A un an de la présidentielle, le chef de l’Etat algérien de 76 ans avait été transporté le 27 avril à l’hôpital militaire parisien du Val de Grâce à la suite d’un accident vasculaire-cérébral.
Passons sur ce paradoxe, pour cet ancien terroriste anti-français, de venir se faire soigner chez la méchante colonisatrice en méprisant donc les hôpitaux de sa province devenue indépendante : c’est monnaie courante chez les anciens du FLN…
Cela dit, en l’absence de bulletins de santé la presse algérienne s’interroge chaque jour, avec prudence, sur ce sujet tabou.
Et puisque les autorités présentent l’accident de santé de Bouteflika comme un « petit AVC » : la durée de son hospitalisation (bientôt 4 semaines) n’est que plus étonnante.
Les rumeurs courent donc dans la rue algérienne, et notamment celle selon laquelle Bouteflika serait mort.
Selon une de nos sources, les Algériens « ont constaté lors de leurs déplacements des barrages militaires tous les 10 km au plus, ce qui est inhabituel selon eux. De même, aucun défilé militaire ni festivité n auraient eu lieu le 1er mai alors que c est la coutume. »
« Selon eux les barbus seraient seraient prêts à s emparer du pouvoir avec toutes les conséquences que cela impliquerait sur les banlieues françaises.
Ils craignent une révolution sanglante sur place. »
Par ailleurs, selon des médias espagnols, 500 marines US avec 8 chasseurs bombardiers sont arrivés sur leurs côtes sud et se préparent à intervenir pour récupérer leurs ressortissants en Algérie, où une guerre civile et un putsch seraient possibles, voire probables.
Un gros afflux d’immigrés vers l’Espagne et la France serait alors à craindre…