Les émissions catholiques étant rares, nous signalons la diffusion d’une émission qui paraîtra tous les dimanches à 12h sur TV Libertés. La première émission a eu lieu hier.
Auteur/autrice : Lionel
Vers un réveil de la France réelle ?
Alors que jusqu’à présent les Français semblent atones face aux multiples avanies que les mondialistes leur font subir, on aperçoit des signes d’un possible -et enfin- réveil. Pour preuve, la réunion dans un village de 700 habitants de la Loire auquel on impose d’accueillir quelque 133 clandestins évacués de Calais. La moitié des habitants se sont déplacés et ne se sont pas gênés de dire aux représentants de l’Etat ce qu’ils en pensent, et nous ne pouvons que les soutenir. On regrettera néanmoins que pour obtenir ces saines réactions, il faut que les habitants soient confrontés à la réalité, et que dès que les problèmes sont loin de chez eux, ils s’en désintéressent au lieu de se sentir également concernés.
Hollande récompensé… à New-York
On a les récompenses que l’on mérite. C’est ainsi que François Hollande est l’un des plus calamiteux présidents que la France ait jamais connus, au point que s’il se représentait à l’élection à venir, il ne serait pas assuré de passer le premier tour, ce qui serait inédit. Pire même, il est fort vraisemblable qu’il serait devancé par un autre candidat de gauche, alors que le système démocratique à l’occidental procure toujours un avantage au candidat sortant, ce que les politologues appellent une « prime au sortant », avantage qui explique pourquoi de mauvais présidents ont quand même pu être réélus. Mais, on le voit, ce n’est pas le cas de François Hollande, tant il est mauvais et honni par les Français. Malgré cela, cet individu reçoit des récompenses…
C’est ainsi qu’à New-York, Hollande a été gratifié du titre de « Homme d’État de l’année » par la fondation « Appeal of conscience » et a reçu son trophée des mains d’Arthur Schneier et d’Henry Kissinger (Juif né en Allemagne, immigré aux Etats-Unis et qui a reçu le Prix Nobel de la Paix car, paraît-il, il a beaucoup oeuvré à la paix entre Israël et les pays arabes suite de la guerre du Kippour). On notera que, lors de la réception de son trophée, Hollande avait son rictus stupide dont il nous gratifie régulièrement, alors même qu’Arthur Schneier était coiffé d’une kippa. Le Président d’un pays soi-disant laïque ne semblait nullement gêné par ce détail, alors que, précisons-le, la fondation « Appeal of conscience » est une organisation qui se veut être politique et laïque, et nullement confessionnelle. Ainsi, Hollande n’avait pas ici affaire à des dignitaires religieux, mais bien à des acteurs civils et il ne s’est nullement ému de constater que l’un d’eux portait une kippa… Comme quoi, la chasse aux signes ostentatoires religieux ne semble pas concerner toutes les religions.
Du reste, dans son discours, la hiérarchie qu’il fait des religions a été patente. Si l’on en croit Le Parisien, Hollande n’a pas dit qu’il voulait combattre toutes les haines envers les religions, mais qu’il voulait « combattre l’antisémitisme ainsi que toutes les autres haines envers les religions ». On le voit, dans son esprit, une religion plus que les autres mérite d’être citée et mise en avant, les autres passant après.
Comme quoi, pour paraphraser Coluche, si dans la France laïque toutes les religions sont égales, force est de constater qu’au moins une est plus égale que les autres.
L’écrivain dissident Hervé Ryssen condamné à 1 an de prison ferme
La France serait un pays où l’on aurait la chance de s’exprimer, toutes les idées seraient admises, contrairement à d’autres pays, tels, par exemple, la Chine. Ça, c’est pour la version officielle, car tout montre qu’en réalité, la liberté d’expression se réduit comme peau de chagrin, et à défaut d’emprisonner les délinquants et terroristes, on embastille les libre-penseurs. Pour preuve, la condamnation d’Hervé Ryssen à un an de prison ferme pour quelques tweets…
A notre connaissance, Hervé Ryssen est le premier à être condamné à de la prison ferme pour de simples messages déposés sur les réseaux sociaux, mais la liste pourrait s’allonger dangereusement tant les procédures s’accumulent contre les militants non reniés, notamment sous l’impulsion de la DILCRA. Rappelons que cette DILCRA est une milice gouvernementale créée par Valls chargée de repérer les commentaires déviants sur le net et dotée d’un budget de 100 millions d’euros (ceux qui croient que les impôts servent à lutter contre le terrorisme sont des naïfs, pour la République, il y a plus urgent : les commentaires sur le net !). Du reste, malgré ce budget faramineux, la DILCRA est incapable de repérer les messages par elle-même et sa principale source de renseignement reste la délation, c’est à dire que les messages supposés racistes lui sont signalés par des internautes anonymes. Vraiment pas de quoi être fier, et certains audacieux diront que ça rappelle les heures les plus sombres de notre histoire !
Nous ne savons pas quelle décision va prendre Hervé Ryssen : aller en prison, ou s’exiler à l’étranger comme Vincent Reynouard (condamné à un an de prison ferme pour ses recherches historiques à caractère révisionniste) ou Boris Le Lay, (condamné à 2 ans de prison ferme pour une simple vidéo). Quoiqu’il en soit, la meilleure façon de réagir à cette inique condamnation est de diffuser et de lire les ouvrages d’Hervé Ryssen. Outre le fait de défendre la liberté d’expression, c’est aussi un bon moyen de se cultiver et de mieux comprendre le monde dans lequel on vit.
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Post scriptum : pour ceux qui veulent mieux connaître la DILCRA, nous conseillons le n°418 de la revue Faits et documents qui lui consacre une enquête de 8 pages, et qui commence par cette citation d’Alain Jakubowicz, le président de la LICRA : « Cela fait trente ans que je travaille sur ces sujets. Je peux vous dire que jamais je n’ai vu un plan d’une telle envergure, dotés de tels moyens. »
Le difficile chemin du politiquement correct tourne au ridicule
Le politiquement correct est mis à toutes les sauces et devient de plus en plus difficile à appliquer à cause de ses contradictions. Ce qui s’est passé sur la chaîne Canal + dans l’émission du Grand journal en est révélateur : Déjà, il faut savoir qu’il y a une nouvelle formule de cette émission avec de nouveaux présentateurs. On aurait pu penser que cela est une bonne chose, tant il est difficile de regretter le méphitique Yann Barthès. Hélas, après la première émission de cette nouvelle monture, il faut revoir son jugement, car elle semble réaliser l’exploit pourtant difficile de faire pire que la précédente… et d’ailleurs, ça en devient cocasse, tant on touche l’absurde.
Ainsi donc, de nouveaux présentateurs sont à la table du Grand journal. Parmi eux, une certaine Béatrice Boréale. Vous ne la connaissez pas, c’est normal, elle n’a aucun talent reconnu. Alors, pourquoi figure-t-elle dans cette nouvelle émission ? Tout simplement parce qu’elle se définit comme « trans » (sic), autrement dit, elle est née homme et se prétend femme. Ca suffit comme qualité pour être chroniqueur au Grand Journal. Pathétique… Histoire de pousser la provocation le plus loin possible, « Dame » Boréale arbore autour du cou une croix chrétienne. Quand on sait que le lobby LGBT ne cesse de fustiger l’Église, sans cesse accusée d’être homophobe ou on ne sait quelle tare à ses yeux, on voit le niveau de provocation et encore une fois, on en est presque à regretter l’ancienne formule, mais passons…
Là où ça devient cocasse, c’est ce qui s’est passé quand Ornella Fleury est intervenue. Cette dernière, normalement, doit parler de météo, mais elle n’a pu s’empêcher de faire des commentaires sur ses acolytes présents sur le plateau. Elle a d’abord vanné le remplaçant de Yann Barthès, un certain Victor Robert, à cause de son manque de notoriété. Puis ce fut le tour de « Dame Boréale » à être chambrée : Elle lui dit : « Bonsoir monsieur-dame, enfin Brigitte » avant de poursuivre avec une phrase salace que nous ne reproduirons pas, mais qui souligne l’ambiguïté de l’identité sexuelle de ladite dame. Et depuis, on ne rigole plus du tout parmi le lobby LGBT, puisque l’AJL (association des journalistes LGBT) a saisi le CSA pour propos transophobes (sic)… Le communiqué de l’organisation en est presque schizophrène car d’un côté il félicite le Grand Journal pour la présence de Béatrice Boréale « pas en avant dans la visibilité des personnes trans » (sic), mais, dans le même temps, le morigène très sévèrement : « Ces remarques ne sont pas drôles, elles sont injurieuses pour la journaliste Brigitte Boréale et pour toutes les personnes trans. Elles nient le fait que Brigitte Boréale est une femme — sous-entendant qu’elle serait aussi, simultanément, un « monsieur ». » avant de conclure : L’AJL « souhaite que le CSA rappelle fermement à la chaîne Canal+ ses obligations en matière de lutte contre les discriminations et de respect de la dignité de la personne humaine, ainsi que son devoir de maîtrise de l’antenne. »
Plus que jamais, éteignez vos télévisions !
Publicité aperçue près de Nice
Pologne : un Irakien interpellé avec des explosifs à la veille des JMJ
À la veille des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) en Pologne, un homme de nationalité irakienne en possession de matériaux explosifs a été interpellé à Lodz. Selon des médias polonais, des traces d’explosifs ont aussi été découvertes à Cracovie (Sud), où cet Irakien de 48 ans avait séjourné récemment et où des centaines de milliers de jeunes catholiques et le pape François doivent participer aux JMJ.
« L’homme a été placé en détention provisoire pour deux mois, accusé de possession d’explosifs, ce qui est qualifié de crime contre la sécurité publique. Une enquête a été lancée par le parquet national », a déclaré aux journalistes Pawel Urbaniak, porte-parole du tribunal de Lodz. « C’est un étranger, probablement un Irakien. Il disposait d’un titre de voyage rudimentaire. Les questions de son identité, ses origines, son séjour (en Pologne) font l’objet de l’enquête, tout comme les endroits où il s’est rendu et les personnes qu’il a contactées », a-t-il ajouté.
La télévision Polsat News affirme que l’homme portait sur lui des notes sur des préparatifs d’actes « terroristes » dirigés principalement contre des établissements commerciaux français en Pologne. Ayant vécu quelques années en Suisse, puis en Suède dont il a été refoulé, il est arrivé en Pologne il y a quelques semaines, a rapporté la chaîne. Les agents sont actuellement à la recherche d’éventuels complices de l’Irakien et d’importantes quantités d’explosifs, à travers la Pologne.
Allemagne. Attaqué 4 fois en 8 jours, le pays plonge dans la terreur
L’Allemagne a connu une quatrième attaque, hier soir en Bavière, où un kamikaze s’est fait exploser près d’un festival de musique. Après les viols très massifs de la Saint Sylvestre dans lesquels plus de 2.000 migrants sont impliqués, le pays connaît donc les joies du multiculturalisme. Car si les motivations des terroristes sont divergentes, il y a un point commun entre toutes ces attaques : Comme en France, elles sont le fait d’immigrés ou de fils d’immigrés.
1- Lundi 18 juillet, à Würzburg. À 21h15, un jeune réfugié afghan âgé de 17 ans attaque les passagers d’un train régional avec un couteau et une hache en criant « Allah Akbar ». Quatre personnes sont grièvement blessées. L’assaillant prend ensuite la fuite avant d’être abattu par la police. Le jeune homme était arrivé en Allemagne depuis plus d’un an et vivait depuis deux semaines en Bavière dans une famille d’accueil.
Motivation: son acte a été rapidement revendiqué par l’organisation État Islamique (EI) à laquelle il avait prêté allégeance dans une vidéo de revendication de 2 minutes 20. Dans sa chambre, les enquêteurs ont également retrouvé le drapeau de l’EI.
2- Vendredi 22 juillet, à Munich. Un jeune germano-iranien (sic) de 18 ans, David Ali Sonboly, ouvre le feu dans un centre commercial, faisant neuf morts et 35 blessés, dont 11 graves, avant de se suicider. Ses parents étaient arrivés en Allemagne en tant que demandeurs d’asile peu avant sa naissance et lui-même était né à Munich. Mais, pas plus qu’un ânon né dans une écurie de chevaux de course ne deviendra cheval de course, Sonboly ne se sentait pas comme un véritable Allemand, et il semblait en avoir un ressentiment vis à vis de son pays natal, comme l’atteste les propos qu’il a tenus juste avant de commettre son acte : « Sale métèque » lui lance un Allemand et une voix qui semble celle de l’assaillant lui répond: « Je suis Allemand, je suis né ici. » Le problème est que le dire ne suffit pas à le croire et encore moins à l’être.
Motivation : la police a assez rapidement privilégié la piste du « forcené » sans lien avec le djihadisme. Afin de brouiller les pistes, il avait dans un premier temps été présenté comme néo-nazi, et aujourd’hui encore on le compare souvent au Franc-Maçon Anders Breivik car des coupures de journaux concernant ce dernier ont été retrouvées chez lui, et parce que les deux terroristes ont commis leurs faits à la même date (22 juillet). Ça fait peu pour faire un lien entre les deux hommes, surtout de la part de gens, qui, dès qu’une explication des faits ne leur sied pas, accusent les auteurs de complotistes.
3- Dimanche 24 juillet, 16h30, à Reutlingen. Un homme armé d’une machette agresse plusieurs passants en pleine rue. Une femme est tuée et deux autres personnes blessées. L’assaillant serait un demandeur d’asile syrien de 21 ans qui aurait eu une « dispute » avec la victime avant de la tuer « avec une machette ».
Motivation : le « crime passionnel » serait la piste privilégiée par les enquêteurs. Outre la façon très violente de gérer un différend, on se demande pourquoi il a agressé d’autres personnes.
4- Dimanche 24 juillet, 22h12, à Ansbach. Deuxième attaque dans la même journée. Un réfugié syrien de 27 ans se fait exploser près d’un festival de musique où se trouvaient 2.500 personnes. L’explosion ne fait pas de victime, mis à part l’assaillant qui décède, mais 12 personnes sont blessées dont trois grièvement. L’homme avait voulu pénétrer sur le lieu du festival mais s’était fait refouler à l’entrée. Sa demande d’asile, il y a un an, avait été refusée mais il avait pu rester en Allemagne au vu de la situation en Syrie.
Motivation : « Il s’agit malheureusement d’un nouvel attentat », a déclaré le ministre de l’Intérieur, Joachim Herrmann, qui n’a « pas exclu » une piste islamiste. Il a également précisé que l’homme, qui avait déjà fait deux séjours en hôpital psychiatrique, avait tenté par deux fois dans le passé de se suicider.
Qui sont les cinq complices du tueur de Nice ?
Alors que l’Europe est de nouveau frappée par le terrorisme, cette fois-ci en Allemagne, il semble intéressant d’examiner qui sont les complices du tueur de Nice. Cette analyse permet de se rendre compte, alors que beaucoup parlent de guerre, qu’il y a une véritable 5eme colonne qui s’est constituée grâce à l’immigration, et qui profite du laxisme judiciaire. En effet, les 5 suspects écroués et transférés à Paris ne portent pas des noms qui sentent la France profonde, qu’on en juge :
1- Ramzi A. Franco-Tunisien né à Nice, 21 ans. « Il est connu pour avoir déjà été condamné à six reprises entre avril 2013 et mai 2015 (…) pour vols, vols aggravés, violences et usage de stupéfiants », a indiqué François Molins. Il est le destinataire des SMS juste avance son passage à l’acte. De la drogue et 2.500 € en liquide ont été retrouvés chez le jeune homme.
C’est sur les indications de Ramzi A. que les enquêteurs mettent la main sur une seconde arme à feu lors d’une perquisition : un fusil d’assaut kalachnikov et un sac de munitions sont découverts dans une cave. On ignore cependant à quoi était destinée cette arme.
2- Chokri C.Tunisien de 37 ans. Le 4 avril dernier, dans un message Facebook, il écrit à Mohamed Lahouaiej Bouhlel: « Charge le camion, mets dedans 2.000 tonnes de fer, coupe lui les freins mon ami et moi, je regarde.» Un message qui intrigue beaucoup les enquêteurs. Ses empreintes ont été découvertes sur la portière passager du camion. La vidéosurveillance indique aussi qu’il était présent au côté du tueur dans le poids lourd, le 12 juillet.
3- Mohamed Oualid G. Franco-Tunisien de 40 ans. L’étude de la téléphonie du tueur de Nice a permis de révéler que les deux hommes s’étaient appelés à 1.278 reprises entre juillet 2015 et juillet 2016.
Dans son téléphone, les enquêteurs ont trouvé des images de la Promenade des Anglais, tournées le 15 juillet. Les secours y sont encore à l’œuvre. Il se filme ensuite lui-même. Il apparaît aussi sur des photos prises par le tueur de Nice: le 11 et le 13 juillet, il est dans l’habitacle du camion qui servira à semer la mort quelques jours plus tard.
4 et 5 -Artan H. et Enkeledja Z. Il s’agit d’un couple d’Albanais. Ils auraient fourni le pistolet 7.65mm dont s’est servi Mohamed Lahouaeij Bouhlel le 14 juillet, notamment pour faire feu sur les policiers. Artan avait été contrôlé le 2 mai dernier en infraction et faisait l’objet d’une reconduite à la frontière. Il aurait donc dû être expulsé de France à cette date, mais l’officier de police judiciaire a préféré le libérer. « Merci le flic ! » peut dire Mohamed Lahouaiej Bouhlel qui serait resté non armé sans cette complicité.
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L’attentat a officiellement été revendiqué par l’Etat islamique, même si cette revendication est sujette à caution et semble opportuniste, tant Mohamed Lahouaiej Bouhlel ne semble pas avoir eu de soutien de cette organisation, et n’a lui-même pas tourné de vidéo pour s’en réclamer. Quoiqu’il en soit, un des deux auteurs qui s’est félicité de l’attentat dans la vidéo francophone de revendication est Rachid Kassim, 29 ans, « roannais » (sic) selon Le Progrès
L’attentat de Nice est l’œuvre de l’immigration, du laxisme judiciaire et de l’ambiance anti-France
Pour comprendre l’attentat de Nice, il faut s’interroger sur son auteur, un certain Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, et il en ressort 24 heures après les faits qu’il y a trois responsables : L’immigration, le laxisme judiciaire et la haine entretenue par les migrants contre le pays hôte.
L’immigration : Mohamed Lahouaiej-Bouhlel est né le 3 janvier 1985 à M’Saken (Tunisie), est donc un immigré, sa présence en France n’est que la conséquence de la politique pro-immigration mise en œuvre depuis 40 ans. Tous les hommes politiques successifs qui l’ont encouragée ont donc une part de responsabilité dans le carnage niçois, puisque si une autre politique migratoire avait été menée, ce personnage n’aurait pas été sur le sol français. De plus, sa carte de séjour avait été obtenue le 15 janvier 2009 et n’avait pas été révoquée suite à ses démêlés judiciaires. Car, on en arrive au deuxième point, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait eu maille à partir avec la justice, ce qui ne l’a nullement inquiété pour rester en France.
Le laxisme judiciaire. Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait été condamné pour violences conjugales, menaces, vol et dégradations et, en mars dernier, pour violence avec armes contre Jean-Baptiste Xiemenes, en l’agressant à coups de batte de baseball. Selon ce dernier, qui est dépité, il devait faire 6 mois de prison, qu’il n’a évidemment pas faits. Donc si Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait été là où il aurait dû être -en prison-, cet attentat n’aurait pas eu lieu. Le terroriste peut dire merci au juge d’application des peines qui lui a permis de réaliser sa tache, tout comme à M. Sarkozy qui a abrogé l’expulsion des étrangers condamnés car paraît-il, cela était une double peine, et était donc discriminatoire par rapport aux Français de souche.
La haine entretenue par les allogènes -et nullement combattue voire encouragée- contre le pays hôte. Vingt-quatre heures après les faits, il semble qu’il n’y ait pas de motivation religieuse à cet attentat : L’auteur était un piètre musulman : (Selon son cousin, il ne faisait pas ses prières, ne respectait pas le ramadan, n’allait pas à la mosquée, buvait de l’alcool et, -impensable pour un musulman- mangeait du porc). Quoiqu’il en soit, Daesh n’a, à cette heure, pas revendiqué l’attentat (l’auteur ne semble pas avoir enregistré de vidéo de mise en scène avant de commettre son forfait), il n’était pas fiché S par les services du renseignement et n’était donc pas considéré comme radicalisé. Certes, pour agir, il s’est servi des conseils de Daesh, mais, semble-t-il, uniquement comme modus operandi, nullement à des fins religieuses. Se pose alors la question du pourquoi ?
En réalité, nombre d’immigrés s’estiment discriminés en France, encouragés en cela par le gouvernement qui ne cesse de répéter qu’il existe des discriminations voire du racisme dont ils seraient victimes, évidemment sans en apporter la moindre once de preuve. Cela crée un ressentiment chez ces allogènes qui expliquent leurs échecs non à cause des décisions qu’eux-mêmes prennent, mais à cause des supposées discriminations ou du supposé racisme. Par ailleurs, certains partis, tel le PIR (parti des indigènes de la république) utilisent ces discours officiels pour entretenir un discours raciste anti-Blanc et haineux à l’égard de la France. L’hypothèse selon laquelle Mohamed Lahouaiej Bouhlel, dont la vie n’était pas épanouie, ait pu nourrir une haine du pays hôte paraît crédible, son acte s’apparentant comme une vengeance vis à vis du pays qui l’a accueilli, mais pas rendu heureux.
Strasbourg : Un automobiliste paye son amende de 90 € avec plus de 5.000 pièces de 1, 2 et 5 centimes
Un automobiliste de 28 ans, furieux du racket dont il est l’objet de la part de l’Etat, a utilisé une méthode très facétieuse pour montrer son mécontentement.
Mauvais joueur, le fisc a dénoncé un geste de « mépris » envers ses fonctionnaires. « Ce genre de comportement […] porte volontairement atteinte à l’image des services de l’État en charge de faire respecter la réglementation, notamment celle relevant de la sécurité routière », s’est indigné dans un communiqué le chef de l’administration fiscale dans le Grand Est, Bernard Houteer. « Vouloir réaliser un coup médiatique ne devrait pas se traduire par l’expression publique d’un mépris envers » les fonctionnaires, a ajouté Bernard Houteer.
La mort d’Elie Wiesel : Mort d’un faussaire
Depuis l’annonce de la mort d’Elie Wiesel, ce n’est qu’un concert de louanges que l’on entend dans toute la presse. Il faut dire que notre homme avait des titres à faire valoir : Prix Nobel de la paix en 1986, plus de 10 millions d’exemplaires de son livre La nuit ont été écoulés dans le monde entier depuis sa sortie en 1958, docteur honoris causa de plus d’une centaine d’universités dans le monde parmi les plus prestigieuses, Grand-croix de la Légion d’honneur en France, il a également reçu la Médaille d’or du Congrès américain. Pourtant, notre homme est un faussaire et n’a jamais porté le numéro de déporté (A-7713) qu’il prétend avoir porté, mais aurait au contraire usurpé celui d’un autre déporté qui portait le même patronyme que lui, ce qui permet de douter de sa réelle déportation à Auschwitz.
C’est en tout cas ce qu’a prétendu Jean Robin, un journaliste qui prétend combattre les révisionnistes, et qui, en enquêtant, à soulever le lièvre : Si le matricule A-7713 correspond bien à un « Wisel » , la personne à qui correspond ce matricule est une personne née 15 ans avant Elie Wiesel. Bref, ce n’est pas la même personne, d’autant qu’Elie Wiesel n’a jamais montré le tatouage de son matricule pourtant indélébile afin de faire taire la polémique. Cela est d’autant plus curieux que nombre d’ex-détenus des camps de concentration exhibent fièrement leur numéro.
Quoiqu’il en soit, notre homme qui, paraît-il, a vu de son vivant l’enfer -en tout cas ses témoignages lui ont permis les honneurs qu’il a reçus depuis si longtemps, sa fortune, et sa gloire- a vécu un autre enfer en 2008, lors de la faillite de son coreligionnaire Madoff à qui il avait confié sa fortune (évaluée à plusieurs dizaines de millions de dollars) et qui fut perdue. Cela lui fit dire, au sujet de Madoff : « Psychopathe est un mot trop gentil pour le qualifier. » « Il devrait être placé à l’isolement pendant au moins cinq ans avec un écran sur lequel seraient diffusées des photos de ses victimes […] Il faudrait inventer n’importe quoi pour le faire souffrir. » Notre conscience morale n’est donc pas un grand humaniste, d’autant que, rappelons-le, le contentieux qui l’opposait à M. Madoff n’était que d’ordre financier.
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Pour ceux qui veulent approfondir la question, nous conseillons :
–> L’article de Jean Robin dans lequel il contacte par mail et téléphone le musée d’Auschwitz, ici
–> L’analyse qu’a faite de cette affaire le Professeur Robert Faurisson ici
–> Enfin, ces histoires de faussaires concernant les rescapés étant très nombreuses, nous conseillons également la lecture du livre d’Anne Kling qui en récapitule plusieurs, Menteurs et affabulateurs de la Shoah et dans lequel Elie Wiesel tient une place de choix (tout comme son rival -car les deux hommes ne s’aimaient pas- Simon Wiesenthal, qui est l’autre conscience mondiale au sujet de la shoah, décédé en 2005).
Congratulations !
Il n’est pas coutume, sur ce site qui a à cœur de défendre la France, son histoire, sa culture, d’utiliser des termes anglais. Mais comment féliciter autrement le peuple d’outre-manche pour sa clairvoyance au sujet de l’Union européenne ?
En refusant de rester membre de cette entité mondialiste, les Britanniques viennent de donner un coup de canif au projet mortifère qui vise à faire disparaître les nations.
Nous ne sommes néanmoins pas naïfs, nous ne croyons pas en la sainte urne pour arrêter la décadence dans laquelle nous sommes plongés (sinon, elle serait tout simplement interdite, comme la « liberté d’expression » qui se limite à ce qui est admis par la loi).
Cependant, cette victoire fait quand même chaud au cœur.
Pourtant, toutes les manœuvres ont été utilisées pour que le « in » l’emporte : on a prétendu une catastrophe économique (alors que la Grande-Bretagne n’est même pas membre de l’euro), et faisant fi de toute déontologie, les mondialistes ont récupéré l’assassinat d’un député travailliste la semaine dernière par un fou.
Malgré cela, les Britanniques ont exprimé leur vœu de sortir de l’Union européenne, et nous ne pouvons que les en féliciter.
Il est intéressant de voir comment le Système va s’y prendre pour gérer cette défaite : va-t-il refaire voter les Britanniques comme il l’avait fait avec les Irlandais après que ceux-ci ont rejeté par référendum un de leurs projets ? Ou vont-ils changer par voie parlementaire les accords pour que la Grande Bretagne soit officiellement (légalement) en dehors de l’Union, mais que, dans les faits y reste : cela pourrait s’appeler partenariat privilégié, tout autre néologisme pouvant faire l’affaire afin de maquiller la magouille. Et cela ressemblera comme deux gouttes d’eau à ce qui avait été fait après que les Français et les Hollandais ont rejeté par voie référendaire, en 2005, le projet de constitution européenne et qui s’est néanmoins imposé quatre ans plus tard par le traité de Lisbonne, validé uniquement par voie législative.
Le grand remplacement en vidéo
Nous vous proposons une vidéo qui n’a pas été tournée à Bamako ou Dakar, mais bien à Paris 18, rue Dejean précisément, le 22 juin dernier.
La rue est grouillante de monde bruyant, des vendeurs à la sauvette proposent leur camelote en utilisant des cartons posés à même le sol pour servir d’étals… Bref, on l’aura compris, on est loin des villes et des villages proprets d’antan.
Pour couronner le tout, une dispute éclate dont nous ignorons les motifs. La police sera appelée, mais sera incapable de faire revenir le calme, l’algarde semblant se déplacer dans une rue adjacente…
Le Sénat : 4 ou 5 jours par mois pour… 11 350 euros net mensuel
La politique est une activité particulièrement noble en ce sens, qu’en théorie, elle cherche le bien commun. A ce titre, ceux qui l’exercent devraient le faire, sinon bénévolement, au moins sans en tirer des revenus outranciers. Or, dans notre démocratie, c’est exactement le contraire que l’on observe. Ainsi, dans un livre récemment paru, Le Sénat. Un paradis fiscal pour des parlementaires fantômes, le journaliste Yvan Stefanovitch énumère les avantages financiers des sénateurs.
On y apprend, via une interview accordée au Point, que chacun des 348 sénateurs « est rémunéré 11 350 euros net par mois, mais ne paie l’impôt sur le revenu que sur 4 140 euros et empoche ainsi plus de 7 000 euros net au black ! De plus, 45 sénateurs dignitaires touchent, en outre, une prime de fonction allant de 700 à 7 000 euros mensuel net qui échappe également à l’impôt sur le revenu. C’est complètement scandaleux, mais tout à fait légal. » En cas d’absence, des retenues seulement symboliques sont effectuées, et encore, le manque d’assiduité doit être prononcé car pour que ces retenues s’appliquent, il faut savoir que par trimestre, « sur un total de 33 journées en moyenne de travail en hémicycle et commission, un sénateur peut réglementairement échapper à toute sanction s’il se montre présent à une douzaine d’entre elles. Soit une moyenne harassante de quatre ou cinq jours de travail par mois au Sénat pour… 11 350 euros net mensuel ! »
Dans ces conditions, les politiques deviennent réellement des gamellards, s’octroyant des revenus qu’ils n’auraient jamais eus dans la vie civile s’ils avaient exercé leur profession, se coupent totalement des réalités du pays. Pour garder leurs prébendes, ils font allégeance aveugle à leurs partis, eux-mêmes totalement soumis au mondialisme, car c’est leur seul moyen d’être (ré)élus. La noblesse de la politique n’existe plus et est remplacée par une course aux avantages indus.