et met la pression à ses salariés…
Cela date d’il y a un an mais n’a pas été très ébruité et est toujours d’actualité.
Evidemment, la Banque, tout comme le Medef, a intérêt à voir la France submergée de ce nouveau sous-prolétariat.
Mais de la à oser afficher aussi nettement son goût pour les prétendus réfugiés, il y avait un pas que vient de franchir BNP Paribas, comme on peut le voir sur son site et sur ses comptes sur les réseaux sociaux :