Il y en a qui ne perdent pas de temps…
« Il y a dix jours, l’inspection du travail et la police d’Anvers sont tombés sur une scène surprenante. Dans une boucherie juive, trois femmes réfugiées ukrainiennes travaillaient à l’étage de l’établissement. Elles étaient cachées, en haut d’un escalier derrière une porte verrouillée, selon les inspecteurs. Nos confrères du Morgen indiquent que deux de ces femmes travailleraient pour un salaire de sept euros de l’heure. Leur tâche serait de couper des fruits et légumes.
Si le chef de l’établissement prétend agir de manière humanitaire, pour l’inspection il s’agit d’une violation grave. Ces femmes n’étant pas enregistrées à l’Office national de sécurité sociale et n’avaient aucun permis de travail. On bascule alors dans de la « traite d’êtres humains et d’exploitation économique ». […] » (source La Libre Belgique)