L’éducation nationale, normalement laïque et indifférente aux religions se plie en réalité en 4 pour les étudiants musulmans. Pour preuve, ce courrier reçu par une mère d’élève dont le fils, pensionnaire, a demandé de pratiquer le jeûne du ramadan.
Auteur/autrice : Lionel
La LICRA ordonne à Macron de retirer l’investiture d’un de ses candidats, celui-ci s’exécute le jour même
Il y a des indices montrant qui est réellement le patron au plus haut sommet de l’Etat. En voici un, très révélateur. Ce matin, la LICRA a demandé dans un tweet le retrait de l’investiture de Christian Gerin du mouvement « En marche », celui-ci étant coupable d’antisémitisme aux yeux de la ligue de vertu. En réalité, celle-ci a exhumé 3 tweets (dont l’un qui avait 4 ans, mais à la LICRA, on n’oublie rien !) pour prouver le soi-disant antisémtisme : Dans l’un, Christian Gerin demande « la séparation du CRIF et de l’Etat » dans un deuxième, daté juste après l’attentat de Nice, Gerin écrit « Après la tuerie de Nice, il faut s’opposer à la récupération indécente d’Israël et de ses soutiens » et enfin dans un troisième, daté du 30 septembre 2013, Gerin constate : « 1- Valls est viscéralement sioniste raciste et islamophobe et 2- A-t-il le droit de demander si les Rom veulent s’intégrer ? Oui »
.@EmmanuelMacron @gerin17juin @enmarchefr @SO_LaRochelle https://t.co/KR92bRQAiS
— LICRA (@_LICRA_) 12 mai 2017
Les ordres de la LICRA ne sauraient attendre ! En effet, Gerin se voit retirer l’investiture de « En Marche » dès la fin d’après-midi.
Cas Christian Gerin:
La commission d’éthique d'@enmarchefr saisie
Son investiture est suspendue— LAURENCE HAIM (@lauhaim) 12 mai 2017
Repentance mémorielle : les profs en overdose
Non content d’avoir détruit toute l’instruction au point que le classement de la France dans les enquêtes PISA (enquêtes internationales qui évaluent les connaissances et savoirs des élèves dans les disciplines fondamentales) a très fortement régressé, les élèves ne sachant de nos jours plus écrire, plus compter, n’ont plus aucun attrait pour la littérature – qu’ils n’ont jamais étudiée -, François Hollande, avant de quitter ses fonctions, vient d’instaurer dans les établissements scolaires une semaine par an qui sera consacrée à « l’étude des génocides ».
Le problème c’est que cette mesure ne passe pas chez les enseignants pourtant d’ordinaire si dociles pour claironner les bonnes paroles. Ainsi, nous explique le monde, « Certains se disent « surpris ». D’autres « agacés », pour ne pas dire « consternés »… » Ce qui déplaît, c’est que les génocides sont déjà très largement enseignés. « Tout professeur d’histoire-géographie reçoit déjà régulièrement des injonctions de ce type, à un devoir de mémoire, à propos d’un événement, parfois d’un personnage », rapporte, dans un communiqué, l’association de professeurs Les Clionautes. Exemples : 27 janvier : Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l’humanité ; dernier dimanche d’avril : Journée du souvenir des victimes de la déportation ; 10 mai : Journée de la mémoire de la traite négrière, de l’esclavage et de leur abolition ; 27 mai : Journée nationale de la Résistance… Michel Lassault, président du conseil supérieur des programmes, est lui aussi peu convaincu « d’en rajouter » : « Il en est aussi question en éducation morale et civique, dans le cadre de l’éducation aux médias et à l’information, mais aussi lors de projets, de concours… si bien qu’il est difficile de ne pas en avoir entendu parler au cours de la scolarité » nous explique-t-il…
Saluons, une fois n’est pas coutume, la réaction de Franck Collard, président de l’association des profs d’histoire-géo : « Un cours d’histoire n’est pas un cours de mémoire. Nous sommes tout à fait favorables à une étude rigoureuse et scientifique des phénomènes génocidaires, mais les introduire sous un angle moral, émotionnel, me semble une mauvaise idée. Ce n’est pas le rôle de l’école. »
Résultats du premier tour : l’indécente fête des banksters
Les élections du premier tour ont placé Emmanuel Macron en tête. Puisque tous les candidats, et évidemment Macron, ne jurent que par la démocratie, le respect pour elle devrait conduire à attendre les résultats finals (ceux du second tour) pour crier victoire. C’est ce que n’a pas fait Macron, qui a fêté les résultats avec une incroyable indécence, comme s’il avait été élu. Le dicton populaire, plein de bon sens « Ne pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué », ce n’est pas pour lui ! Mais il est vrai qu’il est banquier et que les banques s’affranchissent des principes de prudence, car si elles perdent, elles font supporter par les autres leurs échecs comme on l’a vu lors de la crise de 2008, tandis qu’elles se montrent du pire égoïsme quand elles ont des gains. « Face je gagne, pile tu perds », tel est le jeu que les banquiers proposent sans discontinuer et les Français semblent en redemander, car il est incontestable que la victoire de Macron n’est pas la leur. Ce n’est pas un hasard si le CAC 40 (c’est à dire le cours de bourse des principales entreprises mondialistes cotées en France) a connu une très forte croissance ce lundi (+ 4 %) : leur candidat a gagné. Et à la tête de ce palmarès ? Voici le podium :
1er : Crédit agricole : + 10, 8 %, 2ème : Société générale : + 9,9 %, et troisième : BNP Paribas : +7,5 % ! Les banksters, eux aussi, ont fêté leur victoire de la manière la plus indécente qu’il soit !
Israël prend la France pour sa poubelle
On sait que l’Etat d’Israël remigre sans ménagement ses clandestins afin de rester religieusement homogène, seuls les Juifs peuvent immigrer et s’installer durablement sur le territoire de cet Etat. Si n’importe quel pays occidental faisait la même politique migratoire, ce serait un scandale international, on parlerait de racisme et l’opprobre serait général. Mais on ne peut rien reprocher au petit Etat qui a donc tous les droits parce que ce serait, nous dit-on sans rire, la seule démocratie du Proche-Orient.
Mais le scandale est poussé à son paroxysme quand on sait que les clandestins que remigre Israël ne sont pas forcément renvoyés dans leur pays d’origine, mais… en France. C’est ce que raconte un article du Monde et dans lequel on apprend qu’un certain Merhawi, Erythréen, a été expulsé de l’Etat hébreux non vers son pays d’origine, mais… à Lyon. Merhawi a beau avoir vécu près de 10 ans en Israël, a vu naître là-bas ses deux enfants, la seule démocratie du Proche Orient n’en a pas voulu. On remarquera que cet Etat ne connaît pas le droit du sol (règle juridique qui consiste à attribuer la nationalité à une personne en raison de sa naissance sur un territoire). Ce même droit du sol qui, en France, est très défendu par un puissant lobby dont le coeur n’est pas forcément lié à notre pays.
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France ripoublicaine : le ministre de l’intérieur a embauché ses 2 filles mineures comme collaboratrices parlementaires pour 55.000 €
Le ministre actuel de l’intérieur, ancien président du groupe PS à l’assemblée nationale, a embauché ses deux filles comme assistantes parlementaires -autrement dit, payées par l’Assemblée nationale-, dont l’une n’était âgée que de 15 ans lors du premier contrat et l’autre de 16 ans ! Ainsi, les deux fillettes n’étaient que lycéennes. On pourrait croire qu’il ne s’agissait que d’un stage d’observation ne donnant pas lieu à rétribution. Que nenni ! Les heureuses stagiaires ont touché 55.000 € (cinquante cinq mille euros !) pour leur harassant travail !
Au total, selon Le Parisien, ce sont 24 contrats qu’ont enchaînés les filles du ministre, durant les vacances scolaires entre 2009 et 2016. La durée totale du travail n’est pas indiquée, mais il est évident qu’elles ont été payées nettement plus que le SMIC. Du reste leur travail leur laissait beaucoup de temps libre car l’une des filles cumulait deux stages simultanément : en effet, l’un des contrats de la fille aînée du ministre de l’Intérieur juxtapose une période de stage chez Yves Rocher à Tournai, en Belgique. Mais le ministe justifie cela : « Chaque contrat faisait l’objet de missions qui ont été honorées (…), puisque ces missions ont pu être effectuées en horaires renforcés avant et après le stage, et en travail à distance durant le stage (travail de rédaction, mise à jour de fichiers, recherches, etc.) et durant plusieurs jours supplémentaires à l’automne», assure à TMC le cabinet de Bruno Le Roux. Même chose pour un contrat engageant la sœur cadette, alors en cours préparatoire au lycée Jacques Decour à Paris. « Ces contrats ponctuels n’impliquaient pas forcément une présence physique à l’Assemblée nationale mais concernaient des missions qui pouvaient être également effectuées en circonscription ou à distance » nous dit-il, sans rire !
Les Républicains retirent en moins d’une heure une caricature de Macron jugée antisémite
MISE-A-JOUR 13/03 : François Fillon lui-même s’est fendu d’un communiqué ! Et devinez quoi ? Il en fait des tonnes, s’en prenant même à son militant auteur de ce dessin pas bien méchant.
Fillon déclare ainsi qu’« une caricature inacceptable a été publiée hier sur le compte Twitter des Républicains. Je comprends l’émoi qu’elle a pu susciter car elle évoquait des dessins d’une époque sombre de notre histoire et véhiculait une idéologie contre laquelle je me suis toujours battu». «Le combat politique est rude mais il doit rester digne», ajoute l’ancien Premier ministre de Nicolas Sarközy, qui «ne saurait tolérer que (son) parti diffuse des caricatures reprenant les codes de la propagande antisémite».
Fillon va même jusqu’à exiger du secrétaire général des Républicains « de prendre les sanctions qui s’imposent à l’égard de ceux qui ont ainsi donné de notre mouvement une image totalement contraire aux valeurs qui sont les nôtres »…
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A notre époque, il y a des tabous avec lesquels il est interdit de transiger et même de plaisanter. Alors qu’il y a 2 ans, la France entière était Charlie, que les badauds brandissaient des stylos pour marquer le droit à caricaturer et à dessiner, il semble qu’en réalité ce n’était pas pour soutenir la liberté d’expression (qui sert de prétexte à tout), mais uniquement pour défendre le droit de blasphémer sans retenue, c’est à dire d’insulter les croyants dans leur foi !
Pour preuve, la caricature ci-dessus, dessinée et diffusée par les Républicains a été retirée au bout d’une heure après que les partisans de Macron y eurent trouvé un aspect antisémite. Cet aspect antisémite est largement imaginaire (parmi les soutiens de Macron figurant sur le dessin ne figure qu’un Juif (Jacques Attali), alors qu’ils sont en réalité très nombreux à le soutenir : Cohn-Bendit, Minc, Kouchner, etc, ce que l’affiche ne dit pas). Quant au nez de Macron, il est effectivement prononcé, c’est ainsi. Qu’il soit un peu accentué (pas tellement finalement), c’est le principe de la caricature…
Par contre, ce que l’affiche suggère clairement, c’est l’alliance entre les communistes et les banksters, puisque Macron, caricaturé en banquier – sa profession -, tient une faucille, qui est l’emblème du communisme ! (alors que les communistes sont très nombreux à le soutenir !) Faut-il taire cette réalité ?
Du reste, si historiquement ce montage renvoie à l’histoire, ce n’est certainement pas aux années 30, mais plutôt à l’alliance qu’ont faite Trotski et les banquiers de New-York (les frères Warburg et Jacob Schiff), pour préparer et financer le coup d’Etat en Russie de 1917, coup d’Etat qui en fin de compte, fera des dizaines de millions de morts.
Crise diplomatique entre la Turquie et l’Europe
Une crise diplomatique a éclaté entre la Turquie et plusieurs pays européens (Suisse, Autriche, Allemagne et surtout Hollande), car ces derniers ont empêché la tenue de réunions de soutien dans le cadre du référendum qui aura lieu en Turquie, référendum qui devrait donner plus de pouvoir au président actuel Erdogan. Cette crise politique appelle deux remarques.
1- La Turquie n’est pas membre de l’Union Européenne grâce aux nationalistes. Il faut savoir que cela fait des décennies que la Turquie et les dirigeants de l’UE souhaitent que ce pays devienne membre à part entière de l’Union européenne. Si ça n’a pas été fait, c’est grâce aux nationalistes et à l’opinion publique qui s’y sont toujours opposés, car si l’on avait laissé les dirigeants européens faire, cela ferait belle heurette que les 80.000.000 de Turcs seraient européens. Pour preuve, on lira cet article de 2004 -parmi beaucoup d’autres- dans lequel le Président Français de l’époque, Jacques Chirac, disait que son voeu « le plus cher » (sic) était l’entrée de la Turquie au sein de l’UE. Evidemment, son homologue allemand de l’époque, Gerhard Schröder, approuvait, les deux larrons disant que les opposants « étaient de mauvaise foi ! » On notera, pour l’anecdote, comment ces gens sont visionnaires car, disait par exemple Jacques Chirac, « je suis persuadé que le problème se posera avec moins de passion » dans 10 ou 15 ans (autrement dit, aujourd’hui, NDLR). Il faut bien préciser que seuls les nationalistes avaient les bons arguments pour s’opposer à la Turquie, à savoir que ce pays géographiquement n’est pas en Europe (il est en Asie mineure), qu’il a ni la même histoire, ni la même culture et ni la même religion que l’Europe qui est Chrétienne et donc qu’il n’a rien à faire au sein de l’UE.
2- Plutôt que d’interdire des réunions (avec les ministres turcs), les pays européens feraient mieux de penser à la remigration ! Les raisons qui poussent les pays européens à interdire ces meetings au sujet d’un référendum en Turquie ne nous regardent pas. En effet, la peur des pays européens est que ce référendum donne plus de pouvoir au président turc actuel (Erdogan), ce qui aujourd’hui les effraie ! En quoi, la situation politique d’un pays, sis en Asie Mineure, nous regarde-t-elle ? Ce qui se passe en Turquie ne concerne que les Turcs, arrêtons de vouloir régenter le monde entier. Par contre, cette affaire révèle l’importance de la diaspora turque en Europe puisque le résultat du référendum semble en partie se jouer dans nos pays, tant les Turcs, souvent bi-nationaux (et donc votant également aux élections en Europe) y sont nombreux, et ce alors que la Turquie est peuplée de quatre-vingt millions d’habitants ! Or, le fait même que des meetings se tiennent prouvent que ces gens se fichent complètement de leur pays d’accueil et ne soucient que de ce qui se passe dans leur pays d’origine. Ils n’ont donc pas à rester en Europe et doivent aller vivre dans le pays qu’ils aiment !
Emmanuel Macron, le candidat qui recycle tous les vieux déchets
Emmanuel Macron présente sur la forme un changement avec le passé, ce qui lui permet d’avoir une image de renouveau qui peut tromper certains gogos : Relativement jeune -il est quadragénaire-, sa carrière politique n’a commencé que très récemment contrairement aux autres candidats qui n’ont de vie professionnelle que leur carrière politique. D’ailleurs il n’est lui-même pas issu d’un parti et son mouvement « En marche » n’a été créé que le temps d’une campagne électorale, celle qui devrait lui permettre, au moins l’espère-t-il, d’accéder à l’Elysée. Pourtant, quand on y regarde de plus près, on se rend compte que son programme, ses idées n’ont rien de nouveau et sont même une véritable apologie de l’anti-France telle qu’on la connaît depuis des décennies.
Un indice ne trompe pas, les soutiens qu’il reçoit de toute part : Lancé par F Hollande -le président sortant au bilan tellement calamiteux qu’il a lui-même renoncé à se représenter de peur de l’humiliation électorale-, E Macron a été ministre de l’économie et porte donc la responsabilité de la situation économique catastrophique du pays : Chômage au plus haut, déficit également au plus haut, fiscalité confiscatoire, agriculture en berne, tourisme en berne, industrie en voie de disparition, croissance inexistante, etc, etc. Bref, la France réelle ne peut pas lui dire merci pour son bilan, et c’est sans doute la raison de tous les soutiens qu’il reçoit, aux profils particulièrement hétéroclites, dont le seul point commun est la haine de la France traditionnelle : Outre F Bayrou qui fait peut-être le calcul qu’il a là l’opportunité de devenir premier-ministre, on trouve : Alain Minc, Jacques Attali, Bernard Kouchner, Daniel Cohn Bendit, ou Pierre Bergé, l’inverti qui souhaitait qu’une bombe explosât lors des manifestations contre le mariage homosexuel. Macron a également été reçu en guest-star lors du dîner du CRIF. Plus surprenant encore, alors que Macron gagnait, quand il était banquier dans la banque Rotschild, un million d’euro par an, on a appris aujourd’hui qu’il a reçu le soutien de l’ancien maire communiste de Saint Denis, Patrick Braouezec, celui de Stéphane Gatignon, le maire ex-PCF de Sevran qui a ruiné sa ville et qui avait fait une grève de la faim pour obtenir de l’État une rallonge et qui explique que cette ville obtient 5.000.000 d’euros de plus que ce qui lui est normalement dû ! Et mieux encore celui de l’ancien secrétaire général du PCF, Robert Hue !
En fait, tout ceci s’explique par le programme de Macron qui est une véritable soupe d’ingrédients de l’anti-France au profit du mondialisme : On sait ce que Macron pense de la colonisation de l’Algérie « crime contre l’humanité » (sic), mais très peu courageux, Macron a rectifié le tir après sa déclaration d’Alger : En effet, il précisait sur BFM que la colonisation « n’est en aucun cas comparable à la shoah ». Ouf ! L’homme des Rotschild sait se soumettre devant le lobby qui compte !
Le programme de Macron, c’est la discrimination positive pour les immigrés (ce qui revient à dire une discrimination négative pour les Français de souche, puisqu’à qualité égale, le Français chez lui dans son pays, passera après). Pour cela, des méthodes toujours plus coercitives seront mises en place, puisque Macron veut davantage de « testing » autrement dit, il veut généraliser l’intimidation vis à vis de tous ceux qui ne respecteraient pas la préférence étrangère qu’il préconise. En fait, c’est le prolongement de la catastrophique politique de la ville, mise en place il y a plus de 30 ans, et qui n’a jamais eu les effets escomptés. Il veut également favoriser la naturalisation des immigrés, ce qui démultipliera le nombre de Français de papier ! Rien de nouveau, c’est ce que Valls a toujours fait !
Quant à la culture française, pour ce mondialiste pur jus, elle n’existe tout simplement pas !
Plus que jamais, Macron est l’homme à éviter lors de cette présidentielle et prions pour que la France n’ait jamais un si sinistre individu à sa tête !
L’hôtel de ville de Paris souillé par le drapeau israélien
Les reptations de la part des élus devant Israël, qu’ils soient socialistes ou « Les Républicains » n’en finissent pas. Pour preuve, ce soir, c’est l’hôtel de ville de Paris qui a été souillé par la projection du drapeau de l’entité sioniste sur sa façade. L’explication de cela ? Le fait que quatre soldats israéliens aient été tués par un camion fou à Jérusalem, le 8 janvier dernier. Difficile de parler « d’attentat » dans la mesure où les civils n’ont nullement été visés dans cet acte, tout répréhensible qu’il soit, mais seulement des militaires. Rappelons qu’Israël est en guerre, qu’il bombarde sans relâche ses voisins quels qu’ils soient (Palestiniens, Syriens, Libanais,…) causant des centaines de morts parmi les habitants de ces pays (et pas seulement des militaires), qu’il se vante lui-même régulièrement de tuer des dirigeants politiques qui ne lui siéent pas. Rappelons aussi qu’Israël ne respecte pas le droit international, ce pays ayant été condamné par l’ONU le 23 décembre dernier pour les colonies qu’il ne cesse de multiplier hors de ses frontières, en Palestine en l’occurrence (le conducteur du camion fou était un Palestinien originaire de Cisjordanie), sans compter toutes les résolutions non respectées par cet Etat depuis sa création. Dans ces conditions, que des soldats israéliens soient visés par des opérations paraît guère surprenant, même si nous le déplorons fortement !
L'hommage de la ville de Paris aux victimes de l'attentat de Jérusalem avec le drapeau israélien sur l'hôtel de ville. pic.twitter.com/FcluKpKNR2
— Remy Buisine (@RemyBuisine) 10 janvier 2017
Comprendre l’islam, son expansion en France et la taqîya avec Salih Attia, imam de Stains
Les musulmans, pour faire leur prosélytisme et convertir le monde entier à leur fausse religion peuvent utiliser, selon le coran, tous les moyens, y compris la taqîya, c’est à dire une pratique consistant à mentir et à se dissimuler, si la fin (favoriser l’islam) est bonne. On est loin, très loin des Saints Martyrs chrétiens qui préféraient mourir -parfois jetés vivants aux lions-, plutôt que de se renier ! Un exemple, est donné par Salih Attia, président de la mosquée de Stains, dont Le Monde vient de dresser le portrait.
Un mot d’abord sur le personnage : Âgé de 57 ans, Salih Attia est né en Egypte et est arrivé en France, « sans papier » en 1980 à la faveur d’un visa de tourisme. Son premier statut en tant que résident français fut donc celui de délinquant. Un an plus tard, il touche le jackpot : Mitterrand est élu président de la république, et régularise des milliers de clandestins, dont Attia. Pour gagner sa vie, ce dernier sera vendeur sur les marchés. Mais comme le dira le Monde : « Pour un volontaire ambitieux comme Salih Attia, sorti à la force du poignet de son rural delta du Nil, l’ascension sociale ne s’arrête toutefois pas là. » Et Attia a vite compris, s’il veut monter dans la société, vers qui il doit prêter allégeance. Ainsi, le Monde continue : « Salih Attia comprend très tôt que c’est avec la communauté juive qu’il lui faudra composer pour progresser. Elle surtout détient les capitaux, les boutiques et les entrepôts. ‘Moi, j’ai grandi avec les juifs !’, répète ainsi Salih Attia tel un mantra éloignant les fantômes djihadistes. Il met en œuvre cette intuition de Rastignac au moment d’établir son état civil. Obtient « Attia » – le nom de son grand-père paternel, dit-il – plutôt que « Salih » comme nom de famille. Interversion discrète – ‘parce qu’Attia, ça fait juif’. Même si, à Stains et ailleurs, tout le monde l’appelle en réalité par son vrai prénom, « Farhoud » . Ainsi, notre homme, entré sur le territoire frauduleusement, régularisé par les bonnes grâces de la gauche sait mentir et sait se tourner vers les bonnes personnes pour son ascension. Et en effet, ses affaires vont aller crescendo, ce qui lui créera une aura, il va devenir le président de plusieurs associations franco-égyptiennes, sera reçu à l’ambassade d’Egypte, etc, etc. Mais ce qui le motive le plus, c’est l’aspect religieux : Attia veut prendre la tête d’une mosquée !
Démocrature : Les députés adoptent un « délit d’entrave numérique »
La liberté d’expression se réduit comme peau de chagrin et tous les domaines qui devraient être libres de discussion car non consensuels sont touchés. On sait que la recherche historique est très encadrée, et que simplement poser des questions gênantes (sans même esquisser de réponse) peut suffire pour être condamné par la loi Gayssot. En matière d’identité, formuler une simple remarque ou exprimer un sentiment de gêne face à l’invasion que la France subit peut vous faire condamner pour « incitation à la haine ». C’est désormais la dénonciation argumentée sur internet de l’assassinat des enfants à naître qui risque de mener à la prison.
En effet, les députés socialistes ont adopté une loi qui punira jusqu’à 2 ans de prison ferme et 30.000 € d’amende, quiconque, concernant l’avortement, n’aura pas relayé les bobards du planning familial, à savoir que tuer un bébé qu’une femme a dans son ventre est formidable (car le ventre de la femme lui appartient et elle est libre d’en faire ce qu’elle veut) et ne lui porte aucun cas de conscience. Qu’on en juge : Parmi les sites explicitement visés par cette loi, il y a celui-ci IVG.net, site dont on ne voit pas bien où il dit des mensonges ! La loi n’est pas encore en vigueur -elle doit également être adoptée par le sénat-, mais ne doutons pas qu’elle arrivera à être promulguée, d’autant que les députés de droite ont très mollement combattu ce nouvel affront à la liberté d’expression. En effet, parmi les députés seul le maire d’Orange, Jacques Bompard a opposé une vive résistance avec 53 amendements, d’autres s’y opposant plus mollement, tels M. Marechal Le Pen, J.F Poisson, et une poignée de députés « Les républicains ».
On notera que F. Fillon a brillé par son absence, bien qu’il soit député ! En fait, tout semble indiqué que, même élu président, il ne fera rien pour abroger la loi. Et c’est bien l’objectif des socialistes : Faire passer le maximum de leurs lois mortifères car ils savent que, même s’ils perdent les futures élections, leurs lois continueront à rester en vigueur car les nouveaux élus n’auront pas le courage de s’y attaquer. A l’alternance suivante, les socialistes, reprenant le flambeau, iront de nouveau plus loin, et c’est comme ça que le pays va de mal en pis, l’élection de la droite permettant -au mieux et pas toujours- un moratoire des mauvaises lois, moratoire interrompu quand la gauche accède de nouveau aux affaires.
Le seul moyen de s’en sortir serait de trouver un candidat qui abrogerait toutes ces lois (aussi bien les lois liberticides au niveau de la liberté d’expression que les lois sociétales telles la loi sur le mariage pour tous, la loi sur l’avortement etc, etc.) Mais force est de constater, hélas, qu’on n’en trouve pas, au moins parmi ceux qui ont des chances de l’emporter !
Que penser de la victoire de Trump ?
Mardi dernier, Donald Trump a surpris le monde entier en emportant l’élection américaine, alors que tous les pronostics le donnaient perdant. Nous ne pouvons que nous réjouir de la défaite de l’establishement qui avait parié sur sa rivale, mais nous restons lucides et ne sommes pas naïfs, il est bien trop tôt pour crier victoire, tant le système sait gérer ses défaites et les transformer en victoire pour lui.
Il y a 6 mois, les Anglais, eux aussi à la surprise générale et contre le système, votaient pour le Brexit. Depuis, que s’est-il passé hors effet d’annonce ? Rien, absolument rien, les Anglais sont toujours membres de l’Union Européenne, leur sortie est sans arrêt reportée et même renvoyée aux calendes grecques. Les gens qui n’ont que le mot démocratie à la bouche savent s’asseoir dessus quand icelle ne donne pas les résultats escomptés. Concernant Trump, le système ne peut pas faire la même chose et il est certain que le 20 janvier prochain, ce sera Trump qui succédera à Obama. Néanmoins, le système est déjà à l’oeuvre pour récupérer sa défaite, avec semble-t-il, la complicité de ce dernier lui-même.
On sait que le système sait retourner les personnes qu’il a combattues et qui ont néanmoins gagné contre lui. Celui qui était « dangereux« , « contre nos valeurs » devient acceptable, et ce d’autant plus si lui-même donne des gages. Or, depuis son élection, Trump a bien adouci son discours. Certes, on ne peut pas lui reprocher d’avoir perdu un ton agressif pour un ton plus policé (Trump est passé de statut de candidat à statut de président), mais, et c’est bien plus gênant, le changement a également eu lieu sur le fond. Qu’on en juge, si l’on en croit la presse :
Une proposition controversée de Donald Trump sur l’immigration musulmane retirée de son site web. Même si cette proposition est réapparue, le site web de Trump expliquant qu’il s’agit d’une erreur de manipulation.
Donald Trump songe à demander conseil à Bill clinton. Il faut savoir que trump connaît les Clinton depuis de très nombreuses années, ont joué au golf ensemble.
Clinton, Obamacare, Trump semble adoucir le ton, même si, selon cet article, Trump confirme le changement de diplomatie concernant la Syrie et la Russie, et semble se montrer toujours autant inflexible concernant l’immigration, bien qu’il n’aborde pas le sujet du mur qu’il a promis de construire à la frontière sud des Etats Unis.
Enfin, last but not least, Trump veut jouer un rôle dans le conflit Israël-Palestine. Certes, Trump semble moins lié aux lobbys sionistes que ne l’était Hillary, mais on sait que ce lobby a su mettre ses deux fers aux feu, et tout semble indiqué que Trump ne défendra pas la justice, mais au contraire la puissance agressive d’autant qu’il avait soutenu durant sa campagne électorale que Jerusalem devait être la capitale d’Israël, ce qui serait un scandale absolu. Néanmoins, là encore, il reste prudent disant : son « administration peut jouer un rôle important en aidant les parties à parvenir à une paix juste et durable, qui doit être négociée entre les parties elles-mêmes, et pas imposée par d’autres. » Bref, difficile de se réjouir réellement, même si ce discours est plus rassurant que celui que tenait Hillay Clinton.
Au final, de la victoire de Trump si elle nous réjouit pleinement en ce sens qu’elle est un camouflet pour le système, s’il ne fait aucun doute que Trump sera un meilleur président que ce qu’aurait été Clinton, nous en pensons qu’il est néanmoins trop tôt pour être totalement comblé, et on le jugera à l’usage.
Jean-Frédéric Poisson victime du lobby-qui-n’existe-pas
Hier, nous nous inquiétons de la liberté d’expression qui se réduit tous les jours un peu plus, et la judiciarisation toujours plus pesante du débat public. Hélas, chaque jour qui passe vient nous apporter de nouvelles preuves. Cette fois-ci, c’est un candidat à la primaire Les Républicains, parti consensuel s’il en est, qui en a fait les frais. Pourtant, vous allez le voir, il n’y a pas de quoi fouetter un chat, mais les bâilloneurs sont très susceptibles et il en faut très peu pour les faire sortir de leurs gonds.
Ainsi, dans une interview dans le cadre de la primaire des Républicains, Frédéric Poisson était invité à donner son opinion sur les élections américaines. Poisson a émis des réserves au sujet d’Hillary Clinton, jusque là, rien que de très normal, mais là où certains voient un scandale, c’est à cause des raisons qu’a fournies Poisson : En effet, ce dernier a jugé « dangereuses pour l’Europe et la France » la « proximité » de la candidate démocrate « avec les super-financiers de Wall Street » et sa « soumission aux lobbies sionistes ».
Il n’en a pas dit plus, mais c’en est trop pour certains. Plutôt que de réfuter les dires de Poisson avec des arguments et ainsi opposer arguments contre arguments comme cela devrait être dans un débat qui cherche la vérité, un certain lobby a sonné l’hallali : Le CRIF a publié un communiqué jugeant que ces « propos abjects » et « nauséabonds » méritent une « sanction exemplaire » et une « condamnation ferme » de la part de la commission d’organisation de la primaire de la droite et du centre. Pas moins.
On devrait penser que le parti Les Républicains viendrait en aide à l’un de ses candidats, bassement attaqué par un lobby que l’on n’a pas le droit de nommer car, paraît il, ce lobby n’existe pas. Eh bien, c’est exactement l’inverse qui s’est passé, ce parti se couchant littéralement devant le diktat du lobby-qui-n’existe-pas. Ainsi, Thierry Solère, président de ladite commission, a donné raison au Crif dans la foulée, faisant fi de la neutralité dont il est supposé être. « En tant que député de Boulogne/Boulogne-Billancourt, je condamne avec la plus grande force les propos de Jean-Frédéric Poisson », affirme-t-il, ajoutant que l’expression « lobby sioniste (…) nourrit les thèses conspirationnistes et a un caractère insidieusement antisémite. » Soyons sûrs que les autres candidats à la primaire partagent l’avis de Solère.
Quant à Poisson, s’il a arrondi les angles (jugeant maladroite la formulation), il n’a pas renié le fond de sa pensée, ce qui est à son honneur.
La liberté d’expression plus que jamais menacée
Alors que la France est en voie de décadence avancée, les autorités officielles, loin de s’attaquer aux causes de ce déclin, veulent au contraire s’en prendre à ceux qui les dénoncent, quand bien même ceux-ci n’ont pas de pouvoir et ne font qu’exprimer leurs points de vue. Bref, les autorités ne veulent pas d’un débat qui opposerait argument contre argument, mais la censure pure et simple de ceux qui ne pensent pas comme elles. Ainsi, par exemple, en matière d’avortement, le ministre Laurence Rossignol a voulu déposer un projet de loi pour réprimer ceux qui feraient un « délit d’entrave numérique » (sic). Serait susceptible d’être condamné pour cette entrave numérique quiconque aurait, sur internet, exposé des arguments qui ne siéraient pas à la doxa officielle du planning familial, car le ministre sait qu’un débat loyal lui ferait perdre la partie. Heureusement, ce délit d’entrave numérique n’est pas encore adopté mais une autre menace arrive, bien plus grave encore, car ce ne sont pas les seuls opposants à l’avortement qui sont visés mais quiconque émet un avis critique sur la société actuelle.
Ainsi, deux sénateurs (l’un républicain, l’autre socialiste) ont déposé un rapport qui pourrait devenir proposition de loi, intitulé (sans rire) « égalité et citoyenneté » et qui vise à démanteler la loi 1881 sur la liberté de la presse, loi qui protège a minima la liberté d’expression. La charge est telle que même des feuilles bien pensantes, tel le quotidien le monde, s’en inquiètent, parlant de « texte dangereux ». Et en effet, si un tel projet était adopté, on ne pourra plus rien dire de politiquement incorrect sans risquer de devoir comparaître devant un tribunal. Du reste, ses auteurs reconnaissent explicitement qu’ils visent l’espace de liberté qu’est internet, comme quoi, si la liberté fait partie officiellement de la devise républicaine, ses principaux ennemis sont au plus haut sommet de l’État, quand bien même ces derniers, ne craignant pas le ridicule, se disent Charlie…