Toute la presse cryptocommuniste, bobo bien-pensante et « progressiste » souffre du manque de lecteurs. Lorsque les subventions ne suffisent plus à renflouer les caisses, c’est la fermeture. Le quotidien La Marseillaise, distribué dans le sud-est de la France, pourrait bientôt cesser de diffuser ses analyses communistes.
La Marseillaise a obtenu son placement en redressement judiciaire, devant le tribunal de commerce de Marseille, lundi 28 novembre. Le quotidien régional bénéficiera d’une période d’observation de six mois, selon son président délégué.
Ce journal septuagénaire, fondé pendant la Résistance et proche des communistes, avait déjà connu de graves difficultés avec un premier redressement judiciaire, en novembre 2014. En avril 2015, il avait été racheté par les éditions des Fédérés, dirigées par le secrétaire départemental du Parti communiste.