’entière responsabilité de cette situation« .

Il importe bien sûr de rajouter à l’énumération de ces différentes causes, celles qui se situent en amont du crime, et dont le traitement pourrait prévenir la déliquescence du lien social. Et la communautarisation, nourrie par l’immigration de masse, est un facteur évident d’un ciment social fissuré de toutes parts…

 

 

Le ministre de l’Intérieur évoque le Renouveau français dans l’hémicycle du parlement

Évidemment, Manuel Valls, parce qu’il sait que les mouvements nationalistes sont ses adversaires, les traite avec mépris, et tente de les disqualifier en leur apposant de vilains épithètes. Évoquant ainsi la présence d’extrémistes à la manifestation du 24 mars, il cite le Renouveau français, les jeunesses nationalistes, le Gud, ou encore le Bloc identitaire. Visualisez, notamment à partir de 3’30 :


Ambiance électrique à l'Assemblée nationale… par LeLab_E1

Nice : le tribunal administratif condamne la mairie pour le bail de la mosquée !

Le Tribunal administratif a condamné hier la mairie de Nice pour le bail de la mosquée rue de Suisse. Le bail en question était établi entre la ville de Nice, dont le maire est  Christian Estrosi, et l’association islamique de la mosquée, située rue de Suisse. Suivant les recommandations du rapporteur public, le juge a finalement condamné la municipalité. La décision établissant le bail a donc été annulée, le Tribunal estimant même qu’elle était « entachée d’une illégalité d’une particulière gravité » : la mairie avait en effet sous-évalué le coût du loyer des locaux, accordant en plus une remise de 50% sur ce loyer déjà diminué.

Christian Estrosi avait ainsi apporté son soutien à la nouvelle grande mosquée de Nice-est, ainsi qu’à des extensions pour les mosquées de l’Ariane et des Moulins, alors que la ville comptait pourtant déjà 18 lieux de culte islamiques !

Preuve, s’il en fallait, que les politiques, fussent-ils estampillés à droite, développent délibérément l’islamisation sur le territoire français ! Car comment expliquer autrement un tel zèle auprès des associations islamiques ?

Il reste que le problème se situe encore en amont : tant que l’immigration de masse continuera de déferler en France, l’équilibre culturel du pays sera évidemment affecté. Et ce n’est pas l’immigration suédoise qui pose un problème culturel en France !

Metz : la messe est perturbée par l’extrême gauche

Samedi soir, la messe des Rameaux qui se déroulait à la cathédrale de Metz a été perturbée par une quinzaine de personnes. L’incident a commencé au début de la Messe, quand deux drapeaux ont été déployés « par une cohorte trublionne », selon le mot d’un paroissien, témoin de la scène. De quels drapeaux s’agissait-il ? L’un de la CNT, l’autre aux couleurs du Rainbow flag, emblématique du mouvement Lesbiennes, gays, bisexuels et trans (LGBT).

Matthieu Gatipon-Bachette, président de l’association Couleurs Gaies et gêné de cette histoire, a évoqué « une action menée par la CNT et des particuliers ». En un mot, les perturbateurs, et quoiqu’il y ait eu des membres de la LGBT, n’engageaient pas le mouvement. « Les responsables de notre association ne souhaitent pas être associés à cet événement. Nous avions été contactés par la CNT pour participer à cette action, qui ne nous paraissait pas pertinente. Nous avions refusé d’y prendre part », explique-t-il.

Quant à la CNT, elle assume son action : « Nous sommes allés à la cathédrale pour dénoncer les propos de l’Évêque de Metz et son appel à participer à la manifestation à Paris », a déclaré Fouad Harjane, représentant du mouvement.

Dans tous les cas, des activistes des deux mouvements d’extrême gauche étaient présents, avec les drapeaux respectifs de leurs deux mouvement. Et cette perturbation d’un office religieux est scandaleuse car elle touche à ce qu’il y a de plus sacré et de plus intime dans la personne humaine, sa dimension spirituelle. Maintenant, nous pouvons nous interroger à bon droit sur l’absence d’indignation de la classe politico-médiatique, quand la loi a été bafouée, et la liberté fondamentale de croire et de pratiquer le culte ainsi entravée par des groupuscule idéologistes et extrémistes, menaçant ainsi la sacro-sainte laïcité, dogme dont ces gardiens du temple se prétendent pourtant les dépositaires.

Si jamais des catholiques ou des nationalistes étaient entrés dans une mosquée pour perturber un office, soyez bien sûr que le ministre des cultes, Manuel Valls, n’aurait pas attendu plus longtemps pour étaler son indignation dans une presse aux ordre qui s’en serait faite le fidèle écho…

Civitas appelle à la mobilisation !

Nous relayons bien volontiers le communiqué de Civitas, qui appelle à poursuivre la mobilisation contre le « mariage » homosexuel :

Le vrai printemps français, ce sera avec CIVITAS devant le Sénat

La journée du 24 mars a démontré que la mobilisation nationale et populaire contre le projet de loi Taubira ne faiblit pas. Mieux encore, on constate que le ton de beaucoup de ses participants se radicalise.

Non, les défenseurs de la famille ne sont pas des « casseurs »

Hélas, comme c’était prévisible, celle qui prétend incarner cette mobilisation a trahi ceux qui lui avaient fait confiance.
Elle qui, il y a quelques semaines, avec des accents matamoresques, devant de nombreux journalistes, encourageait les Français à squatter les Champs-Elysées le temps qu’il faudrait pour faire cèder François Hollande, s’est rapidement désolidarisée de ceux qui ont cru à son discours de « printemps français » et ont subi les lacrymogènes et parfois les matraques de policiers et gendarmes. Celle qui se fait appeler Barjot a traité de « casseurs », d’ « extrémistes », de « fachos », ces Français de tous âges, qui n’avaient fait qu’agir selon ses propres consignes.

Récupération politique et supercherie
Les interventions à la tribune ont par ailleurs témoigné de la manoeuvre de récupération politique négociée avec Mme Barjot au profit d’une UMP désormais omniprésente.
Pour faire bonne mesure, la parole a bien été donnée à quelques élus de gauche dont un trotskyste, mais c’est l’UMP qui eut la part belle, avec notamment les discours d’Henri Guaino et de Jean-Pierre Raffarin, tandis que Jean-François Coppé se dressait au premier rang de la foule, place de choix pour répondre aux questions des médias. Une « manif pour tous » désormais au service de simples calculs électoralistes, entre préparation des esprits à la candidature de Mme Barjot et promotion d’un pseudo-engagement de l’UMP. Continuer la lecture de « Civitas appelle à la mobilisation ! »

Les tweets de la haine !

Cliquer sur ce lien, et pénétrez dans l’univers du degré zéro de l’intelligence où les bêtes tombent le masque pour dévoiler la laideur de leur âme, la haine qui les habite, et surtout l’indigence -ou la niaiserie, au choix- de leur « pensée ».

A l’image de la société consumériste qu’ils appellent de leurs vœux, dans laquelle l’État devient prestataire de service et associe des droits aux communautés qu’il reconnaît, afin de mieux satisfaire leurs revendications catégorielles, dans laquelle l’enfant devient objet du droit, tel un dû, ces libéraux, négateurs du réel et du bien commun, tiennent des paroles dépourvues d’intelligence, fidèle écho d’un égo démesuré qui voudrait que l’État soient à la mesure du désir de chacun.

Il faut bien dire, le déversement de haine dont il font preuve est à la mesure de la vacuité de leur réflexion qui devait être compensée d’une manière ou d’une autre.

 

Magdi Cristiano Allam quitte l’Eglise catholique !

Magdi Cristiano Allam, le très médiatique musulman converti au catholicisme et baptisé par Benoît XVI à Pâques il y a cinq ans, annonce son départ de l’Église catholique. Il s’exprime à travers un long éditorial qu’il signe dans Il Foglio. « Pourquoi je quitte cette Eglise faible avec l’islam », titre-t-il avant d’expliquer que :

« plus que tout autre facteur, m’a éloigné de l’Eglise la légitimation de l’islam comme vraie religion, d’Allah comme vrai Dieu, de Mahomet comme vrai prophète, du Coran comme texte sacré, des mosquées comme lieux de culte. Je suis plutôt convaincu que, tout en respectant les musulmans dépositaires comme toute personne des droits inaliénables à la vie, à la dignité, à la liberté, l’islam est une idéologie intrinsèquement violente, historiquement conflictuelle en interne et belliqueuse en externe. Je suis encore plus convaincu que l’Europe finira par être soumise à l’islam (…) si l’on n’a pas la lucidité et le courage de dénoncer l’incompatibilité de l’islam avec notre civilisation et les droits fondamentaux de la personne, si l’on n’interdit pas le Coran pour apologie de la haine. »

Et Magdi Allam poursuit :

« c’est une authentique folie suicidaire, le fait que Jean-Paul II soit allé jusqu’à embrasser le Coran, que Benoît XVI ait posé la main sur le Coran en priant en direction de La Mecque à la Mosquée bleue d’Istanbul, tandis que François Ier a commencé en exaltant les musulmans “qui adorent le Dieu unique, vivant et miséricordieux” ».

Continuer la lecture de « Magdi Cristiano Allam quitte l’Eglise catholique ! »

La section nantaise du Renouveau français fête ses trois ans

On nous communique :
« Le RF Nantes, ce sont trois années d’activisme nationaliste dans l’Ouest français. La section invite tous les Nantais attachés à la défense de l’indépendance française et de la civilisation européenne à rejoindre le mouvement dès aujourd’hui, en contactant cette adresse : nantes.rf@gmail.com

En attendant, un anniversaire, ça se fête aussi en images :

Près de deux millions de manifestants à Paris dimanche dernier !

Tout le monde a vu, dimanche 24 mars, lors de la manifestation, un hélicoptère de la sécurité civile survoler la Manif pour tous. Mais personne n’a jamais vu les photos ou les clichés qu’il a pris…

D’après les informations recueillies depuis dimanche soir, le service de police qui a intercepté et confisqué ces images après l’atterrissage de l’hélicoptère, a estimé la participation réelle du rassemblement à 1,8 millions de personnes. La vue aérienne permet en effet de voir l’étendue de la foule depuis les points de départ jusqu’aux différentes avenues et rues adjacentes, au delà donc du comptage au mètre carré. La DCRI et l’Élysée ont les chiffres sur leur bureau.

Autre comparaison qui disqualifie les chiffres de la préfecture : après la finale de la coupe du monde en 1998, les autorités et les médias annonçaient 2 millions de personnes sur une artère plus petite, allant d’un bout à l’autre de l’avenue des Champs Élysées jusque l’Arc de triomphe, mais avec le même taux de remplissage au mètre carré. Dimanche, la préfecture en annonçait 300.000. sur une artère plus grande allant jusque l’arche de la défense….

Quant à l’Élysée, elle ne semblait pas tranquille. Curieusement :

Frigide Barjot dérape encore…

Madame Barjot a sans doute quelque accointance avec ses prétendus adversaires. La dernière fois, elle voulait « dialoguer » avec eux, se voulant rassurante quant à ses intentions : non, elle n’est pas une « révolutionnaire« . Elle promettait donc de demeurer aux ordres.

Nous lui avions répondu, sur Contre-Info, que « les révolutionnaires, ce sont précisément ceux qui décident de renverser l’ordre traditionnel de la société, ce sont ceux qui nient l’ordre naturel, ou qui déclarent vouloir s’en émanciper, sous le fallacieux prétexte d’une liberté mal comprise, qui recouvre en fait un nouvel esclavage, celui du consumérisme. Les opposants à leur funeste projet sont au contraire des contre-révolutionnaires, qui veulent reconstruire la société sur ses fondements traditionnels, comme la famille, condition de sa pérennité. »

Hier, madame Barjot a poursuivi sur sa lancée. Annonçant que des perturbateurs tentaient de troubler la manifestation -allusion aux heurts déjà évoqués avec les forces de police-, elle demande aux forces de l’ordre de les en empêcher. Et de s’écrier fièrement : pas de « fachos » ! Voilà, le mot est lancé. Les fachos sont de retour. Entendez que dans sa bouche, il s’agit bien d’une insulte. Ou comment une organisatrice se retourne contre ses propres manifestants. Comme si elle avait besoin, en effet, de donner des gages de bonne volonté à un système qui l’a pourtant déjà condamnée, et de sacrifier sur l’autel de la bien-pensance les militants les plus remontés contre un gouvernement devenu totalement illégitime. Continuer la lecture de « Frigide Barjot dérape encore… »

Les Femen se sont pris une vilaine déculottée

Les Femen, ce groupuscule extrémiste prétendument « féministe », avaient prévu d’intervenir hier durant la manifestation contre le mariage « gay » : hé bien, elles n’ont même pas eu le temps de se déshabiller et ont été fermement reconduites par la police, sous les huées des manifestants…

Faut-il souligner que ces extrémistes n’incarnent en aucun point le combat qu’elles prétendent mener? Par la vulgarité habituelle dans laquelle elles se complaisent, elles renvoient de la femme, en permanence, une image dégradée et avilie.

Il faudrait cependant que quelqu’un se dévoue pour leur expliquer que si leurs actions reposent systématiquement sur la violence, passé l’effet de surprise qu’elles avaient su susciter, il est vrai, lors du défilé de Civitas en novembre dernier, elles s’exposent tout de même à se prendre un sérieux retour de bâton en pleine figure : une dizaine de prostituées contre un million et demi de manifestants, le rapport de force est vite calculé…

Mélenchon reconnaît son racisme anti-blanc

Jean-Luc Mélenchon, sénateur d’extrême gauche, n’a pas peur d’afficher une position franchement raciste. Il déclare en effet, publiquement, devant une caméra : « Je ne peux pas survivre quand il y a que des blancs aux yeux bleus… c’est au-delà de mes forces »

Et si jamais un élu de droite avait osé tenir simplement la moitié d’un tel propos, mais à l’endroit d’un autre caractère ethnique, que se serait-il passé ? Ici, la complaisance des journaleux pour des propos haineux à l’égard de leur propre lignée et de leur propre sang en dit long sur la haine de soi et sur la volonté de favoriser l’émergence des facteurs de dissolution du peuple français et de la civilisation française :