En campagne électorale pour la présidence de l’Etat brésilien, Jair Bolsonaro (donné en tête pour le 1er tour et qualifié par les gros médias « d’extrême-droite », évoquant Donald Trump) était porté par une foule en liesse, quand soudain un homme, muni d’une arme blanche, s’est avancé pour le poignarder en plein ventre [images potentiellement choquantes] :
Sérieusement blessé, il a été opéré et est tiré d’affaire.
Son agresseur est un gauchiste africain (ancien militant d’un parti de gauche PSOL), qui a été arrêté.
Le Monde présente Bolsano comme un « habitué des dérapages racistes, misogynes ou homophobes », ce qui veut dire, après traduction de la novlangue, qu’il a un discours favorable à la famille, àla civilisation et à l’ordre public dans un pays en proie à une grande criminalité.
L’avocat de l’agresseur a affirmé que ce dernier l’avait assuré avoir agi « pour des motifs religieux, de type politique et également en raison des préjugés que montre Bolsonaro à chaque fois qu’il parle de race, de religion et des femmes ».
Les médias gauchistes, par leur discours de haine, ont incité cet individu à passer à l’action. C’est la même chose aux Etats-Unis et en Europe.