Slobodan Praljak, ex-officier croate, se suicide en avalant du poison en plein verdict [VIDÉO CHOC]

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Le Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY) a connu un
véritable coup de théâtre, mercredi 29 novembre. Slobodan Praljak,
ancien officier des forces des Croates de Bosnie, a pris du poison à
l’annonce de son verdict, qui confirmait en appel sa condamnation à vingt
ans de prison. Le tribunal a immédiatement suspendu son audience.
M. Praljak est mort quelques heures plus tard dans un hôpital de La Haye.

Slobodan Praljak, 72 ans, a crié *« Praljak n’est pas un criminel ! Je
rejette votre verdict »*, puis il a sorti une fiole de sa poche et en a
avalé le contenu devant les caméras qui filmaient. Son avocat a confirmé
que son *« client *[avait] *pris du poison ». *Tandis que des responsables
du tribunal s’affairaient autour de Slobodan Praljak, le juge président
Carmel Agius a immédiatement ordonné la suspension de l’audience et les
rideaux entourant la salle du tribunal ont été tirés.

*« Un des six accusés dans le procès
*(…)* est
mort aujourd’hui à l’hôpital HMC de La Haye »*, où il a été transport
é après avoir
*« bu un
liquide dans la salle d’audience »*. *« Il s’est rapidement trouvé mal »*,
a déclaré Nenad Golcevski, porte-parole du tribunal devant des
journalistes. Personne ne sait comment l’accusé a pu se trouver
dans
l’enceinte du tribunal en possession d’une fiole contenant du liquide, le
porte-parole refusant de *« communiquer

là-dessus
»*.

*« La salle d’audience 1 est une scène de crime »* et *« une enquête
a été ouverte par la police
néerlandaise à la suite de ce qui s’est
passé ce matin »*, a déclaré Carmel Agius, alors que l’énoncé du verdict
contre les six accusés reprenait dans une autre salle.

Dernier jugement du TPIY

Cette audience en appel, une semaine après le jugement du Serbo-Bosniaque
Ratko Mladic, concernait six ex-dirigeants et chefs militaires des Croates
de Bosnie, accusés notamment de crimes de guerre durant le conflit
croato-musulman (1993-1994) qui a éclaté durant la guerre de Bosnie
(1992-1995).

La scène s’est produite juste après que les juges eurent confirmé la
condamnation à vingt-cinq ans de prison de l’ex-dirigeant des Croates de
Bosnie, Jadranko Prlic, condamné en 2013 en première instance pour avoir
organisé l’expulsion et le transfert forcé de Musulmans lors de la guerre
de Bosnie, et pour avoir eu recours à des meurtres, à des viols et à des
destructions de biens civils dans le but de créer
une
« grande Croatie ». Des actes de crimes de
guerre et de crimes contre l’humanité commis lors d’un conflit qui a fait
plus de 100 000 morts et 2,2 millions de déplacés.

Siégeant à La Haye, le TPIY devait se prononcer
mercredi
pour la toute dernière fois.

Castaner : « Cela n’a rien à voir avec l’islam, qui est une religion de bonheur, d’amour, comme la religion catholique »

Castaner : « Certains, au nom de l’islam, ont des comportements qui ne sont pas acceptables. Cela n’a rien à voir avec ce qu’est la religion de l’islam, qui est une religion de bonheur, d’amour, comme la religion catholique »

Un prix “laïcité” pour la Femen Inna Shevchenko à la Mairie de Paris !

Au moins le message est clair, la Laïcité est un nom de code pour
anti-catholique!

Le 14 novembre dernier, la jeune Ukrainienne recevait le “grand prix
international » de la laïcité lors d’une cérémonie présidée par l’ancien
Grand Maître du GODF Patrick Kessel, dans le Grand Salon de l’Hôtel de
Ville de Paris. Tout cela en présence du maire de la ville Anne Hidalgo, et
des deux anciens ministres Manuel Valls et Jean-Pierre Chevènement. Les
invités étaient également reçus par Patrick Klugman, adjoint à la Mairie de
Paris et… avocat des Femen !

La laïcité donc. Mais quel rapport avec des femmes, une en l’occurence, qui
met un point d’honneur à s’exposer seins nus à l’intérieur des églises ? Il
y a là l’essentiel de leurs actions d’éclats, entre deux apparitions au
sein d’une manifestation. Parce que soyons clairs, le combat des Femen se
concentre contre la religion catholique en actes, et vise parfois la
religion musulmane, timidement et en paroles.
Inna Shevchenko a répondu en se déclarant honorée de recevoir un prix
qui *“célèbre
les libertés de conscience et d’expression, aujourd’hui gravement menacées
par des extrémistes religieux, pour qui il est plus facile de tuer que
d’accepter une opinion différente.”* Sauf qu’encore une fois, les
courageuses Femen ont été aperçues en train de scier une Croix à Kiev,
mimant un avortement sur l’autel d’une église parisienne, gazant des
familles défilant pour s’opposer à la légalisation du mariage homosexuel,
tapant sur des cloches à l’intérieur de Notre-Dame de Paris (acte condamné
le jour même par une très grande partie de la classe politique aujourd’hui
bien silencieuse, et par Manuel Valls lui-même, présent pour cette remise
de prix!), insultant le pape… On ne saisit pas directement le rapport avec
un extrémisme religieux qui tuerait. Il y a en a bien un, pourtant, c’est
vrai. Visé une fois, soyons honnêtes, par un tweet… rapidement retiré !
Mais ce 14 novembre, n’écoutant que son courage, Inna Shevchenko a fini par
évoquer l’*“islamisme”* (notons que la distinction entre islam et islamisme
est faite alors que le catholicisme n’est qu’un bloc rétrograde à abattre).
Pour mieux s’empresser d’accabler ensuite *“les populistes”* tout au long
de son discours sans que les liens ne soient établis, et pour cause.

*“Ils essaient de nous enterrer, mais ils ne savent pas que nous sommes des
graines”*, a également déclaré la jeune femme, ignorant sans doute qu’elle
paraphrasait… l’Evangile. Caprice d’une mauvaise gagnante pour reprendre le
bon mot d’Alain Finkielkraut. Car qui peut croire aujourd’hui que le *“droit
des femmes”* – qui sert à défendre un bloc de revendications incomparables
– soit aujourd’hui *“enterré”* alors que leur porte-parole la plus
agressive et la plus radicale est décorée dans les salons de la Mairie de
Paris ?

Là encore Inna Shevchenko anticipe en se disant* “plus habituée à être
arrêtée, attaquée et accusée” *que décorée. Certes, sauf qu’elle a été
arrêtée et portée devant des tribunaux – bien souvent miséricordieux – pour
le trouble à l’ordre public qu’elle génère, certainement pas pour les idées
qu’elle défend.

Enfin, une description de la laïcité : *“parce que la laïcité est aussi un
combat de femmes. Les droits des femmes peuvent progresser là où les
libertés de conscience et de choix sont garanties”*. Faut-il lui rappeler
que les libertés de conscience et de choix doivent, dès lors, également
être garantis à ceux qui pensent différemment ? Ceux qui ont la foi, au
hasard. Faut-il insister pour dire qu’il est incroyablement totalitaire
d’imposer avec fracas sa hargne au coeur d’une église dans laquelle les
catholiques sont encore libres de s’opposer pacifiquement à des décisions
politiques par essence discutables ?

Inna Shevchenko poursuit : *“La laïcité et le féminisme visent à libérer
les femmes et les hommes du dictat d’une autorité supérieure, les deux
rejettent les règles imposées par la force sur la vie des individus.”* Quel
est le rapport ? Une fois de plus, les* “individus”* sont comme elles des
adultes et choisissent – précisément – de se rendre dans une église ou de
participer à une manifestation. C’est leur droit le plus strict et la
laïcité n’a jamais eu aucune légitimité pour l’empêcher. *“La laïcité et le
féminisme propagent la solidarité et l’égalité dans la société”*, a-t-elle
encore ajouté. Mais pendant qu’elle insulte le pape au coeur d’une
cathédrale, l’Eglise s’illustre partout dans le monde à travers des écoles,
des orphelinats, des centres médicaux, des distributions de nourriture et
de biens… C’est ça aussi la réalité de l’Eglise. Quelle est celle du
mouvement des Femen, concrètement, puisqu’on discute solidarité et égalité ?

Au terme d’un discours militant dans lequel la laïcité s’est transformée
-comme souvent- en arme de combat anti-religieux, Inna Shevchenko
conclut : *“Je
continuerai le combat jusqu’à ce que les fanatiques religieux, les sexistes
et les mysogines nourris par les dogmes monothéistes ne se mettent plus à
genoux pour prier, mais pour demander pardon aux femmes qu’ils ont un jour
fait souffrir.”* Nombreux sont ceux qui ont essayé, dans l’Histoire,
d’empêcher la prière. Aucun n’y est parvenu malgré des méthodes parfois peu
recommandables. Et les chrétiens sont encore là, à genoux pour certains,
chaque matin en effet, et parfois même devant une femme qu’ils ont le culot
d’appeler la mère de Dieu. Tout n’est pas si simple décidément…

Anne Hidalgo a finalement salué* “une belle personnalité laïque qui défend
les droits et l’émancipation des femmes”*, tandis que le président du CLR
s’est senti obligé de préciser *“nous sommes anticlérical, mais pas
anti-religieux”*. La première partie de la phrase a le mérite de
l’honnêteté, la seconde est peu crédible devant le pedigree de la lauréate
ukrainienne.

Que des militants s’acharnent contre le religieux, c’est courant. Que la
Mairie de Paris ouvre ses portes pour les récompenser est un message :
celui de l’adoption d’une laïcité particulièrement agressive.

L’Eglise accepte, et depuis fort longtemps en France, de ne pas attribuer à
Dieu ce qui est à César. La République d’Anne Hidalgo ou de Manuel Valls,
elle, récompense ceux qui tentent d’imposer les lubies de César au coeur du
temple de Dieu. On se demande qui* “menace”* qui.

Comme prévu, Filoche se fait humilier par deux sionistes hystériques

Au lieu de reconnaître que le photomontage incriminé ne présente aucun
caractère antisémite, Gérard Filoche s’enfonce dans sa posture
« antiraciste ». Résultat : les inquisiteurs du réseau sioniste
l’humilieront jusqu’au bout.

Maurice Szafran :

« *Les mots tuent ! C’est le tweet le plus antisémite qu’on ait vu
depuis…* »

Anna Cabana (présentatrice sur la chaîne de télévision israélienne i24news,
appartenant au groupe Altice dirigé par Patrick Drahi) :

« Soit vous êtes un imbécile, soit vous êtes un salaud ! »

Gérard Filoche :

« Filoche est juif de cœur ! »

On peut noter que pour les deux présentateurs hystériques, le pardon, même
pour quelqu’un qui se repentit, est impossible.

Rennes. Un enfant de 9 ans une nouvelle fois interpellé par la police

Le jeune mineur isolé étranger (MIE), âgé de 9 ans, arrêté à de multiples
reprises par la police rennaise, pour de nombreux vols, a une nouvelle fois
été interpellé ce dimanche matin dans le cadre d’une affaire de vol avec
violence. Alors qu’il se trouvait place Saint-Michel, vers 1 h 40, il
aurait, simulé une prise de judo, en faisant semblant de jouer avec sa
victime, qu’il a finalement fait chuter au sol. Une fois à terre, il lui a
alors volé son téléphone portable avant de prendre la fuite. Le garçon a pu
être arrêté un peu plus tard par les policiers qui ont trouvé sur lui un
second téléphone. Trop jeune pour être placé en garde à vue, il a fait
l’objet d’une retenue judiciaire. La semaine dernière, le voleur
multirécidiviste avait déjà été interpellé dans le cadre d’une autre
affaire de vol avec violence. À cette occasion l’examen osseux pratiqué sur
le jeune garçon avait révélé qu’il serait en fait âgé de 11 ans. Dimanche
en fin d’après-midi, il a été présenté au parquet et devait ensuite être
pris en charge par des éducateurs spécialisés.

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Cocktails molotovs, tirs de mortier et voitures incendiées: nuit d’émeute à Mantes-La-Jolie (VIDEOS)

Des émeutiers ont violemment attaqué la police et les pompiers, venus
éteindre des voitures en feu au Val-Fourré. Les forces de l’ordre ont
essuyé des tirs de mortier et de cocktails molotovs. Il s’agirait de
«représailles» après une bavure présumée.

Le soir du 18 novembre dans le quartier du Val-Fourré, à
Mantes-la-Jolie, une soixantaine d’individus se sont livrés à un violent
affrontement avec la police. Des cocktails molotovs ont notamment été
lancés par les émeutiers, alors que la police essuyait également des tirs
de mortiers artisanaux et d’autres projectiles.

Le silence des médias dominants est ahurissant.

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Le directeur de Rivarol agressé en bas de chez lui par un membre des « Brigandes »

Image tirée d’un clip musical des « Brigandes »

Depuis que l’hebdomadaire Rivarol a publié en avril 2016 une enquête sur le groupe musical « les Brigandes » (émanation d’une communauté new-age et gnostique installée dans l’Hérault), avec les témoignages accablants de plusieurs anciens membres de ce qui s’apparente à une secte, le journal et son directeur Jérôme Bourbon ont eu plusieurs fois droit à des menaces…
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Le député Emmanuelle Ménard qualifie le féminisme de "maladie grave"

Je demande que le féminisme soit remboursé par la Sécu. C’est quand même
une maladie grave », a tweeté mercredi Emmanuelle Ménard, députée soutenue
par le Front national (FN) de la 6e circonscription de l’Hérault.

Ce tweet, épinglé sur son compte, fait référence à la récente tribune
publiée sur *Slate*

par
314 enseignants qui refusent désormais d’enseigner que « le masculin
l’emporte sur le féminin ».

Afrique du Sud: des Blancs manifestent contre les attaques de fermes

Pretoria – Des milliers de fermiers blancs ont bloqué lundi des routes en
Afrique du Sud pour protester contre les violences visant leur communauté
et qui ont fait plusieurs centaines de morts ces dernières années.

Des rassemblements sous la bannière « *Lundi noir* » ont été organisés dans
plusieurs villes du pays dont Le Cap, Johannesburg et Pretoria. Les
manifestants étaient vêtus de noir pour rendre hommage aux victimes
d’attaques de fermes.

Une minute de silence a été organisée au monument Voortrekker à Pretoria,
qui célèbre l’identité des Afrikaners, les descendants des premiers colons
européens en Afrique du Sud.

Les tensions raciales restent élevées en Afrique du Sud, où la minorité
blanche possède l’essentiel des grandes propriétés agricoles, 23 ans après
l’élection du premier président noir du pays, Nelson Mandela.

La journée d’action de lundi était coordonnée par l’organisation AfriForum,
qui défend les droits des Blancs.

Selon Afriforum, au moins 72 fermiers ont été tués cette année en Afrique
du Sud. Pas plus tard que lundi matin, un agriculteur septuagénaire a été
poignardé à mort chez lui à Vryheid, dans la province du KwaZulu-Natal
(nord-est).

« *Le gouvernement doit reconnaître qu’il ne s’agit pas de crimes ordinaires* »,
a déclaré à l’AFP le responsable d’AfriForum, Karrie Kriel.

« *Il doit mettre en place un programme comparable à celui contre le
braconnage de rhinocéros ou les violences faites aux femmes. Il y a un
manque de volonté politique* », a-t-il ajouté, accusant le ministre de la
Police de « *discréditer* » la journée de mobilisation.

Ce dernier, Fikile Mbalula, a tweeté un extrait d’une interview dans
laquelle il estime que les fermiers blancs « *sont stratégiquement
importants* » mais que le sujet a été « *politicisé* ».

Lors d’une manifestation organisée à Middelburg (nord-est), un camion a
blessé trois personnes. Il s’agit, selon les premiers éléments de
l’enquête, d’un accident.

« Pierre Bergé n’avait aucune limite, il était entouré d’esclaves sexuels. » Révélations d’un de ses gitons

Dans un entretien choc à la télévision canadienne, Fabrice Thomas, ami et amant de Pierre Bergé et Yves Saint-Laurent, dévoile à quel point les deux grands couturiers étaient « malades sexuellement » en mettant bien l’accent sur la perversité de Pierre Bergé.


« Pierre Bergé n’avait aucune limite »

Fabrice Thomas voulait devenir le chauffeur de Pierre Bergé. Mais, comme il le dit lui-même : « Le sésame, c’était de passer par sa chambre d’hôtel. »
Interloqué, le présentateur lui demande : « Et vous l’avez fait ? En toute conscience ? » Fabrice Thomas lui répond alors : « J’avais besoin de sécurité, de stabilité, de rejoindre un groupe et c’était le prix à payer. Ça vole bas mais c’était le prix à payer. »
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Commémoration des 500 ans du protestantisme. Des catholiques protestent et perturbent la cérémonie

Ce samedi 28 octobre 2017 à 16h, avait lieu dans la Cathédrale
Saints-Michel-&-Gudule une cérémonie protestante en commémoration du 500e
anniversaire de la Réforme. La prédication était faite par le Pasteur
Steven Fuite. Le cardinal Jozef De Kesel, archevêque de Malines-Bruxelles,
a participé à cette cérémonie avec d’autres chefs religieux et responsables
de la laïcité. Cette initiative n’était pas du goût de tout le monde. Un
groupe de jeunes catholiques a perturbé la cérémonie en récitant le
chapelet, empêchant le Pasteur Steven Fuite de commencer sa prédication.
Cela a duré 40 minutes : ce n’est qu’après l’intervention des forces de
l’ordre et l’expulsion des jeunes, que la cérémonie a pu continuer.

Lien vers la vidéo:

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Trahison : l’évêché de Vannes juge la décision du retrait de la croix de Ploërmel « modérée »

La polémique continue de monter après la décision du Conseil d’État d’obliger la mairie de Ploërmel, sous six mois, à retirer la croix surplombant la statue du Pape Jean-Paul II. Alors que de nombreux fidèles catholiques s’affirment choqués par cette décision, l’évêché de Vannes, par la voix de son vicaire général, l’abbé Jean-Yves Le Saux, juge la décision « modérée ». Nous l’avons joint par téléphone pour en savoir plus, et notamment pour savoir pourquoi cette décision le satisfaisait, comme cela a été rapporté par un autre quotidien régional.

« D’un point de vue personnel et catholique » nous dit-t-il, « nous sommes un pays marqué par 1500 ans de christianisme, il est normal que des symboles chrétiens soient présents dans l’espace public ».
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«L’homme à la casquette» derrière le couple Macron accusé d’agression sexuelle

Visé par une plainte, «l’homme à la casquette», qui s’était fait repérer le
soir de la victoire d’Emmanuel Macron sur l’esplanade du Louvre, a
démissionné de son rôle de collaborateur parlementaire.

Comment l’oublier? Alors qu’Emmanuel Macron fêtait sa victoire à l’élection
présidentielle sur l’esplanade du Louvre, un militant En marche!, Morgan
Simon, s’était placé juste derrière le couple présidentiel. Repéré sur les
réseaux sociaux dû à sa casquette blanche, l’homme s’était rapidement vu
rebaptiser «l’homme à la casquette».

Militant de la première heure, Morgan Simon était par la suite devenu
collaborateur parlementaire. Un poste obtenu au lendemain des législatives
auprès de Valérie Oppelt, députée LREM de Loire-Atlantique. Finalement,
l’aventure aura été de courte durée. Comme le relevait mercredi soir le
site d’information local *Mediacités Nantes*
et
confirmé par *Ouest-France*, «l’homme à la casquette» a démissionné à la
suite d’une plainte déposée contre lui pour des faits à caractère sexuel.
«Des gestes plus que déplacés»

Selon le média nantais, les faits dateraient du 1er décembre 2016 lors
d’une «réunion organisée par les Jeunes avec Macron et le mouvement En
marche». À la fin de l’événement, la soirée se serait prolongée dans un
lieu public où Morgan Simon aurait eu «des gestes plus que déplacés» envers
une militante, aujourd’hui collaboratrice parlementaire. Une douzaine de
personnes présentes auraient été témoins de l’agression.

La députée pour qui il officiait a réagi mercredi vers minuit, comme le
rapporte *Ouest France*. «Morgan Simon était en période d’essai. En tant
que député, je ne suis pas juge, ce n’est pas mon travail. Il y a des
accusations qui existent, c’est à lui de se défendre. Il faut respecter la
présomption d’innocence. Ce moment est terrible pour lui. Nous avons acté
sa démission d’un commun accord pour qu’il puisse préparer sa défense», a
déclaré Valérie Oppelt. L’élue a tout de même ajouté que cette affaire
«l’étonnait» car elle n’a «jamais eu l’ombre d’un doute concernant Morgan.»

Agression d’un député FN : deux personnes condamnées à six mois de prison avec sursis

L’un des auteurs de l’agression début octobre du député FN du Pas-de-Calais, Ludovic Pajot, a été condamné à six mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Béthune. La même peine avait été décidée pour un autre agresseur.

Antoine B., âgé de 28 ans, qui avait reconnu lors de sa première comparution avoir agressé le député Ludovic Pajot «parce qu’il [faisait] partie du FN», a été condamné le 24 octobre à six mois de prison avec sursis lors du renvoi de son procès. De plus, il devra verser 1 400 euros de dommages et intérêts et de frais de justice à l’élu.

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Gaël (35) : une fête “bolchévique” sur fond de polémique


La fête « bolchévique » fait grand bruit à Gaël (35)

Christophe Hordé et ses amis ont voulu célébrer Octobre 17, pour l’évènement historique, ses utopies et sa culture. C’est ce week-end que ça se passe à Gaël (35). On peut consommer bolchévik sous les affiches de propagande, servi par un patron en tenue, le patron de la microbrasserie La Gaëlle. Il n’imaginait pas un tel « buzz ». Car l’initiative fait polémique.

Certains’émeuvent de cette célébration de la révolution russe en invoquant leurs victimes du régime et des purges. Les organisateurs se défendent pourtant de vouloir refaire l’histoire. Ils ont voulu organiser un rendez-vous ludique et convivial, qui d’ailleurs a attiré le client.

Le numéro de la Gaëlle: 06 07 34 98 15

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