Cet officine neocmmuniste qui fait mine depuis des décennies de se soucier du travail des Français tout en en applaudissant l’invasion migratoire, entame sa chute finale. Peuplé des idéologues gauchistes de la fonction publique et de quelques ouvriers perdus, le syndicat, désormais famélique, ne représente plus rien.
Trouvé sur Le Parisien : « « Nous perdons trop d’adhérents. » Le constat fait ce mardi à la tribune par Laura Godec, membre de la commission financière de contrôle, lors du congrès de la CGT qui s’est ouvert ce lundi à Dijon, est amer. Selon les derniers chiffres actualisés, le nombre d’adhérents à la CGT est passé à 653 222 en 2017. Elle en comptait 664 350 en 2016, et 676 165 en 2015, soit 22 943 militants encartés perdus sur trois ans. Un nouveau recul pour la centrale de Montreuil.
Il est loin le temps où le syndicat affichait ses 5 850 000 adhérents, en 1946. Et la CGT peut encore rêver des plus de deux millions encartés enregistrés jusqu’à la fin des années 1970. La lente dégringolade a été marquée en 1985, quand la CGT est passée sous la barre d’1 million. Un cap que Bernard Thibault numéro un de la confédération de 1999 à 2013, avait espéré franchir à nouveau, sans y parvenir. »