« Le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro a été élu haut la main président du Brésil, dimanche, avec plus de 55 % des voix contre 45 % à son adversaire de gauche Fernando Haddad. » dixit Le Figaro.
«Nous ne pouvons plus continuer à flirter avec le socialisme, le communisme, le populisme de gauche», a affirmé Jair Bolsonaro dans son premier discours, retransmis en direct sur Facebook.
« Entouré de sa troisième épouse Michelle et d’un pasteur évangélique, il a assuré que son gouvernement « défendra la Constitution, la démocratie, la liberté ». « Ceci n’est ni la promesse d’un parti, ni la parole vaine d’un homme, mais c’est un serment devant Dieu », a-t-il poursuivi, répondant ainsi à ses détracteurs qui le voient [malheureusement à tort – NDCI] – comme une menace pour la démocratie. »
Présenté par les médias français comme « nostalgique de la dictature militaire brésilienne, homophobe, raciste et misogyne », Bolsonaro, soutenu à la fois par les pauvres et le monde de la finance (sa politique devrait être libérale), s’est engagé à lutter contre la corruption et la criminalité qui ravagent le pays.