Le meurtrier d’Anne Pavageau a été remis en liberté. La policière avait été tuée à coups de sabre japonais à la préfecture de Bourges en octobre 2011. Les policiers de Bourges qui viennent d’apprendre la nouvelle sont vent debout contre cette décision qui remonte à juin 2015.
La décision n’est pas récente mais elle n’est arrivée à Bourges qu’il y a quelques jours. Le meurtrier d’Anne Pavageau serait libre depuis juin 2015, soit moins de cinq après son internement. L’information met le feu aux poudres , provoquant la colère des policiers et des proches de la victime.
David Auroi, secrétaire départemental Unité SGP Police dans le Cher se dit abasourdi et indigné comme ses collègues. Le délégué syndical estime cette décision « un peu rapide alors qu’il faut au moins cinq ans pour qu’un traitement anti-schizophrénie, donne ses premiers résultats tangibles » David Auroi affirme également que Olivier Roson, aurait trahi son interdiction de revenir dans le Cher. Il aurait été aperçu à Bourges fin 2016, début 2017. Le parquet de Bourges serait en train de vérifier cette dernière information.