Le Point dresse un portrait bref mais peu flatteur de Berkane Maklouf, le beau-pière de Fiona qui, après avoir joué une ignoble comédie suite à la « disparition » de la fillette de 5 ans, a été convaincu de son meurtre.
Petit caïd de banlieue, toxicomane, menteur éhonté, tabassant régulièrement la Française un peu paumée qu’il s’était dégotté comme beaucoup d’autres, « connu des services de police » comme on dit, etc.
L’article du Point peut donner à croire que la conduite de Maklouf était seulement de « la faute à la drogue », mais cette racaille étrangère était globalement assez lucide pour, sans officiellement travailler (et donc toucher des aides), acquérir un studio, ou encore pour pousser sa compagne à se convertir à l’islam…