Alors que les médias rabâchent à qui veut l’entendre que le Grand remplacement est une théorie, en Belgique les chiffres viennent brutalement contredire la propagande d’Etat.
Anvers, la première ville du pays, est majoritairement peuplée d’immigrés ou de fils d’immigrés. Pour la catégorie des moins de 25 ans, la proportion atteint même plus de 70%. La substitution des peuples d’Europe par ceux d’Afrique se passe sous nos yeux, dans une indifférence orchestrée.
Pour la première fois, la ville d’Anvers compte plus d’habitants d’origine immigrée que d’origine autochtone.
C’est ce qui ressort clairement des données les plus récentes du City Monitor. Chez les moins de 25 ans, l’origine migratoire dépasse même 70 %. Selon les données disponibles, les Nord-Africains constituent le groupe d’immigrants le plus important, mais les Asiatiques et les Européens de l’Ouest sont également fortement représentés.
Plus tôt ce mois-ci, le sociologue Jan Hertogen était déjà arrivé à des chiffres similaires dans son Bericht uit het Gewisse (npdata) : Anvers : 53,2 % d’origine étrangère En 2018, 53,2 % de la population anversoise aurait été d’origine étrangère selon des extrapolations, contre 46 % en 2014, soit une différence de 3,1 % avec le Buurtmonitor Antwerpen.
Dans le cas des données npd, cette différence est légèrement amplifiée parce que tous les habitants d’origine étrangère sont inclus dans le calcul, mais selon une méthode différente. (…)