Avec la diversité et les mœurs de la « France d’après », ce ne sont plus seulement les Français coincés dans les quartiers pourris (par qui?) qui risqueront de se faire massacrer en bas de chez eux pour « un regard » ou une « remarque ».
Cette semaine, évoquons ce brave retraité qui, en sortant de chez lui, croise un groupe de « jeunes » buvant et fumant du cannabis.
« C’est un quartier familial et tranquille de la rive droite de Bordeaux (Gironde). Ici, on est loin des cités sensibles des Aubiers ou de Chantecrit qui ont défrayé la chronique ces derniers mois. […]
Au pied du petit bâtiment de deux à trois étages, les riverains sont bouleversés, huit jours après le meurtre de l’un des leurs. Car tout le monde connaissait la victime, Pierre Sourgen, paisible retraité de 68 ans. « Il était très gentil, poli. On est sous le choc de cette horreur. C’est fou ! » lâche Michel, un vieil habitant du quartier. Et la nouvelle de l’arrestation des auteurs présumés du passage à tabac ne change pas grand-chose. […]
L’autopsie, pratiquée à l’Institut médico-légal de la ville, conclut à un décès dû « à un œdème cérébral post-traumatique suite à un fracas facial majeur », selon le parquet. Plusieurs fractures ont été relevées sur son visage. Des traces de sang ont été retrouvées sur les murs, au ras du sol. […]
Les cinq personnes sont sans emploi et originaires des communes de la rive droite, Lormont, Cenon et Floirac. L’une d’entre elles, connue pour des faits de violence, serait récemment sortie de prison. Selon un proche de l’enquête, les quatre garçons auraient reconnu leur présence sur les lieux et avoir porté des coups de pied à la victime. Les quatre agresseurs présumés ont justifié leur acte en représailles à un propos qu’ils ont jugé déplacé de la part de la victime. » (source Le Parisien)
Les journalistes se sont gardés de donner des précisions sur le profil ethnique des meurtriers.