Le politicien affairiste et corrompu Bernard Tapie, chantre de l’immigration pendant des décennies, s’est fait attaquer chez lui et voler par des Africains.
On apprend quelques jours après, par le journaliste André Bercoff auprès de qui il s’est confié, qu’il a essayé de parlementer avec ses agresseurs, et il leur a dit ceci :
« Je me suis toujours battu pour vous, je vous ai toujours défendus, j’ai pris votre parti ».
Effectivement. Mais notez que cela sous-entend « pourquoi m’attaquez-vous moi ? Ça devrait plutôt être les autres Français, surtout ceux qui sont contre l’immigration ». Un beau propos de crapule cosmopolite…
L’un des Africains lui aurait sobrement répondu :
« va te faire enc.., ce temps-là est mort »
C’est assez bien dit, il faut l’avouer, bien qu’un peu grossier hélas.
Reprenons le commentaire de Jonathan Sturel :
« Quelle humiliation que cette scène sordide où, au crépuscule de sa vie, un vieil homme de gauche antiraciste fait connaissance avec le monde horrible qu’il a contribué à créer, dont il avait été préservé jusqu’ici mais qui, comme une ultime et sublime ironie, décide de venir frapper à la porte de son créateur pour le dévorer lui aussi.
Lorsque Tapie implore la clémence de ses bourreaux en leur redisant combien il a tapiné pour eux, ces mêmes bourreaux l’insultent, lui rient à la face, le renvoient à ces illusions fraternelles et retournent frapper sa femme sous ses yeux.
Que cette scène pleine d’ironie serve d’ailleurs d’enseignement aux gauchistes, aux fragiles, aux guignols de l’UNEF et de LFI, aux endormis volontaires, aux lâches qui votent Macron contre Marine le Pen pour faire plaisir à leur voisin Kader, à tous les castors de tous les barrages républicains de toutes les élections depuis trente ans :
Votre soumission ne vous protégera pas et vous subirez le sort que vous avez fait subir aux milliers d’innocents Français, sans distinction car pour eux, amis ou ennemis, vous ne serez jamais que des Blancs à conquérir. Non seulement vous avez le sang des autres sur les mains, mais tôt ou tard vous aurez aussi le vôtre. »