Le meurtre d’un enfant à naitre est un acte médical comme les autres selon les bouchers du parlement « français ». Ainsi dans la nuit du 18 au 19 mars les députés ont voté la suppression du délai de réflexion obligatoire de 7 jours avant l’exécution. Ce délai était jugé « infantilisant » et « stigmatisant ».