Ce 24 novembre, Joe Biden a présenté l’équipe diplomatique et de sécurité nationale de son futur cabinet.
Il en a profité pour annoncer les grandes lignes de sa politique étrangère, au cas où il prenait effectivement la tête des Eats-Unis. Son introduction est très claire :
« C’est une équipe qui reflète le fait que l’Amérique est de retour, prête à guider le monde et pas à s’en retirer », a-t-il affirmé.
Il signale ainsi le virage qu’il entend faire prendre à la politique étrangère américaine. Joe Biden a également assuré qu’il ne souhaitait pas que sous sa présidence les Etats-Unis s’engagent dans des « conflits inutiles ».
Il faut peser les mots : il ne fera pas de guerre sans qu’elle soit utile à ceux dont il sert les intérêts.
Comme nous l’écrivions il y a quelques jours, la nation états-unienne « se prend depuis des décennies pour le « gendarme du monde » et n’hésite pas à agresser d’autres pays, voire à provoquer des déstabilisations graves de régions entières du monde (comme avec la guerre contre l’Irak), afin d’étendre son empire, d’exporter un modèle politique démocratique (propice aux manipulations et à la domination de la Finance), de servir la politique étrangère de l’Etat d’Israël ou de répondre aux intérêts de l’« État profond » américain. »
Or, Donald Trump avait rompu avec cette manie d’ingérence belliqueuse (voir son bilan comparé).
L’arrivée de Biden au pouvoir serait une nouvelle inquiétante pour la planète.
Il faut peser les mots : il ne fera pas de guerre sans qu’elle soit utile à ceux dont il sert les intérêts.
Comme nous l’écrivions il y a quelques jours, la nation états-unienne « se prend depuis des décennies pour le « gendarme du monde » et n’hésite pas à agresser d’autres pays, voire à provoquer des déstabilisations graves de régions entières du monde (comme avec la guerre contre l’Irak), afin d’étendre son empire, d’exporter un modèle politique démocratique (propice aux manipulations et à la domination de la Finance), de servir la politique étrangère de l’Etat d’Israël ou de répondre aux intérêts de l’« État profond » américain. »
Or, Donald Trump avait rompu avec cette manie d’ingérence belliqueuse (voir son bilan comparé).
L’arrivée de Biden au pouvoir serait une nouvelle inquiétante pour la planète.
PS : plusieurs membres-clef du nouveau cabinet de Biden sont des politiciens, vieux routards du Système américain, liés à l’Etat profond, tels qu’Antony Blinken ou John Kerry.
Biden a par ailleurs choisi comme nouveau « secrétaire du Trésor des États-Unis » (ministre de l’Economie) Janet Yellen (74 ans), qui fut dirigeante de la FED (banque fédérale américaine, organisme détenu par des acteurs privés) : on est là en pleine oligarchie, c’est clairement l’Etat profond qui reprend la main.
Biden a par ailleurs choisi comme nouveau « secrétaire du Trésor des États-Unis » (ministre de l’Economie) Janet Yellen (74 ans), qui fut dirigeante de la FED (banque fédérale américaine, organisme détenu par des acteurs privés) : on est là en pleine oligarchie, c’est clairement l’Etat profond qui reprend la main.