Les successeurs de Goscinny et Uderzo (créateurs de la célèbre BD), Jean-Yves Ferri et Didier Conrad, font passer leur idéologie bobo-gauchiste dans le dernier album qu’ils réalisent et qui vient de paraître : la fille de Vercingétorix.
Tout doit être souillé…
Déjà, en 2017, la célèbre page d’ouverture montrant une carte de la Gaule et désignant « le village gaulois qui résiste encore à l’envahisseur » avait été purement et simplement supprimée…
Effectivement, à l’heure où le peuple français est en train d’être remplacé silencieusement, il est gênant de montrer des exemples de résistance à l’invasion.
Dans le nouvel album, le pirate noir est redessiné pour être moins caricatural (lèvres notamment), mais surtout l’héroïne – une gamine insupportable assez dans l’air du temps – est élevée par deux « papas » [sic].
Une référence à l’« homoparentalité » [sic] assumée par les auteurs dans leurs entretiens.