« Au moins six jeunes beauvaisiens ont déserté les cours depuis qu’ils ont été victimes d’agressions après leur sortie du lycée Corot. Ils craignent de recroiser leurs agresseurs dans l’établissement et s’inquiètent pour leurs études.
Depuis plus d’une semaine, Dylan et Lisa n’ont plus mis les pieds au lycée Corot de Beauvais, où ils sont tous les deux en première Bac pro. Lundi 8 janvier, le couple a été agressé par une quinzaine de jeunes de leur établissement, à proximité de la gare routière de Beauvais.
Un passage à tabac sans cause réelle pour lequel un jeune homme de 18 ans a été condamné à six mois de prison avec sursis, vendredi. « Mais lui, il est déjà retourné au lycée, déplore Dylan. Nous, on a été menacés et on n’ose pas y aller. » « Ils ont dit à Dylan et sa copine qu’ils allaient les finir », dénonce Céline, la mère du jeune homme. « Ils font la loi à Corot », assure Lisa. Selon nos informations, au moins quatre autres élèves refusent de retourner en cours à la suite de ces rixes qui ont débuté en décembre. » (source et suite)
Aucune solution ne se dessine pour ces jeunes… La police disant ne pouvoir patrouiller indéfiniment tous les soirs aux abords de l’établissement.
Évidemment le très à gauche Parisien ne donne aucune indication sur les agresseurs, notamment, ethnique, mais tout le monde aura compris.
Rien qu’à voir les bâtiments ça donne une idée de l’atmosphère des lieu ! On dirait un établissement pénitencier et non une école et de plus pauvre Jean-Baptiste Corot, il avait pas mérité ça.
http://www.lyceecorotbeauvais.fr/
bonjour
tant qu’on aura des tabous sur l’identité et surtout sur les origines de ces jeunes qui pourrissent notre pays au nom d’une idéologue et d’une pseudo religion on arrivera à rien! une certaine classe politique(on la reconnait) depuis des lustres, adopte la politique de l’autruche, ne voulant pas voir et entendre et les victimes sont aussi les enseignants dont l’idéologie de leurs partis bien à l’abri dans leurs quartiers Bobos de Paris refusent de voir! Ces enseignants dans leur large majorité veulent le bâton qui les bats, puisque le parti dont ils se réclament, jouent les sourds et les aveugles.